Tous les articles par Julien Waltzer

COMPETITIONS 2011 – – Semi et 10km de Nice

Semi de Nice

 

Epreuve phare de l’année, le semi de Nice est une étape presque obligatoire pour tous ceux qui ont loupé le semi de Cannes deux mois avant. Néanmoins, à la différence de ce celui-ci, le parcours niçois n’est pas tout plat et y tomber un record relève de la gageure.

Enfin, pas tout à fait puisqu’une bonne vingtaine de coureurs africains s’était donnée rendez-vous pour courir sous les 1h10 et pourquoi pas descendre sous l’heure, chose qui ne fut pas faite malgré le bon temps de Levi Matebo vainqueur, devant le favori Silas Kipruto.

 

Ils étaient 5 coureurs venus d’un petit village fortifié et pas vraiment gaulois de la vallée du Paillon…

 

Donné favori par les bookmakers, Sébastien Huault, casaque blanche, avait les yeux injectés de sang tellement il était décidé à franchir la ligne à plus de 15km/h. Après avoir patiemment couru aux côtés du ballon des 1h24, Séb a lâché les chevaux pour finir dans un très bon chrono, conforme à ses espérances. A noter tout de même que Sébastien n’a pas été aussi régulier qu’il veut bien l’affirmer sur la première partie du parcours, faisant subir à Florent au 3ème kilomètre, un 3’30″/kil. Mais à l’arrivée, une bien belle course où les deux 10kms ont été passés en dessous des 40 minutes par Seb. A nouveau bravo.

 

Florent Laudani devait finir aujourd’hui, toujours selon le PMU.fr, derrière Sébastien, mais à quelques encablures seulement. Au terme de l’épreuve, ce sont bien 6 minutes qui séparent nos inséparables. Malgré le soutien sans faille de ses parents, Florent a craqué sous le soleil à cause d’un départ trop rapide. Pour oser un jeu de mots : à défaut d’avoir couru dans l’ombre de Sébastien, Flo n’a été que l’ombre de lui-même. Cependant, tant de sévérité ne saurait recompenser le courage dont a fait preuve notre sicilien niçois. Après un premier 10km passé en 40 minutes, Florent a dû résister de tout son être pour achever ce chemin de croix. Il parvient ainsi à finir sous les 1h30, ça se mérite.

 

Si Florent n’améliore pas son temps de 2010 pour quelques secondes, Jeremy Payot pourra lui être déçu de ne pas améliorer sa marque de 2009 (l’époque où il était intouchable dès que le mercure montait). Selon BetClic et BWin cette fois, Jeremy faisait figure d’épouvantail aujourd’hui. Avec une préparation parcellaire, l’aigle de La Trinité n’a jamais vraiment réussi à être dans le tempo. Sur le final, il a néanmoins rappelé à Florent sa vélocité en allongeant les jambes pour dépasser facilement ce dernier.

 

Sophie Juncker vient de terminer grâce au semi de Nice, sa razzia des records féminins de Courir à Peillon. Pourtant, contrairement à ses meilleurs temps personnels sur marathon et  10km réalisés avec le GSEM, Sophie a aujourd’hui égalé son ancien chono sur semi-marathon. Elle a avoué après l’épreuve avoir enfin retrouver des sensations perdues depuis son arrivée au club. Espérons qu’après ses longues escapades lyonnaise et barcelonnaise, Sophie retrouve tout son potentiel pour de nouveau effrayer les concurrentes de la région, notamment lors du prochain challenge des Paillons.

 

Elliot Bour, véritable outsider sur la demi distance marathonnienne, a pensé, pendant un long moment, créer la suprise au niveau de l’arche d’arrivée. Parti dans un bon rythme sur les premiers hectomètres qui menaient les coureurs sur le faux-plat du boulevard Gambetta, Elliot a imprimé une cadence lui permettant de jouer potentiellement les 1h40 voire moins. Même la côte du Port Lympia n’a pas eu raison de lui. Où est le problème alors ? Et bien c’est sur la partie plate et finale de la Prom’ qu’Elliot a cédé en ressentant une puissante douleur derrière la cuisse, l’obligeant à marcher et trottiner jusqu’a la ligne. A l’inverse de Carles Puyol lors du clasico d’hier, Elliot ne jettait pas l’éponge à cause d’une élongation et s’en allait finir sa course au mental.

 

 

Résultats officiels :

 

Sébastien Huault : 95ème en 1h 23min 47sec (record perso)

Jeremy Payot : 218ème en 1h 29min 28sec

Florent Laudani : 226ème en 1h 29min 39sec (record Peillon)

Sophie Juncker : 467ème en 1h 36min 14sec (record du club)

Elliot Bour : 2139ème en 1h 59min 57sec

 

3239 participants.

 

 

 

10km de Nice

 

 

 

Si les kenyans étaient absents sur le 10km, ce n’est hélas pas un Peillonnais qui a réussi à gravir la première marche du podium, loin s’en faut.

A l’image du semi, trois hommes semblaient armés pour réaliser un joli duel sur le parcours valloné nissart.

 

Rodolphe Lodetti avait dit avant l’épreuve ” je vais faire 37’00 ” et ce sera parfait. Aussi, même si la prédiction s’est révélée fausse de trois secondes, on n’en tiendra bien sûr pas rigueur à notre Roro adoré qui est en train de revenir à son meilleur niveau. Avec un bon premier kilomètre Rodolphe avait déja pris un peu d’avance sur sa moyenne de 3’42″/kilo, en sachant que la côte de Rauba Capeu lui ferait perdre cet avantage. Pourtant, c’est dans cette même côte que Roro a définitivement faussé compagnie à ses deux coéquipiers du jour.

 

Assez étonnant pour être signalé : David Demarty a effectué un départ “normal” aujourd’hui. Cela signifie qu’au lieu de partir sur un premier kilomètre en 3’15”, Dooble-Di a préféré faire preuve de modération pour ne pas planter son 10km. Un peu plus inquiétant, David a eu une petite baisse de régime en haut de Gambetta pouvant amener à penser qu’il ne fera pas mieux que 38 minutes ce jour. Et bien non ! Car David a comme l’on dit un second souffle. Après avoir été légèrement distancé par Roro, il a remis les bouchées doubles pour tenter de combler son retard. La petite côte de fin l’a freîné dans son ardeur mais à l’arrivée le chrono est très bon étant donné les traces toujours vives de la prépa marathon sur la vitesse de 2*D.

 

S’il pensait être un peu en retrait, Franck Saffioti affichait en ce 17 avril 2011, un tonus suffisant pour accompagner ses deux aînés jusqu’au 5ème km, passé en 18min35sec. Réalisant ensuite une course efficace avec Sylvain Garpopolo du Stade Laurentin, Franck n’a cependant pas pu résister à la puissance de ses prédécesseurs sur les petites pentes du parcours. Son bon finish n’y a rien changé car Franck est venu buter sur les talons Demartyiens. 100m de plus auraient suffi.

 

Révélation, scoop et entourloupe, voici le programme du couple, Angélique Duchemin/David Laroche. La révélation d’une symbiose tout d’abord, une harmonie athlètique faisant qu’Angie et David soient désormais des complices de la course à pied. Reste maintenant à savoir qui aide qui. Le scoop est qu’Angélique en vue de son adhésion la saison prochaine est en train de tomber les chronos et d’inquiéter sérieusement ses rivales féminines. L’entourloupe est celle de David. Ce dernier s’étant inscrit sur le semi-marathon, il s’est rabattu sur la petite distance et n’est donc pas classé. 

 

A Nice, c’était en effet une Saint-Valentin en retard puisque Marie-José Nari et Marcel Guerra ont pris par ensemble à l’épreuve. Pour ce nouveau rendez-vous, ils ne se sont encore pas attendus pour terminer la course. Et, cette fois, le “girl power” a eu raison du sexe fort (pas de guillemets ici vous aurez remarqué). Marie-Jo vient de se venger de la course de Cannes où elle avait vu Marcel la distancer irrémédiablement. La sanction a donc été inverse aujourd’hui.

 

Thierry Brunel s’est encore aligné sur sa distance favorite : le 10km. Contrairement au parcours de la Prom’classic, véritable billard propice aux chronos, le tracé du jour a bien moins convenu à Titi qui n’a pas du tout réussi à s’approcher de son meilleur temps malgré une volonté de fer. Le tracé nerveux l’a effectivement laissé en dessous des 10km/h. Il faudra se remotiver.

 

 

Résultats officiels :

 

Rodolphe Lodetti : 36ème en 37min 03sec

David Demarty : 43ème en 37min 35sec

Franck Saffioti : 45ème en 37min 38sec

Angélique Duchemin : 520ème en 50min 06sec

Marie-José Nari : 1228ème en 57min 52sec

Marcel Guerra : 1432ème en 59min 48sec

Thierry Brunel : 2156ème en 1h 10min 15sec

 

2359 participants.

 

 

Un grand merci à Philippe et Chantal pour les encouragements, à Robert, à Arnaud, à la famille Laudani, à Stéphane G. et surtout…

 

… A la célèbrissime tribu Payot, auteur une nouvelle fois des photos de la course.

 

 

 

TRAIL DE CANJUERS 

 

 

Greg Athénosy, varois dans l’âme avait lui décidé de rester dans le 83 pour affronter le trail militaire de Canjuers. Montée à la corde, mines et obus à éviter, voilà le défi qui attendait les coureurs. La moitié de ceux-ci étant des Spridonniens, c’est la couleur orange qui a dominé sur ces sentiers piégeux. Sur la distance longue, le 20km, Greg termine à une honorable 12ème place pas loin du top 5 mais tout de même à une demi-heure du premier. Sur le 10km, beau podium des frères Thierry et Frédéric Fagiano.

 

Greg Athénosy : 12ème/39 en 2h 08min 41sec (sur le 20km).

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Marathon de Paris – Moulinet – Montauroux

Trail de Moulinet 

 

 

21 kilomètres pour une épreuve assez corsée malgré la répartition assez astucieuse de la difficulté dans la première moitié de la course. Pour apprivoiser ce tracé de fin tacticien il fallait un maître traileur. Croyez-le ou non mais Stéphane Giordanengo vient de remporter en moins d’un mois une seconde course ! Et Peillon par la même occasion ! Les superlatifs manquent pour qualifier les performances actuelles de Stéphane. Nous en sommes bluffés et nous le remercions d’afficher si haut les couleurs du club. Steph’ est d’ailleurs en train de renégocier son contrat et ses primes de victoire avec fermeté face aux dirigeants du club.

 

Contrairement au trail du Férion, la tâche fut beaucoup plus ardue comme nous l’explique notre champion :

Frédéric Garrandes du Team Garmin Scientec Nutrition est parti d’entré comme un boulet de canon, j’ai essayé de suivre mais j’ai rapidement dû le laisser filer tout seul, il grimpait beaucoup trop fort pour moi. Du coup, parti sur un rythme élevé, je me suis retrouvé tout seul 2ème, suivi par Guillaume Besnard à quelques encablures. J’ai régulièrement pris des écarts avec la tête, au début c’était 20 secondes, puis 40, pour monter à 1mn05 au premier ravito. Ensuite, pendant un long moment je n’ai plus eu de contact visuel. Puis on a remonté la magnifique descente des feuilles, pour laquelle des coupes bien verticales étaient obligatoire sur la fin. J’ai pu reprendre des écarts, j’avais 55s de retard, puis 45, puis 40, puis 35. Là, je me suis dit que si cet écart se maintenait, voire continuait à se réduire, j’avais toutes les chances de revenir sur lui dans la descente finale. Ensuite, à nouveau plus de contact pendant 1 km. Un peu avant le sommet, un pic avant la baisse de Peira Cava, j’ai eu une hésitation de parcours mais j’ai finalement apperçu une rubalise au loin. De la butte suivante, la trace était visible super loin, plus personne devant… Cela ne me semblait pas possible qu’il ait pu prendre autant d’avance en si peu de temps (je voyais au moins à 3 mn devant moi je pense), j’ai commencé à me demander si il ne s’était pas trompé là où j’ai hésité. Au ravito suivant, à la baisse de Peira Cava, on m’a dit que j’étais 1er, ce qui a confirmé mes soupçons. Il ne restait alors qu’une petite montée annoncée à 1 % (soit disant !), un plat, puis la longue descente finale sur Moulinet (5 km). Je l’ai faite à bloc, j’arrive donc 1er. J’ai 5mn49 d’avance sur Guillaume Besnard, et je bats le record établi l’an dernier par l’ancien cycliste pro Fabrice Gougot de 5mn26.
Content d’avoir gagné, mais j’aurais bien aimé voir si je l’aurais repris sans erreur de parcours de sa part
…”

Et de 2 quand même bravo.

