Dolceacqua, paisible petit village médiéval Italien, à une heure de Nice, son petit lac, sa rivière, la Nerva, et en ce qui nous concerne, son parcours atypique au cœur de celui ci.
Sur l’invitation de notre futur coach, Philippe Cordier, un petit groupe de coureur, a fait le déplacement.
Quelle belle surprise!!
Sur place on retrouve, en habitué de l’épreuve, le club des foulées Roquebrunoises et leur mascotte Woolite,la brebis, star du petit écran!!
La course se déroulait dans le vieux village, entièrement restauré et vraiment très joli.
Après un gros départ du fougueux Jérémy, qui je pense à voulu larguer Rodolphe dés le début, mais celui ci, plus expérimenté , a géré, tel un métronome.
Il a fait un lent retour, pour finalement s’échapper à partir du 3ème tours, pour ne plus être inquiété.
Arno, pour son grand retour, après 1 mois de bigmac et coca, s’est offert une belle séance de fractionné, et retrouve des sensations et du plaisir à reprendre la compétition.
Le coach en grand habitué de cette course, a tout d’abord, réservé le restaurant (très bien), ensuite a géré les rampes que nous offrait le parcours, tel un chamois sur les pentes accidentés de nos belles montagnes.
Compte rendu de J-C Hubert:
Un petit récit de la Course de Marc Tarad d’hier (Taraud en Italien) !!!
Il était bien parti, dans les 10 premiers comme d’habitude, pour cette course a DolceAcqua, constituée de 5 boucles dans un petit village italien, tout en escalier. Marc domine la situation, il manque juste un peu d’eau, mais sa moitié est là pour lui remplir sa gourde au 5ème tour. Avec Mag et Caro on essaye de compter, il doit etre 10 eme (les 10 premiers reçoivent un cheque). Derniere ligne droite, le Marc Tarad a l’air en forme, il a de la reserve et pourtant un coureur moins bon arrive derriere et semble tout donner pour le coiffer au poteau. On crie, on hurle pour pousser le Marc mais rien y fait, il n’accelere pas. Heureusement il franchit lentement la ligne d’arrivée juste avant son adversaire qui s’arrete… au contraire de Marc qui semble vouloir tout donner dans un 6eme tour d’honneur, fait pour la gloire. Il enleve le frein à main, passe la seconde, le speeker lui crie (en italien) qu’il peut s’arreter mais Marc est a fond, il parcourt deja la berge opposée. Dans sa tete il se voit a peu pres 10 eme et s’étonne de doubler autant de monde (des retardataires) dans ce fameux dernier tour. Il compte et se voit maintenant 5 eme, puis 2eme, puis premier ??? Tiens c’est bizarre.
Il franchit finalement la ligne d’arrivée et s’etonne de trouver Roro, Arno et Jeremy qui ont deja repris leur souffle.
Grosse poilade, Marc est initialement déclassé (et fou de rage donc) mais apres avis de recherche on a finalement retrouvé ce fameux gars qui voulait coiffer Marc au poteau et qui a pu temoigner de la performance du Tarauch.
On espere qu’il ne fera pas un tour de plus à chaque course, notamment au prochain Marathon.
LOL
J-C H et M T