Stéphane Cittadini était à Milan pour le marathon. Il nous a fait la gentillesse de rédiger un petit compte-rendu, merci et bravo à Stéphane (et à Graziella !).
“Salut à tous et bravo pour vos belles courses d’hier pour ceux qui ont couru.
Rapide compte rendu de mon marathon de Milan : c’est sous une forte pluie qu’ont démarré les 1er km ,ce qui a rendu les passages sur pavés plus compliqués ( le coach m’avait prévenu).
J’étais dans mes allures jusqu’au 1er semi et très rapidement j’ai compris que je ne tiendrai pas ce rythme, ce qui m’a obligé à revoir mon objectif.
Je n’avais plus qu’une envie : c’était de le boucler en limitant la casse.
Au final, 3h44 mon plus mauvais temps sur marathon malgré une préparation sur 10 semaines sérieuse.
Le parcours ne présente pas grand intérêt, le paysage est quelconque, la grisaille lombarde a dû jouer sur mon mental ( voila l’ explication ? ?).
Heureusement, pour compenser cette déception j’ai été au stade San Siro et j’ai mangé les meilleurs gnocchis de Milan chez « mamma Rosa ».
J’ai été heureux d’accompagner ma femme sur son 1er marathon qu’elle finit fraîchement en 5h05.”
C’était le week-end “marathon”, voici le compte-rendu qu’a publié Franck Saffioti sur Strava de son marathon de Cheverny. Il termine 14ème en 2 h 57 min 04.
Ce matin 4 degrés pour le départ à 9h, je me dis que même si ça se réchauffe, ça peut être ma journée !
Premier petit accroc : la mauvaise gestion de la foule qui a obligé un décalage du départ de 30min.
Pendant le premier Semi, tout fut im-pec-cable. Me dis que même si le parcours n’est pas des plus faciles je vais peut-être battre mon record.
Jusqu’au 30e, toujours bien, légère souffrance et arrive le 35-36e où j’ai encore 1’ d’avance et là, deux phénomènes se produisent simultanément. Mes chevilles et mes talons s’engourdissent. Impossible de lever la jambe, je rase le sol façon nippone. Je me dis même si je fais du 4’15/km ça peut passer et au 37e remontée acide, je marche deux secondes, je bois un verre dessus, fatale erreur car c’était du rosé… placé au même endroit que la boisson énergétique au ravito d’avant.
Et là je vomis tous mes gels degueu de chez Aptonia. Après ça était très compliqué, je vois que j’étais pas dans une extrême souffrance car le cardio redescend alors que quand j’explose il reste stable. Au 41e, j’étais seul depuis le Semi… je vois débouler une ombre qui fond sur moi. La première féminine ! Dans un 300m de derrière les fagots j’arrive à résister pour ne pas subir des moqueries Banonesques et Chevrolesques pendant une semaine..
À l’arrivée j’ai vomi le reste pendant 1’ sans m’arrêter.
Bilan : content et déçu. Content car la distance ne me fait plus peur et déçu car je m’étais correctement préparé cette fois, en terme de sorties longues du moins. Le parcours est pas si dur et la meteo était parfaite j’ai pas d’excuse. Seulement les parties terres dans les vignes et dans les caves (sinueuses) qui détruisent le rythme. Être seul ne m’a pas gêné. J’ai fait philosophiquement le point avec moi-même pendant 3h 😉
Le Calvaire Antibois d’antibes a réuni 5 membres du club.
WALTZER Julien : 26ème en 42 min 46
CORDERO Dorothée : 195ème en 55 min
MACHAVOINE Sandrine : 261ème en 59 min 08
SERGENT Marie-Claude : 267ème en 59 min 23
BOUGON Jean-Claude : 340ème en 1 h 06 min 08
Aurélie Aquilina (94ème en 1 h 01 min 31) était accompagnée par son mari Walter sur le Trail de 10 km d’Hermes. Voici son ressenti.
” Un trail que nous avions décidé avec Walter de faire mais pas en couple : chacun de son côté.
Je pars donc devant lui sur une première boucle bien agréable parcours assez cross.
Après le deuxième km , de la descente sur route j’en profite pour grappiller des places.
Puis la partie côtes arrive : plus de difficultés mais je gère .
La descente commence, et, gênée par un enfant de même pas 10 ans qui m’avait doublé dans la montée , je décide de le doubler : grosse erreur je finis à plat au sol.
Je repars en sang mais à bloc. J’entends alors « ça va aurel ? ». Walter était juste derrière.
Je me dis « pas possible il a dû couper quelque part», ben non, monsieur a juste très bien géré la montée .
Je finis 14F à 29 secondes de Walter que j’ai lâché dans la dernière descente.
Une très belle course presqu’en couple.”
Sur le 22 km du trail d’Hermes, Jérémy Payot termine 22ème.