 

Pas si loin derrière, 22 minutes plus tard, l’OVNI Hans Spies franchissait la ligne d’arrivée. Au ralenti depuis près de 2 ans, Hans est en train d’effectuer un des retours les plus suprenants qu’il nous ait été donné de voir sur la côte d’azur ces dernières années. Hans termine aujourd’hui 10ème devant le spécialiste Laurent Antoniucci et avec près de dix minutes d’avance sur Fabrice Klabalzan. Si les erreurs de parcours ont chamboulé un peu la hiérarchie, Hans lui n’a pas tremblé pour s’offrir ce superbe accessit.

 

Ca y est nous pouvons l’affirmer, Mario Bulgheroni, le Vétéran 3 le plus affuté de la Côte d’Azur vient d’officialiser sa venue à Peillon, grâce au charme envoutant de Philippe.

La semaine dernière, Super Mario avait soufflé tout le monde par sa performance antiboise. Cette semaine, les cuisses étaient légèrement plus lourdes au moment de gravir la montée des feuilles mortes que Stéphane et Hans ont tant appréciée. Mario finit avec 5 minutes de plus que l’an dernier sur le même tracé. On ne peut pas être phénoménal à chaque fois…

 

Les deux belles blondes de Courir à Peillon (veuillez relever qu’au club il y a relativement peu de brunes…) à savoir Patricia Maout et Sophie Juncker ont montré, à tous les autres coureurs restés tranquillement dans leur canapé ce dimanche, que faire un trail pendant 3 voire 4h ne les effrayait pas. Pour Sophie, la mission était de confirmer ses bonnes performances actuelles sur longue distance. Son chrono du jour reste honnête étant donné que Sophie n’est pas habituée, lorsqu’elle travaille son foncier, de le faire dans des côtes à près 20% ! C’est justement ce problème qui a empêché Patricia Maout de se risquer à trop forcer aujourd’hui. Avec un temps en deça de ses chronos habituels, on observe que le dénivellé a fait du dégât. Mais la blessure est si vite arrivée sur ce genre de parcours piégeux que l’on peut saluer la prudence “patricienne”.

 

 

Stéphane Giordanengo : Vainqueur en 2h 08min 24sec (record épreuve)

Hans Spies : 10ème en 2h 30min 47sec

Mario Bulgheroni : 22ème en 2h 45min 25sec

Sophie Juncker : 51ème en 3h 16min 10sec

Patricia Maout : 87ème en 4h 14min 01sec

 

106 arrivants.

 

 

 

 

Marathon de Paris

 

 

 

Avec son affluence record le marathon de Paris est évidemment la plus grande épreuve de la course à pied française et l’une des plus grandes manifestations sportives du monde.

 

Pour affronter le mythe, Peillon avait dépêché deux coureurs aux profils marathonniens totalement différents.

 

Tout d’abord, “l’habitué” Robert Sai n’avait pas d’angoisse particulière au moment du départ si ce n’est de réussir à associer plaisir et performance sur les grandes artères de la capitale. Après un super semi en 1h25, Robbie a hélas commencé à céder du terrain à partir du 25ème kilomètre sur son objectif initial de 2h50. Avec l’apparition de la chaleur, la donne changeait catégoriquement et les coureurs entraient alors dans une seconde épreuve, consistant à résister au mieux à la fatigue et à une possible déshydratation, tant redoutée par le coach. Le chrono de Robert n’a pas donc pas répondu à toutes ses attentes car il n’améliore pas son record et laisse en paix le record du club détenu par notre tennisman convalescent Arnaud Folco.

 

Pour participer à cette grande fête nationale, Christophe Blachon s’est lui aussi aligné au départ des 42,195km. Pour notre Espoir en revanche, ce marathon restait une inconnue totale. D’une part car Paris était le premier de Christophe et d’autre part car Chris ne s’était absolument pas préparé pour l’évènement mis à part la seule sortie longue qu’il a réalisée il y a 3 semaines. Comme pour Robert sa course s’est scindée en deux moments. Celui de la joie intense de voler sur le bitume parisien accompagné par les acclamations des spectateurs jusqu’au 25ème km et celle de la terrible souffrance qu’il l’a ensuite porté jusqu’à l’arrivée. Pour l’anecdote, Christophe avait l’impression au 35ème kilomètre que ses jambes étaient broyés et que son coeur dansait dans son corps. Effrayé par ces sensations; il s’est même permis de passer un coup de fil à quelques personnes dont sa maman, infirmière, pour demander des conseils tant son état empirait. Mais Christophe est sûrement l’un des plus gros mental du club. Malgré la douleur, il est reparti et a vaincu.

 

 

Robert Sai : 679ème en 2h 58min 28sec

Christophe Blachon : 3248ème en 3h 22min 34sec (record personnel)

 

Près de 40 000 participants !

 

 

 

 

Foulées du Lac

 

 

La grande fête azuréenne du week-end se tenait non loin du village de Montauroux près du lac de St-Cassien. Avec plus de 300 concurrents au départ, l’Entente du Pays de Fayence a réussi son pari. Un parcours assez indescriptible semblable à un cross long de 13km, ponctué par différents revêtements au sol (terre, boue, sable, béton, bitume), rendant la course assez nerveuse.

 

Deux éléments moteurs ont égayé cette belle journée : la présence massive du Spiridon Côte d’Azur et celle de Gilles Rondoni qui a livré l’une des plus belles envolées lyriques de sa carrière de commentateur. La course enfants a également redonné le sourire à beaucoup en ces temps de crise planétaire surtout lorsque les parents n’arrivaient pas à suivre leur bambins plein de vie à chacune de leurs foulées.

 

Pour la course individuelle, seul Franck était au départ, même si le nom de Marc Taraud a été cité. Il termine heureux de sa course car il n’était pas très rassuré à la fin des Collines Niçoises pensant connaître un petit coup de mou. Si le chrono est bon, la place est quant à elle moyenne preuve que la concurrence a été rude.

Belle victoire d’Omar Lafdili qui a gagné grâce à une “énergie spirituelle” selon son propre aveu lui permettant de doubler 3 athlètes sur les deux derniers kilomètres.

 

Franck Saffioti : 23ème sur 292 en 53min12sec

 

 

 

Enfin, Marc Taraud, Laurent Valvassori et Freddy Chabrière ont participé à un relais des plus éprouvants : les 6h de Blausasc VTT organisée par OxyBike de Cyril Pagès. Ils sont arrivés entiers…

 

 

Le club félicite enfin deux coureurs qui nous sont proches : Rémi Fantino qui a réalisé 2h46 à Paris, un record prometteur pour un athlète encore jeune, et, Cyril Cesaroni ayant fait 2h55 à Rotterdam mais sur 41kms seulement suite à une erreur de parcours à l’embranchement du 35ème km. Reste à savoir si les 3h auraient pu tomber.

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Les Collines Niçoises – ASOA – Lyon Urban trail

Ronde des Collines Niçoises

 

 

 

Rendez-vous incontournable du printemps, la course du Spiridon Côte d’azur a encore crée l’exploit en réunissant plus de 1200 personnes, coureurs ou marcheurs, au départ de son unique organisation de la saison.

Avec une ambiance de folie, un parcours qui mériterait l’appellation de “Monta-cala” (que Peillon détient précisons-le), une organisation aux petits soins et le repas offert, tout le monde a été forcément réjoui en ce jour ensoleillé.

2 énigmes persistent néanmoins à l’issue de l’épreuve. Pourquoi, la quantité de vin ne fait-elle que diminuer d’année en année ? Et quel est le kilométrage exact de la course ? Mieux vaut peut-être garder ces mystères intacts.

Une épreuve “d’homme” de ? kms qui n’a donc pas fait le plein de coureurs peillonnais. Alors que les défections se sont accumulées au cours de la semaine, seulement 6 coureurs étaient présents à 9h45 au coup de starter. Cependant les supporters étaient là avec la Tribu Payot presqu’au complet pour de magnifiques photos, le couple présidentiel pour des encouragements et Carine et les enfants pour la bronzette (faut pas se mentir…).

Enfin pas totalement car Luca Millereau a remporté dans sa catégorie “la course enfants” organisée pendant l’épreuve. Luca mérite ainsi tous nos applaudissements et montre à ses aînés que ce n’est pas si difficile de gagner des courses quand on a du talent. 

 

***

 

Rodolphe Lodetti, la résurrection

Roro ou “jambe de bois” était, on peut le dire, au fond du gouffre depuis le début d’année, gêné par des blessures systématiques l’empêchant de participer à une compétition en pleine possession de ses moyens. Pourtant, depuis un mois, Rodolphe va mieux et cela lui a permis de suivre avec nostalgie un programme d’entraînement que Philippe lui avait préparé pour la Ronde des collines 2010. 

Aujourd’hui le miracle a eu lieu. Parti sur le même rythme que l’an dernier, Roro n’a jamais eu de coup de pompe et a été à l’aise autant dans les longues descentes que dans les montées abruptes. Rivalisant sur l’ensemble de l’épreuve avec le sympathique Claude Regnier, il s’est même permis de taper la discut’ avec ce dernier. Il finit ainsi avec plus d’une minute d’avance sur l’édition 2010 et sur un sprint magistral. Bravo Roro. 

 

Julien Waltzer, la confirmation

Julien passait ce dimanche une épreuve de bizutage car c’est la première fois qu’il se rendait sur le tracé de St-Isidore. En prenant des informations à droite à gauche, Juju s’était fait une bonne idée du tracé mais il n’imaginait pas l’extrême débauche d’énergie que nécessite cette course, avec son absence de portions plates et le fait de doubler des files de marcheurs à travers les vignes.

Mais Julien sait s’adapter et même merveilleusement. Avec un départ plein de prudence, il a enclenché la seconde pour se débarasser d’un petit groupe qui entravait sa progression. Toujours très constant dans les relances, il a tout de même piocher pour conserver la 16ème place se faisant distancer par Laurent Frayssinet sur la fin. Une belle première en tout cas qui prouve que Julien est un coureur tout à fait polyvalent.

 

Franck Saffioti, la surestimation

Contrairement à ses habitudes, Franck avait un peu pavané cette semaine quant à une possible bonne performance ce dimanche… Et bien il a été sévèrement puni de cette arrogance. Un très bon départ dans les marches plein de vivacité n’aura pas suffi à sauver l’affaire.

Dès la montée du château de Crémat, Franck ne retrouvait pas les sensations connues les deux années précédentes. Résistant le plus possible dans le premier passage de vignes, Franck a ensuite complètement craqué dans la descente où les jambes ne répondaient plus. Martial Derbanne, dont la spécialité n’est pas la descente, a d’ailleurs déposé Francky, bloqué à 13-14km/h. Isolé sur le final, Franck a géré les 2 derniers kilomètres tout en repensant à ses prévisions foireuses. Il termine même avec une minute de plus au compteur que l’an dernier.

 

Jérémy Payot, l’hésitation

Revenu cramoisi par le soleil de son match de rugby auquel il assista hier à Mayol, Jeremy a même hésité avant de se présenter au départ de cette Ronde. Il faut dire qu’à La Roquette il y a 15 jours, Jerem’ s’est fait une petite élongation qui ne le poussait pas à choisir ce dimanche un parcours aussi exigeant.

Mais courageux, il se trouvait bien là. 2ème espoir pas loin de Franck, Jeremy a fait une course totalement différente de son rival. En effet, considéré comme un diesel, sa marque de fabrique consiste en un départ tranquille et une remontée fantastique. Aujourd’hui, on peut dire que la mise en route s’est faite désirée puisque Jerem n’a senti ses jambes frétiller qu’à partir du 6ème. Ensuite “Let’s go” comme on dit : une vingtaine de coureurs ont été avalé par l’ogre Jeremy, mais c’était déja trop tard, la course n’allait plus tarder à s’achever.

 

Hans Spies, la progression

Un terrible athlète dissimulé derrière une barbe drue est en train de faire peur à la concurrence. Hans est bien le talent tant attendu par le club. Sans s’entraîner beaucoup, il progresse à pas de géant par la pratique retrouvée de la compétition.

Avec un parcours lui correspondant parfaitement, Hans a ce dimanche fait parler sa puissance pour relancer systématiquement l’allure. Cette ronde a aussi été très bon entraînement en vue du Semi de Nice et d’un objectif autour des 1h35. En fin d’épreuve, il a même peaufiné sa vitesse en revenant vaillament sur…

 

Arno Champalle, la désertion

Déserteur des séances d’entraînement de la semaine ! L’année passée, Arno avait réussi à surfer sur la vague de son talent pour briller dans les courses sans faire beaucoup de kilomètres. Mais cette année, le Dieu de la course à pied est venu lui porter un avertissement.

Débutant la course du jour à un bon rythme, suffisant pour accompagner Jeremy, Arno voulait surtout savoir s’il avait digéré son marathon barcelonais. Jusqu’à la mi-course pas vraiment de problèmes puisqu’il évoluait sur ses bases de l’an dernier mais après les choses se sont un peu gâtées. Un léger manque de foncier sûrement. Arno a finalement tout connu aux Collines : L’erreur de parcours restée célèbre en 2009, la bonne forme en 2010 et une petite défaillance pour 2011.

 

***

 

Fait de course important, François Holzerny a abandonné laissant le champ libre à William Struyven, vainqueur avec un boulevard d’avance. Derrière très belles courses d’Hervé Duval et de Max Maccio qui devraient désormais poser beaucoup problèmes à notre Marc Taraud national sur les prochaines compétitions.

Chez les féminines, superbe victoire de Céline Bousrez qui confirme sa progression même si sa dauphine, Delphine Pelletier, était légèrement blessée aujourd’hui.

 

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Résultats : sur le site du Spiridon CA

 

Rodolphe Lodetti : 10ème en 1h 14min 03sec

Julien Waltzer : 16ème en 1h 15min 50sec

Franck Saffioti : 26ème en 1h 18min 18sec

Jeremy Payot : 32ème en 1h 19min 09sec

Hans Spies : 65ème en  1h 25min 35sec

Arno Champalle : 66ème en 1h 25min 46sec

 

1210 arrivants : quelle leçon !

 

 

 

 

Cross de l’ASOA / Urban Trail de Lyon

 

 

 

“Disputée dans les bois de Super-Antibes, la 18ème édition du cross de L’Asoa a réuni près de 220 coureurs derrière la ligne de départ (…) Soleil radieux, parcours accidenté et parsemé de plaques de boue, conséquence des récentes intempéries, tout était réuni pour accoucher d’une superbe empoignade” (P. F. pour Nice-Matin

 

Sans prétendre disputer la première place à Marco Albertario, David Demarty a pourtant effectué la première boucle du parcours aux côtés des leaders grâce à ses jambes de feu dont la fréquence ultra-rapide pourrait constituer une nouvelle source de production énergétique. S’il ne s’est pas écroulé sur la seconde partie de l’épreuve, David a pourtant dû laisser passer des concurrents pour ne pas exploser en vol.

 

Mario Bulgheroni, néo-V3 ! (rendez-vous compte comme il paraît jeune) a été inscrit par Philippe sous les couleurs de Peillon. Si l’on considère que les temps de l’ASOA correspondent à peu près à ceux d’un 10km, on peut observer que Mario ‘le soixantenaire’ pourra rivaliser avec les 40 minutes sur ses prochaines sorties FFA. Le championnat de France vétéran est en vue.

 

Le duel des sages, une fois n’est pas coutûme a vu s’opposer un Philippe Cordier très régulier en ce moment malgré un départ rapide aujourd’hui et un Jean-Robert Frey un peu en manque de jus à cause des stigmates marathonniens. Le coach a ainsi fait parler sa puissance pour distancer J-R et montrer qui était le patron sur l’asphyxiant parcours antibois.

 

David Demarty : 10ème en 37min 05sec

Mario Bulgheroni : 19ème en 40min 12sec

Philippe Cordier : 58ème en 50min 04sec

Jean-Robert Frey : 61ème en 50min 33sec

 

 

 

 

Stéphane Giordanengo était lui dans la cité des Gones pour l’un des trails urbains les plus célèbres de France. Aligné sur le 23km, la distance intermédiaire, Steph-Steph a failli crée un grandissime exploit en approchant de très près le podium.

Après une belle bagarre pour revenir, il termine à une encourageante 6ème place tout en ayant montré le maillot dans cette course ayant attiré près de 4000 partants sur l’ensemble des 3 courses.

 

A Lyon, il y avait aussi Sophie sur le 23 km. Malgré ses lacunes actuelles dans les descentes d’escaliers, elle termine 350ème scratch et 10ème senior féminine ! Avec un super final, dans lequel elle repasse de la 408ème place avant le dernier passage à croix rousse à la 350ème, elle a pu faire valoir son entraînement sur le long.

 

Stéphane Giordanengo : 6ème en 1h 54min 19sec

Sophie Juncker : 350ème en 2h 38min 33sec

1404 participants.

 

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Saint-Jeannet – Antibes

Les Foulées des Baous

 

 

L’an dernier, nous avions fêté lors de cette course le retour du beau temps dans la région. Cette année en revanche, le climat n’était pas à la fête. Le baou de Saint-Jeannet, magnifique éperon rocheux, était couvert de brume et pouvait ainsi faire figure de décor à un film d’épouvante.

Certains coureurs n’ont donc pas répondu présent (malgré leur pré-inscription) par peur de la pluie, faisant par conséquent chuter le nombre final de participants. Heureusement, pour soutenir l’association “Ensemble avec Benoît”, la vague orange spiridonnienne a déferlé sur les sentiers de La Gaude. Le Stade Laurentin était aussi dignement représenté mais Peillon n’était pas en reste avec 7 coureurs au départ.

 

7 mercenaires, ou samouraïs comme vous voulez, et pourtant 6 classés. En effet, Jean-Marc Taraud plein d’ambitions en ce début d’année a abandonné au terme du premier tiers de l’épreuve. A croire que l’abandon est devenue une spécialité familiale, car malgré le talent des Taraud, Marc, le fils prodige, avait lui aussi jeté l’éponge sur le 10km de Cannes. Jean-Marc tenait cependant à assurer sa légitime défense en évoquant des crampes insoutenables derrières les cuisses. Insoutenables, c’est cela oui…

 

Ainsi, le petit duel des vétérans concocté par Philippe Cordier a tourné court. Philippe, perdant son principal adversaire et constatant l’absence de Jean-Robert n’allait être mis en difficulté que par le seul et l’unique Marc Waltzer.

Commençons par Philippe : celui-ci a réalisé une course sage après quelques semaines d’arrêt de compétition. Le coach a tourné sur des bases inférieures au 10km de Cannes, ce qui est normal vu le dénivellé du jour, mais montrant tout de même qu’il préfère le plat aux côtes assassines (comme la fameuse de Gorbio).

Marc a lui achevé sa course sans trop de fatigue physique et psychique mais l’explication à cela est un peu moins reluisante. Avec une moyenne légèrement supérieure à 10km/h, l’ancienne gloire internationnale du 06 n’a finit que deux minutes devant un certain Gillou Appourchaux, star médiatique du net mais surtout néo-V4. Marc a en fait lancé un concept, celui de la compétition-footing. Comme Arno Champalle l’an dernier, el prezidente se sert des courses départementales pour effectuer ses meilleurs entraînements.

 

Plus haut dans la hiérarchie, petite déception pour les jeunes car ils avaient prévu de courir avec Jeremy, qui hélas manquait à l’appel au moment du départ. Qu’à cela ne tienne, Christophe Blachon avait décidé de faire parler la poudre aujourd’hui. En passant les deux premiers kilomètres en 6min10 (ça descendait on vous rassure), Christophe pensait avoir accroché le bon wagon. Hélas, avec assez peu d’entraînement cette semaine et une cure de BigMac entamée depuis un mois, Chris ne partait pas dans des conditions physiques optimales. Auteur d’un départ encore plus fou, David Demarty n’a pas eu froid aux yeux seulement 3 semaines après sa brillante prestation au marathon de Barcelone. Mais pour lui aussi, la course fut longue.

Christophe a ainsi laissé partir les deux nouvelles “pépites” de la course à pied azuréenne : Florian Saupagna et Julien Gueydon, bien qu’il soit conscient que son potentiel lui permettra dans peu de temps de courir à leurs côtés. Il a ensuite serré les dents pour rester aux côtés des coureurs de Peillon.

David, à l’instar de sa course de Grasse qui avait suivi le marathon Nice-Cannes, était donc en pleine reprise et a vu logiquement ses adversaires fondre sur lui. Même si le parcours pouvait lui convenir aujourd’hui, il a été obligé de marcher quelques pas dans la dernière montée du château, perdant une petite dizaine de places sur l’ensemble de l’épreuve. 

 

Irrésistible, tel a été Julien Waltzer sur les sentiers de Saint-Jeannet. Parti comme à son habitude assez prudemment, Julien a donné la leçon à tous ceux qui s’étaient grillé au départ de l’épreuve. Après avoir stagné au kilomètre 5, Juju a creusé l’écart sur ses poursuivants sans même prendre la peine d’accélérer. Son entrée dans le stade a été plus stressante, puisqu’Annick lui a signalé le retour improbable de Christophe revenu malgré sa souffrance. Appeuré par le sprint dévasteur du jeune espoir, Julien a un peu sprinté pour assuré son accessit, tranquille…

 

Franck Saffioti était lui aux premières loges pour contempler la foulée régulière de Julien et la course en yoyo de Christophe. Franck a bien fait sa course mais a montré ses limites quand Juju a accéléré au 8ème km et quand son coéquipier espoir a lancé l’assault. Au départ de la course, le pensionnaire du Spiridon s’était plaint de maux de ventre qui ne l’ont pas incité à suivre le rythme de ses prédecesseurs sur le final autour du stade. Dommage d’autant que les jambes étaient là aujourd’hui. Cela reste en tout cas une bonne préparation pour la course préférée de Franck, la Ronde des Collines Niçoises qui aura lieu la semaine prochaine.

 

 

Résultats :

 

Julien Waltzer : 14ème en 39min 24sec 

Christophe Blachon : 16ème en 39min 35sec, 1er espoir !

Franck Saffioti : 18ème en 39min 37sec, (2ème espoir)

David Demarty : 23ème en 40min 40sec (3ème V1)

Philippe Cordier : 175ème en 53min 05sec

Marc Waltzer : 264ème en 59min 07sec

 

339 arrivants.

Classements complets sur le site du Spiridon CA ou celui de Chronosports ou sur Gillou.biz (+ photos) ou sur le site de la course…

 

 

 

Les Boucles du Rotary et Trail d’Hermès

 

 

Seul Jean-Robert Frey était présent sur les routes du bord de mer antibois. Après l’enchaînement des grosses distances, J-R a retrouvé une distance qui lui convient mieux. Réussissant à afficher une moyenne de 13km/h, Jean-Robert pourra nourrir de nouvelles ambitions sur les prochains 10km. Il termine aussi dans la première partie de tableau, ça faisait longtemps !

 

Jean-Robert Frey : 84ème sur 170 en 44min 48sec

 

Du côté de Fréjus, les regrettées Foulées d’Hermès ont laissé place au Trail d’Hermès dont le parcours est tracé tout autour du mont Vinaigre à 10km de la ville. Cette délocalisation n’a pas empêché Greg Athénosy et la petite famille de faire le déplacement.

Petite originalité, un trail pour les jeunes de 2500m était prévu. Luca A., future star peillonnaise à n’en pas douter, a effectué sa première véritable course de côte et ne s’en est pas mal sorti du tout.

Chez les adultes, le Papa Greg Athénosy a repris la compétition sur une épreuve assez exigeante bien que le rapport dénivellation/km n’atteigne pas les références de La Peïra et de la Nartuby. Une belle course et une place dans le top 15 pour Greg sur le trail court !

Peu de partants malgré tout, un effet néfaste du prix…

 

Greg Athénosy : 15ème sur 99 en 1h 23 et des brouettes.

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Le Férion – Monaco – La Roquette/Var – Puget-ville

Trail du Férion

 

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Feux d’artifice ! Stéphane Giordanengo vient de remporter le trail du Férion sur le 26kms. Il signe la première victoire du club en compétition après de nombreuses “deuxième place”. Le début d’une longue série très certainement. Il établit également le premier record de l’épreuve qu’il a remportée ce jour. Pour Stéphane : “Hip hip …”

 

Le récit du champion, un véritable apperçu pour ceux qui voudront le faire l’an prochain :

Je suis parti à une allure assez “cool”, à 160 pulsations/mn. Je me suis tout de suite retrouvé devant, avec dans ma foulée celui qui a finit 2ème de la course. Après une piste, on a effectué une petite descente, puis on a commencé la première ascension, environ 2 km. Mon poursuivant était juste derrière moi, mais à environ 500m du sommet il a commencé à faire le yoyo. Au sommet, il y avait le premier ravito. Je ne m’y suis pas arrêté, je sais pas ce que le 2ème a fait, mais juste après je ne l’ai plu entendu. On a pris le travers vers la Baisse de Marsan, je ne l’avais jamais vu aussi détrempé ! A Marsan, la première vraie descente a commencé (jusqu’au plan de Linéa en bas de Coaraze). Je l’ai fait à bonne allure, en essayant de faire gaffe à mes pieds pour pas me faire d’ampoules précocément. Au passage de la baisse de Buse, comme prévu la team de Peillon, Em-Ti en tête, était au RDV, avec Dooble Di. Je n’ai pas vu qui était les 2 autres, j’étais concentré sur les pierres pour pas tomber, mais il m’a semblé reconnaitre la voix de Freddy. J’en ai eu confirmation après, et le 4ème était Rodolphe le photographe du jour. Jusqu’à la Baisse de la Croix c’est du plat, après seulement 26 mn de course j’en ai profité pour prendre un gel. Après, on enchaîne sur une descente hyper technique. Comme je la connais comme ma poche, je l’ai faite à fonds pour prendre de l’avance où c’est le plus “facile” (l’avantage du terrain !). Arrivé à la remontée sur Coaraze (qui doit passer bien plus facilement à pieds pendant un trail qu’avec un vélo sur le dos pendant un raid), je me suis retourné, il n’y avait personne en visuel. Au ravito de Coaraze je me suis arrêté prendre 2 bouts de barres céréales (ravito mal placé d’ailleurs, qui imposé de faire un aller-retour), puis j’ai continué l’ascension, la partie la moins agréable de la course, une montée sur route dans un rytme et une foulée trés différents du reste. Après la Chapelle Bleue, de nouveau un sentier, jusqu’au col St Michel, avec quelques passages un peu raides mais jamais trés longs. A cet endroit j’ai de nouveau pu prendre des écarts, j’avais au moins 3 mn d’avance. Dans ma tête ça me semblait trop simple comparé aux courses de d’habitude. Dans la descente du col jusqu’à l’Engarvin, la visibilité allait bien plus loin, j’avais au moins 5 mn. Encore un gel pour pas manquer de carburant.
Arrivé à l’Engarvin, un très menaçant berger allemand m’a bien fait flippé, mais en criant il est parti (cela n’a pas été le cas pour tout le monde, il a choppé plusieurs coureurs, dont un assez profondément apparemment !). Après le passage du pont (en bas de Planfaé), la dernière grosse difficulté : la montée jusqu’à la Baisse de Marsan. A ce moment, je me suis dit que de bien connaitre le parcours était un sacré avantage, pour ceux qui le découvrent cette partie doit être trés difficile à gérer mentalement avec quelques bon murs à gravir.
Après avoir bénéficié d’une ouverture du circuit par 2 moutons, sur environ 1 km, j’ai fini l’ascension en solo. De là, retour à l’arrivée par les parties empruntées au départ.
L’arrivée passée, je suis tout de suite allé me changer, j’ai appris ensuite que j’avais plus de 8 mn d’avance sur le 2ème, Josselin Flores. La 3eme place revient à J-M Deletang.

 

 

Hans Spies dit “l’espion” a été encore plus brave en s’affrontant aux 39kms. Avec assez peu de partants il parvient à accrocher une place d’honneur. Preuve qu’avec le long, Hans se trouve bien plus à son aise. La reprise de l’entraînement en compétition participe en outre de son évolution depuis son retour à Gorbio.

 

Victoire d’Olivier Vancassel devant d’autres spécialistes.

 

Résultats

Stéphane Giordanengo : vainqueur du 26kms en 2h38min57sec

Hans Spies : 14ème sur 47 du 39kms, en 4h38min32sec

 

 

 

 

Riviera classic et 10km de Monaco

 

 

Un rendez-vous et deux épreuves au programme.

 

Sur le 10km, David Laroche a apprécié la course d’équipe réalisée avec sa compagne et ce, même si le tracé monégasque ponctué de tunnels et de fréquentes montées ne lui a guère plu, tout comme l’absence regrettée d’une foule en délire (telle celle de Barcelone).

Le plus marrant dans tout ça est qu’Angélique a bien failli se rapprocher du record de David. Attention, tout peut changer très vite si on ne surveille pas ses arrières. Belle course en tout cas.

 

Sur la Riviera classic, une nouvelle épreuve du calendrier, Peillon avait engagé 2 femmes et 2 hommes (car nous aimons les choses bien faites, symétriques).

Chez les dames, Sophie Juncker a fait preuve de coeur en revenant à la compétition seulement 15 jours après son marathon espagnol. Elle réalise en plus de ça, un chrono tout à fait honnête compte tenu de la denivellation.

Patricia Maout a quant à elle cherché à faire son retour sur longue distance avec le plus de précaution. Sans trop forcer, elle a ainsi dépassé les 10km/h de moyenne pour son plus grand plaisir. Il reste désormais à “travailler” pour espérer revenir sur les talons de Sophie mais c’est un bon début.

Chez les garçons, que Philippe Cordier surveille de près, Sébastien Huault a encore été parfait. Le coach lui avait donné comme consignes nettes et précises de faire les 14 premiers kilomètres de l’épreuve à l’allure marathon puis de passer à allure semi sur le dernier 10km. Mission pleinement réussie qui laisse augurer un bon semi de Nice.

A seulement deux minutes derrière, Florent Laudani participait à l’épreuve avec le plaisir non dissimulé de commencer la course sur le sol italien. Excité par cette dimension patriotique, Florent avait comme objectif de suivre Séb, son annonceur de rythme. Mais pour la deuxième fois en un mois, Flo a encore craqué pour laisser filer le rat de laboratoire! La séparation est proche…

 

Résultats du 10km

Angélique Duchemin : 279ème en 50min50sec

David Laroche : 282ème en 50min 52sec

573 arrivants.

 

Résultats du 23,5km

Sébastien Huault : 76ème en 1h41min33sec

Florent Laudani : 86ème en 1h43min34sec

Sophie Juncker : 254ème en 1h57min35sec

Patricia Maout : 474ème en 2h11min13sec

817 arrivants.

 

 

 

La Roquette-sur-Var

 

 

Ca a saigné ce matin sur les routes de la Roquette. Ni Julien Waltzer, Christophe Blachon et Jeremy Payot n’avaient prévu de venir jouter en bord de Siagne deux jours auparavant. Mais ce dimanche, ils décidèrent pourtant de s’y retrouver.

Le duel allait assez rapidement se transformer en course d’équipe. Christophe un poil au dessus de ses partenaires est pourtant parti le moins vite. Il faut dire que dans quinze jours il sera au départ du marathon de Paris, pas le moment de se blesser. Sa vitesse et sa puissance lui ont néanmoins permis de doubler ses amis sur le final.

Julien et Jeremy peuvent être satisfaits de leur course puisqu’ils terminent proche de Chris et de William Pellacani, bon coureur antibois, mais surtout car ils ont mené le peloton de tête (surtout Jerem’ qui avait dû boire du RedBull) pendant les cinq premiers kilomètres. Un peu courts sur la fin, ils ont vu le podium leur échapper à cause notamment de la petite délégation mandolocienne, dont un très en forme Benjamin Broglio qui ne s’entrâine pourtant plus beaucoup.

 

Une course de jeunes me direz-vous et bien oui! Car se sont ensuite étalonnés : Jean-Marc Taraud qui enchaîne les compétitions en ce moment, Jean-Robert Frey qui réenchaîne après le marathon et Marc Waltzer qui se déchaine contre le bitume. Le plus grand mérite leur revient même si Jean-Marc est plus particulièrement en train de bousculer la hiérarchie départementale. Il faut poursuivre sur cette voie.

 

Sinon, victoire sans souci pour William Struyven qui réalise le doublé.

 

Résultats

Christophe Blachon : 8ème en 54min29sec

Julien Waltzer : 10ème en 54min50sec

Jeremy Payot : 11ème en 54min59sec

Jean-Marc Taraud : 33ème en 1h10min32sec

Jean-Robert Frey : 38ème en 1h12min55sec

Marc Waltzer : 57ème en 1h21min44sec

72 participants.

 

 

 

 

Trail de Puget-ville

 

 

Seul dans le Var, Franck Saffioti a défendu les couleurs du club en finissant 14ème de la course nature de 13km. Parti assez tranquillement, Franck avait l’avantage de se rappeler du tracé. Cela ne l’a pas empêché d’effectuer deux chutes dont une qui a valu l’envolée des lunettes. Quelques minutes plus tard les lacets se défaisaient, et voilà encore trente secondes de perdues ! Mais toutes ces petites pauses malvenues auront au moins permis de reprendre du souffle dans une épreuve tout de même assez corsée.

Victoire de Julien di Cioccio devant son partenaire François Mourgues.

 

Résultat

Franck Saffioti : 14ème sur 179 en 1h08min02sec

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Les courses de Beausoleil

La course de la St Joseph – Beausoleil –



Pour cette course en deux temps, 5 membres de Courir à Peillon se sont dirigés vers Beausoleil.
Carine et Julien Waltzer étaient présents le matin pour la course des escaliers, Jean Marc Taraud, Marc Waltzer, Stéphane Cittadini et de nouveau Julien Waltzer se sont présentés au départ de la course nature de 8 km.


458 marches étaient au programme de la matinée, avec une traversée de haut en bas de la ville de Beausoleil.
Cette épreuve est en fait un contre la montre, les participants démarrant toutes les 2 minutes.
Julien réalise cette montée en 2 min 03 (6ème scratch), et Carine termine quant à elle en 3 min 42, ce qui lui permet de monter sur la plus haute marche du podium dans la catégorie sénior (nous ne parlerons pas du nombre de partantes !).


De retour à 14 h 30 autour du stade Vanco, les 4 membres masculins de Courir à Peillon se sont frottés à leurs adversaires sur un parcours comportant 4 tours d’environ 2 km.
Julien, dans le coup pour la deuxième place pendant deux tours a un peu craqué sur la fin et termine 6ème.
Stéphane pour son retour à la compétition fait une belle course et finit juste devant l’excellente Mariana Weber.
Jean-Marc Taraud réalise son objectif en terminant 2ème V3, et Marc malgré son peu d’entrainement réussit à se faire plaisir sur ce parcours assez vallonné.


A noter la belle 3ème place au scratch sur l’ensemble des deux épreuves pour Julien, derrière Max Maccio et Olivier Faletti.


De nombreuses photos sont sur les blogs de Gillou et de Claude Eyraud .

Résultats escaliers.

Résultats nature.

Résultats du grand défi.

COMPETITIONS 2011 – – Marathon de Barcelone – Le Béal – Breil/Roya

Marato de Barcelona

 

 

LE SEJOUR :

Ce week-end prolongé dans la capitale catalane a été l’occasion pour près d’un tiers des membres du club d’effectuer la première sortie officielle de Courir à Peillon.

L’an dernier, les sorties de Genève et Rome n’ont rassemblé qu’une part minime de nos athlètes, le déplacement s’est cette fois effectué en grand nombre. C’est dans un bus de la société Peirani que nous partîmes 27 et que nous nous vîmes toujours 27 en arrivant à Barcelone. Nous en profitons d’ailleurs pour saluer notre chauffeur, toujours très au point concernant les pauses-pipi et plein de courage pour avoir affronté sans sourciller le DVD ‘Alvin et les Chipmunks’. Seul Elliot manquait à l’appel, à cause de son tout nouveau bracelet électronique… Et malgré leur grande solidarité, les membres du club veulent pourtant lui faire facturer la surtaxe qu’a causé son absence.

Arrêtés sous le coup de 22h dans la rue de notre hôtel, quelle n’a pas été notre surprise en apercevant un somptueux 4 étoiles qui, pensions-nous, allait être la résidence de notre villégiature… ce qui n’était hélas pas le cas. Devant l’hôtel ‘Agua Alegre’, le bon, 1 rue plus bas, 2 étoiles en moins, la répartition des chambres a pu commencer. Dès cet instant, certains ont apparemment bénéficié d’un régime de faveur. Julien et Carine Waltzer se sont par exemple retrouvés dans ce que l’on pourrait appeler une “suite” étant donné la superficie et le luxe de leur intérieur. Stéphane et Sophie ont quant à eux accueilli dans leur chambre David Demarty pour des motifs obscurs, que certains ont tenté d’expliquer, en vain.

23h en mars par un temps pluvieux : en France, tout le monde pense à aller se coucher, à Barcelone, on en est encore à l’apéro ! Nous nous sommes donc tous rendus à un restaurant tapas ‘Los Toreros’ pour un dîner nocturne grâce à la bienveillante réservation de Marion Waltzer et Eric Marchand. Certains ont alors commencé une cure de sangria et de cerbeza qui aura duré quatre jours et trois nuits. En tête de file, saluons les performances de David Laroche, Marc Taraud  et Philippe Cordier, très en forme, même en terre étrangère. En revanche, sous le prétexte marathonien, d’autres ont entamé une sorte de pseudo-diète avec en tête de liste Jean-Robert Frey suivi de Stéphane Giordanengo. Si Stéphane n’a pas fait le marathon, ce voyage lui a cependant permis de prendre conscience de son embonpoint, en écoutant notamment les remarques acerbes du jeune Rémi T.

Le samedi, veille du marathon, la visite de la ville était à l’honneur mais selon les intérêts de chacun. Stéphane, Sophie Juncker et Patricia Maout ont traîné de force David Demarty et Max Maccio dans une promenade de Montjuic au Park Guell qui semble-t-il n’a pas été préjudiciable pour l’épreuve du lendemain. Ils ont notamment croisé en sortant de Poble Sec, dans le Raval (quartier des prostitués, comme par hasard…), Florent Laudani, Sarah Barale et Franck Saffioti, qui ont eux visité tout le centre-ville, le quartier gothique, l’itinéraire Gaudi… et surtout manger, jusqu’à n’en plus pouvoir. Ils ont enfin terminé leur journée dantesque en assistant aux jeux d’eau de la Fontaine magique, avec toujours autour d’eux ces étranges perroquets verts, hitchcockiens, qui ont terrifié Florent. Un groupe ‘visite-shopping’ s’est également formé autour de Carine et Julien avec Marion et Eric, en visite chez des amis, et Annick et Marc Waltzer, veillant au grain sur les dépenses potentiellement inconsidérées de Carine sur la Rambla dels Estudis (que Carine prononce justement ‘essetudisse’). Magali C. les a accompagné pendant une partie de la journée pour laisser son homme se préparer psychologiquement pour la course. Enfin, cela a été l’explication (ou l’excuse) donnée par Freddy que l’on aurait vu, à ce sujet, du côté du Raval la nuit tombante.

Du côté du Village Marathon, sous le musée national, Jean-Robert n’a pas été loin d’obtenir une place dans le prochain Video Gag. En oubliant son sac marathon, contenant puce et dossard, dans un bus, les catalans ont regardé J-R courir dans tous les sens pour rattraper son billet d’entrée indispensable pour le marathon. S’il a réussi à remettre la main dessus, il a hélas perdu de vue dans sa course frénétique son épouse Françoise, Philippe et Hélène Cordier, pendant plus d’une heure. Et le revoilà parti pour courir dans tous les sens ! Avec cette dépense d’énergie considérable, le marathon allait se transformer en tragédie.

Autre épisode fâcheux du samedi. “Le repas du midi de Marc Taraud”. Même si Marc ne pensait pas faire un temps canon ce dimanche vu le peu de sorties longues effectuées, il avait néanmoins pris soin de bien se préparer les deux derniers jours. Preuve en est avec ses séances intenses d’électro-stimulation des cuisses, dans le bus, photos de Julien à l’appui. Mais ce samedi midi au restaurant, Marc n’a jamais vu son plat arriver. Furieux, il a décidé de ne plus attendre et de quitter les lieux le ventre vide. Seule une poignée de nuggets vers 17h l’a aidé à tenir alors qu’un stockage glucidique est pourtant prôné la veille d’un marathon.

Pour couronner la journée, certains privilégiés ont eu la chance d’aller assister au match Fc Barcelone – Saragosse, au Camp Nou. Arno Champalle, présent avec Claudie depuis deux jours en ville, était aussi de la partie. Le score : 1-0, avec, selon David, une atmosphère spéciale sans vraiment d’ambiance, mais que la grandeur du stade rendait à la fois magique et inquiétante.

Sur les conseils d’Arno, croisé le matin Passeig de Gracia, ceux qui n’ont pas été au match se sont rendus aux abords de la Sagrada Familia, pour un repas “pasta” ce, pour emmaganiser le plus de forces possibles. Après avoir goûté les pâtes, Franck a noté dans un coin de sa tête de ne jamais plus faire confiance à Arno. Mais le petit évènement de la soirée fut pour Patricia victime d’un pickpocket. Mais, dans un geste salvateur, celle-ci a pu empêcher au dernier moment le larcin en tirant machinalement son sac vers elle. Au retour du resto dans le métro, tous les membres du club sont alors devenus complètement paranos face à tous les inconnus un peu menaçant qu’ils ont croisé.

Dimanche, le marathon ayant laissé des traces, le groupe a pensé avant tout à se reposer en visitant les hauteurs de la ville. Lors de l’apéro de 20h, deux évènements furent fêtés. L’anniversaire de Philippe Berger, haut dignitaire de l’AC Cannes qui a accompagné Chantal Meillerand pour le voyage et l’organisation de David Laroche que tout le monde a salué.

Petites adresses sympa ensuite pour le dimanche soir : Le resto du marché Santa Catarina, vraiment top et le resto-tapas, plaça Nova devant la cathédrale, le Bilbao et ses fameux pics, qu’Eric voit à chaque fois comme un nouveau défi.

Enfin, pour finir rien de tel qu’un bar d’ambiance choisi par Carine, (qui était en outre un bar gay, ce que nous avons découvert que plus tard) pour absorber le mojito de l’adieu à Barcelone.

 

LE MARATHON :

Parcours assez valloné dans l’ensemble avec surtout les cinq premiers et les cinq derniers kilomètres en montée. Cependant, la douceur du climat et la chaude ambiance ont bien aidé les coureurs à se dépasser.

Seul David Demarty avait été sérieux tout au long de la prépa marathon. L’envie de revenir au plus haut niveau sous les 3h devait se concrétiser dans les faits et David y croyait dur comme fer. La petite crainte de la fatigue engendrée par le voyage était le seul point négatif au moment du départ.

David a décidé de faire une course d’équipe avec Max Maccio (qui a réalisé une très belle épreuve à presque 15km/h de moyenne). Calmé à de nombreuses reprises par Max, David a voulu accélérer durant le parcours, mais c’est pourtant lui qui a craqué sur la fin d’épreuve. Pas de record perso mais la troisième meilleure performance du club sur la distance en attendant Robert Sai à Paris.

Pas si loin derrière, Marc Taraud s’est surpris en tombant les 3h. Avec un départ tranquille, Marc s’est bien amusé à remonter le ballon rouge des 3h. A l’arrivée des 42kms, Marc confiait même en avoir encore un tout petit peu sous le pied. Francfort, Amsterdam, Em-Ti choisira en fin d’année le lieu et la date pour améliorer son record.

Freddy Chabriere n’a pas privilégié, comme à Rome l’an dernier, l’aspect chronométrique du marathon. Voulant néanmoins terminé dans un temps décent, il a bien résisté au mur du 30km pour finir à environ cinq minutes de son temps effectué à Cannes à 2009.

Pour Franck Saffioti, la marche de la veille avait très sérieusement entamé le capital énergétique. A l’arrivée, un “positive split” gigantesque et un chrono qui l’est tout autant. Les deux derniers kilomètres passés en 16 minutes restent le symbole de cette dériliction totale.

Sophie Juncker a d’ailleurs failli revenir sur Franck car elle ne s’est pas effondrée sur la dernière partie très usante du parcours. Avec une préparation un peu courte, Sophie n’avait donc pas toutes les munitions pour descendre son record mais, avec une course plus qu’honnête, elle inscrit son chrono comme la nouvelle référence du club. Et pour l’instant, elle est la seule à avoir les moyens de faire mieux chez les féminines.

Parti sur des bases de 3h45, David Laroche a réalisé son marathon avec une immense fatigue nerveuse, née de l’organisation du voyage. Le résultat final indique en effet que David a craqué sur la fin et le retour sur la place d’Espagne. Mais au niveau des sensations, notre G-O officiel sent qu’il a franchi un cap et que tomber les 4h sera un jeu d’enfant avec un minimum de sérieux à l’entraînement.

Avec son périple de la veille, Jean-Robert Frey avait revu ses ambitions à la baisse. Parti à 10km/h Jean-Robert courait avec en ligne de mire le ballon des 4h. Le manque de jus de la fin d’épreuve l’a obligé à ralentir pour ne pas se blesser et hypothéquer sa saison printanière.

Enfin, Arno Champalle, encore plus fatigué que Franck de son séjour a lui connu “le mur” dès le quatrième kilomètre… En tentant tant bien que mal de suivre le ballon des 3h30, Arno a jeté l’éponge au 31ème kilomètre alors que Claudie lui tendait son jean pour se rhabiller.

Le lundi matin, quelques-uns effectuaient le footing de récup’ pendant que Stéphane se rendait encore au Park Guell pour effectuer son entraînement trail. Pour sûr, une histoire d’amour est née entre Gaudi et Stéphane.

 

Le Parcours: http://www.openrunner.com/index.php?id=866840

Résultats en ligne ici

 

David Demarty :    296 ème en 2h 54min 05sec (record Peillon)

Marc Taraud :       470 ème en 2h 57min 58sec

Freddy Chabriere : 4130 ème en 3h 35min 43sec

Franck Saffioti :   4601 ème en 3h 39min 02sec

Sophie Juncker :    4686ème en 3h39min 37sec (record du club)

David Laroche :      8940 ème en 4h09 min42 sec

Jean-Robert Frey : 10297 ème en 4h 25min 06sec

Arno Champalle : abandon

et en guest star :

Max Maccio (Menton Marathon) 230 ème en 2h51min 34sec (record personnel)

 

12526 arrivants.

 

 

 

Foulées du Béal et Trail de Breil sur Roya

 

 

Petit récit de Jean-Marc Taraud sur les foulées du Béal :

“Ce dimanche, tous les coureurs n’étaient pas à Barcelone. Deux amoureux de la nature ont participé à cette magnifique course champêtre et ensoleillé du Béal. Comme le dit Françoise, la femme de Grégory, le plaisir avant la performance et l’objectif est atteint (comme la tarte)”

Victoire de William Struyven et de Céline Bousrez.

 

Greg Athénosy : 32ème en 37min 07sec

Jean-Marc Taraud : 75ème en 43min 05sec

 

 

A Breil, Hans Spies a fait brillé les couleurs du club en revenant sur la terre de ses exploits de 2009. La sentence a été dure, avec dix bonnes minutes de plus à l’arrivée mais beaucoup de plaisir pris sur les pistes surplombant la Roya.

Victoire de Renaud Cadière et Lisel Dissler sans trop forcer.

 

Hans Spies : 67ème en 2h 24min 58sec

 

 

A partir du week-end prochain, le calendrier du club se diversifie et vous risquerez de trouver des membres de Peillon un peu partout sur les courses de la région jusqu’aux premières épreuves du challenge des Paillons 2011.

 

 

édition 2011 – – Réglement

REGLEMENT DE LA MONTA CALA 2011

Article 1 ? Les épreuves :

L?Association Courir à Peillon de Nissa organise le 05 juin 2011 la MONTA CALA. Cette épreuve est ouverte aux coureurs sur une distance de 14,5 km environ en terrain varié sur routes et chemins communaux sur les communes de Peillon, Peille et Blausasc pour un dénivelé positif d?environ 450m. Le départ et l?arrivée se feront à Ste Thècle de Peillon devant la mairie, rue de l’hotel de ville. Le nombre des participants est limité à 250.
Les Départs seront échelonnés de la façon suivante :

Monta Cala (14,5 km) : Départ 9h00.

Courses enfants Bébé à benjamin: Départ 09h15.

 

-Accès :

1.En voiture : Par l?A8, sortie Nice Est, puis direction Sospel,Contes (N204), sortie Peille, Peillon (06440).continuer sur la CD21, en direction de Peillon.

2.En train : Depuis la gare SNCF de Nice, prendre la ligne 05 direction Breil-sur-Roya et descendre en gare de Peillon Sainte Thècle. 300m du Départ de la course. Horaire sur www.ter-sncf.com/paca

3.En car : Depuis la gare routière de Nice promenade du Paillon (Tél. 04 93 85 61 81) prendre la ligne 360 (réseau TAM) horaire sur www.cg06.fr

 

 

Article 2 – Conditions d’inscription :

Etre majeur.
Etre titulaire d’une licence FFA, FFTRI, FSGT Athlétisme FFCT Athlétisme et UFOLEP Athlétisme en cours de validité. Pour les non licenciés : posséder un certificat médical de non contre indication à la course sur terrain accidenté. Les originaux de ces documents sont obligatoires lors du retrait des dossards et l?organisation gardera les certificats médicaux en sa possession et ce pendant un an. (Conformément à la loi 99-223 du 23/3/99 : la participation aux compétitions sportives organisées ou agréées par les fédérations sportives est subordonnée à la présentation d?une licence sportive portant attestation de la délivrance d?un certificat médical mentionnant l?absence de contre-indication à la pratique de la course à pied en compétition, ou, pour les non licenciés auxquels ces compétitions sont ouvertes, à la présentation de ce seul certificat ou de sa copie certifiée conforme, qui doit dater de moins d?un an).

Renseignements : par téléphone au 06 23 10 10 67 / 06 70 48 15 79 ou par mail courirapeillon@yahoo.fr

Attention aucune inscription ne sera effectuée par téléphone.

 

En ligne sur sans majoration de prix. S’inscrire en ligne est la méthode la plus simple et la plus rapide pour effectuer son inscription. En quelques minutes vous avez la certitude d’être inscrit en recevant une confirmation d’inscription.

Attention : Malgré votre confirmation d’inscription, votre participation à l?épreuve est subordonnée à LA PRESENTATION de votre certificat médical (ou photocopie lisible) ou de votre copie de licence recto/verso de l’année 2010/2011 lors du retrait de votre dossard.
Le montant de l’inscription est fixé à :

Inscription à Monta Cala : 9 euros. Règlement à l’ordre de COURIR A PEILLON.

-Inscription aux courses enfants gratuites.

 

-Repas organisé par l?association Fêtes et traditions Peillonnaises:

Tarif unique  8 euros.

Réservation obligatoire au 06 37 80 04 74


Article 3 – Retrait des dossards :


Les inscriptions et le retrait des dossards se feront le dimanche 5 juin 2011 de 07h00 à 08h45 dans la salle polyvalente de la sousta”lieu dit le Moulin”. Les dossards seront à retirer sur présentation du certificat médical de non contre indication à la pratique de la course à pied (l?organisation conservera le certificat médical) ou de la licence sportive. Aucun dossard ne sera expédié par la poste.
Le dossard devra être porté devant et être entièrement lisible lors de la course. Dans le cas contraire il est susceptible de disqualification.

Article 4 – Engagement :

Tout engagement est ferme et définitif et ne peut faire l?objet de remboursement pour quelque motif que ce soit.
Sur simple demande écrite (mail ou courrier) effectué 7 jours avant l’épreuve, nous reportons gratuitement votre inscription pour l?édition suivante.

Article 5 – Assurance :

Responsabilité civile : conformément à la loi, les organisateurs ont souscrit une assurance couvrant les conséquences de leur responsabilité civile, celles de leurs préposés et de tous les participants de la Monta Cala de Peillon auprès de la compagnie Gras Savoye.

Les concurrents participent sous leur propre responsabilité en cas d’accident ou de défaillance consécutive à leur état de santé. Cependant il incombe aux participants non licenciés de souscrire une police d?assurance individuelle accident.

Article 6 – Ravitaillement :

4 ravitaillements sur le circuit et 1 à l?arrivée.

-Km 3 : point de ravitaillement en eau et sucre
-Km 6 : point de ravitaillement en eau, boissons sucrées, sucres, chocolat, fruits?

-Km 8 : point de ravitaillement en eau et sucre.

-Km 11 : point de ravitaillement en eau et sucre

Les ravitaillements extérieurs à l’organisation sont autorisés. Respectez l’environnement en pensant à jeter vos emballages de barres dans les poubelles mis à disposition sur les ravitaillements, ou en les gardant sur vous jusqu?à l?arrivée.



Article 7 ? Logistique :

Commissaires de course, Quads et voitures ouvreuses, voiture balai,coureur serre file, secours UDPS06.

-Marquage au sol (peinture biodégradable jaune fluo) et rubalise+pancarte jaune fluo sur le parcours+ indication kilométrique.

Article 8 – Classement et dotation :

La remise des prix se fera à partir de 12h00 sur l?aire de départ/arrivée.
Récompense pour : Les 3 premiers au scratch.
Les 3 premiers de chaque catégorie, non cumulable avec le scratch. (JH, EH, SH, V1H, V2H, V3H, V4H, JF, EF, SF, V1F, V2F, V3F, V4F)

Article 9 – Contrôle :

Plusieurs points de contrôle seront établis par l’organisation afin d’assurer la régularité et la sécurité de l’épreuve.

Tout concurrent n?ayant pas été pointé à l?intégralité des points de contrôle sera disqualifié.

Article 10 – Commissaires :

Les contrôles sont effectués par des commissaires de course qui sont sous l?autorité du directeur de course dont le pouvoir de décision est sans appel.

Article 11 – Assistance médicale et sécurité :

Une équipe médicale composée de secouristes sera présente pendant toute la durée de l’épreuve. Elle est habilitée à mettre hors course un concurrent jugé inapte ou mettant en danger sa sécurité ou celle d’autrui. Les concurrents autorisent le service médical à prendre les mesures nécessaires en cas d’accident. En cas d’abandon, le concurrent doit prévenir le poste de contrôle ou de ravitaillement le plus proche et rendre son dossard. Il sera mis hors – course et autorisé à quitter le parcours par ses propres moyens et sous sa propre responsabilité. Toutefois, l’organisation pourra l’assister et le reconduire sur la zone d’arrivée.
La sécurité routière sur les routes empruntées est assurée par des signaleurs mis à disposition par l?organisation.

Article 12 – Médias :

La couverture médiatique est assurée par la presse locale, et la presse spécialisée. Les concurrents autorisent l’organisation à utiliser leur image pour tout support concernant l’événement à des fins promotionnelles (photos, vidéos…).

Article 13 – Dossier inscription :

Le dossier d’inscription en ligne est à remplir avant le jeudi 02 juin 2011.

Les inscriptions par courrier doivent parvenir à l?organisation avant le jeudi 02 juin 2011.

Au-delà de cette date, les inscriptions seront enregistrées sur place le jour des épreuves.

Article 14 – Pénalités :

Le non-respect de ce qui suit entraînera la disqualification du concurrent :
Non port du dossard.
Aide extérieure autre que ravitaillement.
Non respect du parcours et des postes de contrôle.
Non respect de l’environnement (jet de bouteille, de papier…)
Mise en danger de sa propre sécurité, de celle d’autrui ou non assistance à un concurrent.
Avis du service médical.
Le présent règlement est valable dans sa totalité pour les coureurs. Les organisateurs attirent l’attention des concurrents sur le respect de l’environnement, des bénévoles, des promeneurs et des riverains.

Article 15 – Interdiction :

Les bicyclettes, engins à roulettes et / ou motorisés, autres que ceux de l?organisation, sont formellement interdits sur le parcours.

Article 16 – Chronométrage :

Le chronométrage sera effectué par un chronomètre et un logiciel de chronométrage LOGICA agréé par la FFA.

Article 17 – Annulation :

L’organisation se réserve le droit d?annuler ou de reporter la manifestation en cas de force majeure (intempéries). En cas d’annulation ou de report, les inscriptions seront automatiquement transférées pour la date de report ou pour l’édition suivante.

Article 18 – Acceptation du règlement :

Tout concurrent reconnaît avoir pris connaissance du présent règlement et en accepter toutes les clauses. Il s?engage sur l?honneur à ne pas anticiper le départ et à parcourir la distance complète avant de franchir la ligne d?arrivée.

 

 

COMPETITIONS 2011 – – 10km et Semi de Cannes

A Cannes, ce matin nous avons eu droit à une météo incertaine, une démonstration de la Légion Etrangère et quelques belles performances à mettre à l’actif du club dont de nombreux records. 

Dans cette ville très médiatique, qui crépite sans cesse sous les flashs, Peillon ne sera pas en mesure de vous présenter ses clichés à cause de l’absence de son maître d’oeuvre officiel Franck Payot. 

 

 

10km de Cannes

 

 

Réputé comme l’un des dix kilomètres les plus roulants qui soient, l’épreuve cannoise n’a pas déçu les afficionados du chrono tant les records sont tombés aujourd’hui. Dans l’ensemble, on soulignera les beaux résultats des légionnaires, des coureurs venus de l’étranger, des jeunes et des féminines.

 

 

Pour ouvrir le bal sur la plus courte des distances, le club avait choisi Marc Taraud en lièvre de luxe mais notre démagnétiseur de puce national a cette fois franchi une étape. Il a lui même arraché sa puce avant de la jeter dans une poubelle et ce, pour abandonner lâchement. Pétri de remords, Marc est quand même retourné sur les lieux de son forfait (le 6ème km) pour reprendre ce qu’il y avait laissé.

 

Après cette explosion en vol, un duel haletant devait avoir lieu entre Julien Waltzer et Christophe pour savoir lequel des deux serait le premier à descendre sous les 37 minutes. Hélas, aucun n’y est parvenu. Pour Julien, la course fut très satisfaisante et pleine de bonnes sensations puisqu’il établit un “personal best” sous les clameurs; mais au vu de son accélération finale, nul doute que Juju pouvait faire encore un petit peu mieux s’il n’avait pas eu un léger coup de mou au 7ème km.

 

Christophe Blachon n’a donc pas démérité mais la course a été cruelle pour lui. Après un départ à l’aise derrière Marc et une moyenne de 3’35” au kilomètre pendant 4 bornes, Chris pensait avoir fait le plus dur. Malheureusement, un point de côté dans le dos au niveau de la clavicule (ils sont chiants ceux-là) le priva de tenir ce rythme idéal. Il a ainsi serré les dents au maximum et a vu revenir sur lui Sébastien en fin d’épreuve. Mais un record officiel malgré tout pour notre espoir.

 

De ce cher Sébastien Huault parlons-en. Si Robert a été le poulain de coach Philippe en 2010, que dire de la nouvelle relation qui unit Séb à ce dernier depuis le début d’année. A chaque fois qu’un objectif est annoncé, il est réalisé et de quelle manière ! En suivant parfaitement ses allures d’entraînement sans se fatiguer à suivre Julien et Christophe pendant les fractionnés, Séb a pourtant réussi aujourd’hui grâce à sa régularité à tenir tête à ses deux compères. Bravo donc à notre meilleur tacticien.

 

Une petite déception ensuite pour Florent Laudani, autre coureur au potentiel incroyable. Celui-ci avait en effet promis que la relation fusionnelle qui le lie à Séb ne s’arrêterait jamais. Pourtant en craquant un peu après la mi-course, Flo a laissé filé son ami et son record sur 10km. Un coup d’arrêt pour comprendre que ce n’est pas à chaque course que tu peux claquer un record (espèce d’insolent 🙂

 

Immense repentir du webmaster d’avoir oublié l’excellente performance de Julien Lodetti, synonyme là encore de meilleur temps personnel. Après avoir été longtemps un coureur occasionnel, Julien a commencé depuis un an maintenant une reconstruction totale en devenant un fidèle de l’entraînement. Le travail porte ses fruits puisque la progression de ce dernier se confirme étape par étape. Encore une affaire à suivre de très près. Le souci étant que l’émergence de Juju est en train d’eclipser le talent de son grand-frère…

 

Ce matin, une voiture est partie de Fréjus direction Cannes. A son bord, un pâtissier de renom et aussi coureur occasionnel, Greg Athénosy. Pour son énième retour à la compétition, Greg ne prétendait pas tomber un chrono même s’il n’a pas été loin d’y parvenir. Encore un peu court, il n’a pas réussi à tenir les 14km/h, mais c’est encourageant.

 

Elliot Bour à son grand déplaisir semble avoir pris un abonnement à 47 minutes sur 10km. La relache qui dure depuis la fin d’année 2010 n’est donc pas encore terminée et Elliot semble désormais vouloir maintenir ce niveau pour laisser croire à Henri que celui-ci pourrait devenir le nouveau leader Junior du club. Une stratégie machiavélique…

 

Un retour plus optimiste: celui de Philippe Cordier pour plusieurs raisons. La première est que Philippe recourt de nouveau à plus de 12km/h, une barrière symbolique pour tester son état de forme. Ensuite, Philippe a réalisé aujourd’hui un joli “negative split” où il s’est permis de courir son deuxième 5000 deux minutes plus vite. Enfin et surtout, il a laissé Jean-Marc derrière lui !

 

Jean-Marc Taraud l’illustre n’a donc pas résisté à cette accélération subite du coach. S’il est également au-dessus des 12km/h, il a dû admettre que son chrono était juste satisfaisant, sans plus; que sur le plat, il n’est pas aussi fort qu’en côtes; et qu’à Cannes il n’y a pas de côte : un syllogisme à l’envers implacable.

 

On voulait tous que ça se batte, que ça s’échauffe entre les féminines et bien nous avons été exaucés. Si le record du club n’est pas tombé aujourd’hui, un mano-a-mano fratricide a vu s’opposer Patricia Maout, dont le transfert a été validé, et Sylvia Rosso, qui effectuait son retour après une saison mémorable et une absence déplorée à la Prom’. Patricia revenant de blessure a fini assez loin de son meilleur temps en prenant ses précautions et a par conséquent laissé la haute place chez les féminines à Sylvia.

 

“He’s back”, Marc Waltzer est de retour sous l’heure ! Ceux qui n’y croyaient plus ont vu quelle a été la réponse d’el prezidente. Encore loin de son record en vétéran 2, Marc a retrouvé des sensations ce matin et n’a pas hésité à mouiller le maillot. Faut que ça dure !

 

Parti pour accompagner son épouse, Marie-José, Marcel Guerra nouvel adhérent lui aussi, a cependant pris les devants en faussant compagnie à cette dernière. Il maintient effectivement à l’arrivée une moyenne légèrement supérieure, creuset possible d’une rivalité conjugale. Nul doute qu’avec Marc et Annick, un challenge couple devrait voir le jour au sein du club

 

Marie-José Nari a pensé aujourd’hui courir sous son propre patronyme et elle a eu raison. Après être passée sous l’heure à la Prom’, il fallait, un peu à l’image de Christophe, officialiser cela aujourd’hui. Un peu gênée au départ par la foule compacte, Marie-Jo a très vite pris ses distances avec la barrière de l’heure en tutoyant parfois les 11km/h.

 

Thierry Brunel n’a quant à lui pas pu retrouver ses jambes de la Prom’ pour améliorer sa marque sur la distance. Il a même eu l’impolitesse de devancer Annick Waltzer qui elle aussi n’améliore pas son excellent temps sur les 10 bornes. Félicitations au moins de l’avoir fait. Moins d’une heure ce sera pour la prochaine fois.

 

 

Chronos (temps puce en italique) :

 

Julien Waltzer : 145ème en 37min 12sec (record personnel) 37 min 04

Sébastien Huault : 149ème en 37min 27sec (record personnel) 37 min 16

Christophe Blachon : 150ème en 37min 28sec (record personnel) 37 min 19

Florent Laudani : 184ème en 38min 15sec ; 38 min 07

Julien Lodetti : 235ème en 39min 25sec (record personnel) 39 min 15

Grégory Athenosy : 426ème en 43min 19sec ; 42 min 45

Elliot Bour : 645ème en 47min 21sec ; 46 min 54

Philippe Cordier : 747ème en 48min 50sec ; 48 min 45

Jean-Marc Taraud : 801ème en 49min 43sec (record Peillon) 49 min 12

Sylvia Rosso : 828ème en 50min 10sec ; 49 min 26

Patricia Maout : 924ème en 51min 41sec (record Peillon) 50 min 48

Marc Waltzer : 1104ème en 54min 29sec ; 53 min 24

Marcel Guerra : 1201ème en 56min 11sec (record personnel) 55 min 32

Marie-José Nari : 1294ème en 57min 54sec (record personnel) 57 min 14

Thierry Brunel : 1514ème en 1h 03min 41sec ; 1 h 03 min 39

Annick Waltzer : 1539ème en 1h 04min 45sec ; 1 h 03 min 39

 

1646 participants !

 

 

 

Semi de Cannes

 

 

Un trio peillonais a pris le risque de doubler la distance. C’est dire la part de feignantise des autres membres. Cependant, avec le marathon de Barcelone dans quinze jours, il valait mieux ménager sa monture !

 

Leader d’un jour à cause de nombreuses absences, Franck Saffioti a réussi son pari pas très difficile d’améliorer son record perso sur la distance. Avec un léger “negative split”, il a pu parfaitement géré son effort et terminer satisfait. Il faut dire qu’il a été gentiment épaulé par les coureurs du Stade Laurentin, très en réussite eux aussi, même si Franck ne s’est pas dérangé pour les sprinter à la fin.

 

Préférant mille fois les courses au coeur de notre mère nature, Hans Spies a pourtant décidé de se forcer un peu en participant à une épreuve FFA. S’il ne retrouve pas encore son terrible niveau d’il y a deux ans, la reprise de l’entraînement l’a aidé à tenir efficacemment le rythme aujourd’hui.

 

Henri Nivoix avait enfin décidé de rester le plus longtemps qu’il le pouvait sur le bitume cannois. Exaucé, il a failli réaliser l’exploit de mettre plus deux heures. Plus sérieusement, on peut féliciter Henri d’avoir tenté un objectif à 12km/h de moyenne, mais, entre des entraînements au ski, une vie conjugale paraît-il très active et la course à pied, faut choisir !

 

 

Chronos :

 

Franck Saffioti : 61ème en 1h 22min 22sec (record personnel) 1 h 22 min 17

Hans Spies : 488ème en 1h 43min 04sec (record personnel) 1 h 42 min 08

Henri Nivoix : 858ème en 1h 57min 14sec (record personnel) 1 h 56 min 57

 

1089 participants.

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Nice-Monaco – Casterino

La course du soleil Nice-Monaco

 

 

 

La Riviera s’est illuminée en ce dimanche d’une lumière sublime caressant une mer diaphane et une roche immaculée d’une blancheur rayonnante. Traduction moins poétique, Jenifer la niçoise aurait simplement dit “Au soleil…”

 

Sauf que… Une petite rumeure, transformée en légère polémique, se confirma une heure avant le départ : la course serait raccourcie de 1500 mètres. Certains en furent enchantés pendant que d’autres voyaient disparaître leur objectif semi-marathonnien.

 

Nous avons eu droit aujourd’hui à un véritable chassé-croisé peillonnais avec deux matchs haletants entre membres :

 

Match 1 :

 

Parti comme un missile russe, David Demarty devait impérativement retrouver des sensations après des 10kms en deça de son niveau réel. Lancé dans le top 20 dès le début, il a serré les dents pour tenir et rester placé, grâce au travail effectué en sortie longue.

 

Mais David s’est toutefois fait déposer sur la ligne par Robert Sai. Toujours sur les mêmes bases chronométriques que l’an dernier, Robert a fait le show en remontant une cinquantaine de coureurs sans jamais se faire doubler.

 

Il a notamment dépassé sur le final un Rodolphe Lodetti très à l’aise sur la première partie du tracé slalomant gaiement entre les maillots adversaires pour craquer sensiblement dans les côtes et la descente du 18ème km.

 

Après avoir doublé Jérémy, Rodolphe a vu le jeune espoir le repassait pour le distancer inlassablement. Parti loin dans le peloton, Jerem a dû puiser pour refaire son retard et livrer en outre une très bonne prestation pleine de tenacité.

 

Cependant, Jérémy est revenu sur Rodolphe, pas sur David (vous suivez c’est bien), mais s’est fait doublé par Franck Saffioti à 3kms de l’arrivée. Franck avait choisi de faire une course d’équipe avec Cyril Cesaroni dit Ciçou (comme il est inscrit sur sa tenue au niveau du fessier), avant d’accélerer le rythme au 15ème.

 

Il n’aura pas été remonté par Julien Waltzer qui aura accumulé trop de retard. Quelque chose fut brisé dans l’esprit de Julien, dès l’instant ou celui-ci apprit que la course fut réduite (au niveau du Cap-Ferrat) pour ne plus constituer un semi véritable. Après un premier 10km timide en 42 minutes, Julien pensait revenir rapidement mais trop tard , l’écart était fait et Juju stoppa son effort…

 

[Mi-temps] : Ca se calme ensuite avec Laurent Valvassori, esseulé le pauvre, car Freddy n’apparaît pas classé à ses côtés aujourd’hui. (Même si nous avons repéré ce dernier au niveau de l’arrivée, une course illégale sans doute sans dossard…) Laurent a établi un bon temps sur une distance qu’il ne pratique pas tant que cela.

 

Match 2 :

 

Et c’est reparti pour le second match de la journée. Vainqueur ? Henri Nivoix !, qui a osé faire une pause WC à 1 kilomètre de l’arrivée ! Cette désinvolture aurait pu lui coûter très cher car il s’est fait dépasser par Philippe Cordier pour le redépasser de nouveau, “soulagé”…

 

Le coach a ainsi posé des problèmes à cette fougueuse jeunesse. Débarassé de l’idée du marathon, Philippe n’avait uniquement comme arrière-pensées que des petites gênes au niveau des jambes, l’ayant fait ralentir. Il propose néanmoins une belle moyenne, encourageante sur cette distance.

Si Dooble D pensait avoir fait son job en modifiant les noms des inscrits, une petite erreur empêche néanmoins le coach d’apparaître sur les classements.

 

Mais par qui Philippe fut-il talloné aujourd’hui ? Par David Laroche, parti pour réaliser une allure marathon, David a un peu triché sur l’ensemble en finissant un peu plus vite que prévu mais pas suffisamment pour soutenir la foulée de son prédecesseur. 

 

“Enfin” a dit Philippe. Jean-Robert Frey a accepté les consignes de prépa marathon en réduisant son allure aujourd’hui sur ce faux semi de 19,5kms. Indiscipliné, incorrigible, J-R est donc rentré dans le rang après ses “escapades plaisir” de Janvier.

Dimanche 13 janvier, Jean-Robert confirme avec une superbe sortie longue de plus de 30kms.

 

Merci à la tribu Payot pour les photos, magnifiques, sauf une vulgaire.

Et à la tribu Waltzer presqu’au grand complet. Du plus jeune (Quentin) au plus vieux (. . .)

 

A bientôt pour Cannes !  

 

 

Résultats :

 

Robert Sai : 33ème en 1h 15min 24sec

David Demarty : 34ème en 1h 15min 28sec

Franck Saffioti : 43ème en 1h 16min 47sec

Jeremy Payot : 49ème en 1h 17min 29sec

Rodolphe Lodetti : 53ème en 1h 18min 07sec

Julien Waltzer : 75ème en 1h 19min 56sec

Laurent Valvassori : 277ème en 1h 28min 52sec

Henri Nivoix : 692ème en 1h 42min 35sec

Philippe Cordier : NC en 1h 43min 28sec

David Laroche : 762ème en 1h 44min 42sec

Jean-Robert Frey : 822ème en 1h 47min 04sec

 

1191 arrivants !

 

 

 

Trail des Neiges de Casterino

 

 

 

Deux de nos meilleurs cabris, Stéphane Giordanengo et Jeremy Payot se sont rendus du côté de Casterino pour participer à un type d’épreuve en vogue : “un trail blanc”.

 

Par rapport à l’an dernier, la belle poudreuse n’a pas tenue au sol et des plaques de verglas sont apparues par endroit, donnant lieu à de belles gamelles comme celles de Max Dujardin et Rémi Fantino, 9 et 10ème loin de leur niveau.

 

Peut-être plus surprenant encore, Stéphane qui, dans un jour sans, a dû s’employer pour tenir le rythme des leaders. Peu à l’aise dans les côtes, Stéphane a laissé filer irrémédiablement les favoris, dont Sylvain Camus, vainqueur indiscutable.

Pour Steph, il y a bien la satisfaction de ne plus ressentir autant la douleur même si la 3ème place de l’an dernier sur la même course semble loin …

 

Jeremy a appris quant à lui à apprivoiser ce type d’épreuve où l’équilibre est instable si l’on est pas muni des bonnes chaussures. Après un très bon Nice-Monaco, Jerem a ressenti un peu la douleur et a dû gérer son effort pour ne pas subir. En finissant sous l’heure il livre cependant une course honorable.

 

 

Résultats :

 

Stéphane Giordanengo : 15ème en 51min 54sec

Jérémy Payot : 48ème en 59min 40s

 

257 participants.

 

 

 

COMPETITIONS 2011 – – Les 12 bornes de Gorbio

Les 12 bornes de Gorbio

gorbio.JPG

 

Une fois de plus l’ensemble des membres qui se sont rendus à la course de Gorbio ont été enchantés de leur déplacement tout comme les 300 autres personnes présentes à l’évènement.

Les premiers coureurs arrivés au petit matin ont pourtant dû faire face un froid polaire, mais qui a peu à peu laissé place à un beau soleil comme le coach l’avait prédit.

Concernant la course, les multiples possesseurs de GPS se sont tous accordés à dire que la course ne fait pas 12 bornes mais un peu moins de 11,5km.

 

La course parlons-en :

 

Avec l’absence du maître des lieux Kaïs Adli, c’est logiquement qu’Anthony Caverivière s’est imposé aujourd’hui.

 

Ce qui n’était pas prévu en revanche, est de trouver sur la troisième marche du podium, Stéphane Giordanengo (sosie non-officiel de Oui-Oui), qui a voulu passer outre les douleurs qui accompagnent ses foulées depuis près d’un an. Un come-back à l’américaine où le héros meurtri revient sur les chemins de la gloire… Comment Stéphane va-t-il gérer le fait de parler de lui à la troisième personne dans Nice-Matin ? Réponse demain matin. Le club est dans tous les cas, très heureux de ce retour.

 

Saluons également la belle performance d’Hervé Duval du Stade Laurentin qui après-course a livré ses impressions :

– Alors Hervé content de ta superbe course ?

– Oui ça va bien en ce moment même si je suis un peu déçu de finir pas loin derrière Robert Sai de Peillon, alors que j’étais avec lui toute la descente !

– Mais Hervé t’étais pas derrière Robert Sai, mais derrière Stéphane Giordanengo !

– Ouaaah, le Stéphane Giordanengo !? Alors là je suis content !

 

Pour tout avouer, le club souhaitait obtenir un bon classement par équipe. Cette année Peillon finit bien sur le podium grâce à ses 3 premiers arrivants.

Après Stéphane quels ont été les deux autres héros du jour ?

 

Le début de la réponse et ce n’est plus une surprise : Christophe Blachon. Après son étincelante Prom’Classic, Christophe devait encore effacer une vieille malédiction le concernant. En effet, après avoir vaincu ses blessures, brillé sur le plat, il ne lui restait plus qu’à dompter les courses de côte, qu’il n’affectionnait guère en 2010. La chose fut faite et de quelle manière ! Longtemps resté 4ème Espoir pendant l’épreuve, Christophe a tour à tour déposé Loic Franco de la Sadas, Franck Saffioti et enfin Kévin Blanchard pour remporter la mise.

Notons également la superbe perf’ du tout récent Junior de Menton Marathon, Julien Gueydon, qui s’est permis de devancer tous les Espoirs en contenant l’assault final de Christophe. 

 

Si Christophe s’est permis une telle remontée c’est aussi car il a été épaulé par Julien Waltzer, “le troisième homme” du jour. Peu entraîné à ce type de parcours (longue descente et montée difficile), Julien s’est même étonné de tenir un tel rang. Bien calé lui aussi dans les foulées du Contois Michel Lopez il a réussi à remonter un bon paquet de monde, notamment notre ami Max Maccio en souffrance sur la fin, et à finir très bien placé grâce à un départ prudent, voire un peu trop raisonnable. 

 

Une trentaine de secondes plus tard, Franck Saffioti arrivait un peu désappointé de ne pas avoir tenu le rythme fou de ses amis mais content tout de même d’avoir fait 9 minutes de mieux qu’en 2010 (une édition noire en ce qui le concerne…). Il devra cette année lutter durement pour pouvoir suivre la cadence du nouveau fer de lance et leader du Spiridon, Lisel Dissler !, vainqueur chez les féminines aujourd’hui.

 

Autre réelle satisfaction, celle de voir Sébastien Huault continuer à progresser par petites touches. Après avoir descendu les 38′ à la Prom’, Séb savait que ce parcours difficile ne lui convenait pas vraiment. Malgré tout, sa persévérance à vouloir suivre les autres membres du club l’a conduit à améliorer son chrono de 2 minutes par rapport à l’an dernier et à finir pas si loin des Peillonnais le précédant. Attention à Séb !

 

Arrivé vingt minutes avant le début de l’épreuve après s’être un peu perdu sur la corniche, Julien Lodetti n’a pas eu droit à un échauffement en règle pour se lancer dans la longue descente qui entame la course. En se basant sur la course réalisée par Séb l’an dernier, Julien a d’ailleurs failli tenir la très bonne moyenne qu’il s’était imposé. Un peu court sur la fin, il confirme néanmoins sa très nette progression depuis Grasse.

 

Nouvel adhérent au club, le célèbre Hans Spies a enfin répondu aux sirènes de l’adhésion. N’ayant plus couru depuis environ 8 mois, Hans a aujourd’hui eu quelques difficultés à retrouver son excellent niveau en côte. On se rappelle notamment de son superbe trail réalisé à Breil/Roya en mars 2009.

 

Les plus expérimentés membres du club ont quant à eux laissé les plus jeunes s’expliquer pour se concentrer sur leur petit duel à eux :

Belle prestation de Jean-Robert Frey à près de 12km/h sur un terrain difficile. La présence assez discrète de J-R pourrait être expliquée par le fait que depuis deux semaines, il remplace les sorties longues prescrites par Philippe, par des compétitions. Une émancipation à la Franck en vue ? 😉

 

Plus fort, plus rapide, sur un terrain qu’il connait si bien (pour habiter à 43 mètres de la ligne de départ), Philippe Cordier a profité de la descente pour faire la différence. Cependant l’apparition des premières côtes fut fatale au coach qui dut inéluctablement baisser la cadence pour ne pas céder dans ces interminables raidillons de la deuxième partie de l’épreuve.

 

Comme à Agay, le 1er novembre dernier, Jean-Marc Taraud a bénéficié de son allure svelte pour refaire son retard sur Philippe dans la montée. Longtemps ensemble, J-M a montré une belle fraîcheur dans les derniers hectomètres de la course (constitués par une série de marches) pour dépasser le coach. Ce genre de final lui rappelle ainsi les courses de côte où il s’imposait autrefois.

 

Enfin, Mea culpa du rédacteur qui s’était permis durant l’article de la Prom’ Classic d’être insolent envers notre vénérable président Marc Waltzer. Après une bonne maladie l’ayant éloigné des terrains tout décembre, les performances un peu en deça qu’il réalise en ce mois janvier sont donc tout à fait explicables, notamment celle réalisée aujourd’hui à Gorbio (je plaisante……. pas).

En tout cas, l’hypothèse de l’aide à la jeune fille en détresse est abandonnée au plus grand soulagement d’Annick qui désormais surveille de près son athlète favori…

 

Les membres présents tiennent aussi à remercier Hélène et Philippe du somptueux apéritif qu’ils nous ont offert et qui a servi de parfait debriefing d’après-course !

 

 

Résultats :

 

Stéphane Giordanengo : 3ème en 44min 24sec

Christophe Blachon : 16ème en 47min 26sec (1er espoir)

Julien Waltzer : 17ème en 47min 38sec

Franck Saffioti : 19ème en 48min 08sec

Sébastien Huault : 29ème en 49min 15sec

Julien Lodetti : 52ème en 52min 32sec

Hans Spies : 101ème en 58min 15sec

Jean-Robert Frey : 123ème en 1h 02min 01sec

Jean-Marc Taraud : 161ème en 1h 05min 52sec

Philippe Cordier : 165ème en 1h 06min 14sec

Marc Waltzer : 233ème en 1h 15min 06sec

 

278 participants.

 

Le blog de Claude (Monaco-Athlé), le Spiridon CA et les Foulées Roquebrunoises étaient là entre autres pour médiatiser l’épreuve.

Des photos ainsi que le classement sur le site de l’AS Gorbio.