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COMPETITIONS 2012 – – Ascension de Gourdon

Ascension de Gourdon


L’ascension de Gourdon est cette année une course club et nous la conseillons vivement.
De plus, pour cette édition, les conditions climatiques étaient splendides.

Malheureusement le mot ascension avaient freiné pas mal de coureurs peillonais et peu d’entre nous avaient fait le déplacement..

Chez les dames,

Chantal Meillerand finit contente de sa course. Elle réalise le même temps qu’à Vence 4 jours auparavant (quel exemple pour nous tous) en 1h18’02 et se classe 5 éme V2 et 171 émé au général.

Sophie avait prévu de souffrir après Millau.
Elle a effectivement beaucoup souffert mais chapeau elle a réussi son objectif, son deuxième de la semaine.
Elle termine avec 7 minutes de retard par rapport à l’année dernière, (ce qui est peu quand on sait qu’elle reprend à peine la course à pied et qu’elle a parcouru 24 km le dimanche)  et elle se classe donc 114ème au général en 1’14″48.
En tout cas Sophie est toujours partante pour des compétitions et pour faire briller nos couleurs, merci Miss !

Quelques courageux étaient présents chez les hommes :

Alex Robini, pour sa première saison chez Courir à Peillon termine 135ème au général en 1’13″25.
Bravo Alex !

Notre cher Mario continue de reprendre goût à la course à la course à pied (sa présence régulière depuis un moi sur les lignes de départ le montre bien ) et il termine 84ème au général en 1’06″37.

Francis Bonnet notre “ancien portrait” monte sur le podium V3 à la 3eme marche.
Il se classe 56éme au général en 1’02″58. La aussi, quel panache ! Quand nous l’avons vu arriver sur le pré, “il mangeait toute l’herbe” pour faire son sprint et a fini avec la basket du coureur de devant dans la bouche.
Quel guerrier !

Enfin XXX dans la peau de Smiters Barnabé, récolte une nouvelle médaille en chocolat avec un temps de 52″05.

Merci à Stéphane Giordanengo pour toutes ses photos et sur son rôle de baby-sitter auprès des enfants Smiters,  et aux deux Philippe pour leurs conseil et leurs encouragements.

Au final, on s’est tous retrouvés autour de la paëlla (délicieuse au passage) pour clôturer cette bien belle journée.


Xxx.

COMPETITIONS 2012 – – Course du viaduc de Millau

Course du Viaduc de Millau


Pour ce premier déplacement de l’année 2012, notre Gentil Organisateur, David Laroche avait réussi à réunir deux clubs de la vallée du Paillon. Nous mêmes et les foulées Contoises.

Nous avions décidé de nous rendre à Millau pour la course du Viaduc, course qui avait déjà eu lieu en 2007.
Courir à Peillon était déjà venu en 2007 pour la naissance du club.
Nous fêtions donc les 5 ans de l’association puisque c’est au début de l’année 2007 qu’avait été créé par Marc Waltzer, Marc Taraud et Julien Waltzer Lou Cap De Nissa qui, après quelques modifications de titre et de statuts est aujourd’hui notre club au débardeur blanc et vert.

Nous avions donc rendez-vous en fin d’après midi le vendredi, soit à La Pointe de Contes soit à Nice Nord. Nous attendions un bus d’une cinquantaine de place pour que les 25 participants au déplacement puissent allonger leurs jambes. Surprise un mini-bus de 27 places arrive, en retard, et le départ est enfin lancé.
Sachant que le camping fermait à 23 h, il ne fallait pas trainer, mais notre halte à Aix pour récupérer Séb Huault, les différentes pauses pipi, repas, cafés et quelques erreurs d’aiguillage (mais où est le GPS ?) nous ont fait arriver finalement aux alentours de 2 h du matin.
Heureusement les clés étaient sur les portes des bungalows et nous avons pu enfin nous reposer quelques heures.
Seule anecdote du soir, Jérémy Payot a préféré dormir en L sur un canapé d’angle et laisser le lit à Marc Taraud son rival sportif du weekend. Le L aurait pu devenir un vrai lit si nous avions réfléchi un peu et ouvert le canapé…lit ! Dommage Djé.

Un bon petit-déjeuner plus tard (merci le G.O pour les courses) et nous étions scindés en deux groupes. Les coureurs qui en profitaient pour faire un réveil musculaire (Marc T, Jérémy, Séb et Stéphane Paule) qui se transformait en trail de plus d’une heure dans les montagnes et les touristes qui allaient chercher les dossards et faire les courses.
Le retrait des dossards avait lieu sous un grand chapiteau et nous avons rapidement compris que nous allions avoir droit à quelque chose de grand : un nombre incalculable de bénévoles, des gens sympas et serviables et des stands gastronomiques où tous les membres présents s’en sont donnés à c?ur joie. Vins rouges, saucissons, jambons, crus et autres spécialités, nous nous sommes régalés.
Michel Lopez des foulées contoises était satisfait de cette ambiance, car lui et son équipe aiment qu’une organisation se déroule sans accrocs.

Après une bonne salade le midi (même s’il manquait peut-être de tomates, n’est-ce-pas Annick ?), où seul le vin rosé était une entorse à la diététique nous n’avons pas eu le temps de faire la sieste.
De nouveau nous nous sommes séparés : d’un côté les caves de Roquefort et de l’autre la descente de la Dourbie en canoë.
Descente qui aura vu briller Marie-José Nari et Marcel Guerra, avec un canoë toujours perpendiculaire à la rivière, Manon Lopez plus souvent dans l’eau que dans l’embarcation (Christian Orlandi a donc pagayé pour deux) et le canoë de Christophe Orlandi et Mallaury Lopez qui ne s’est “presque” jamais retourné.
A noter aussi la sobriété de Marc Waltzer et Annick, la dextérité de David et Marc T, le “chavirage” de Séb et Jérémy et la classe de Carine et Julien Waltzer.


Pour le repas du soir le vin rouge était accompagné de pâtes et nous sommes allés nous coucher après une partie de time’s up. Je peux donner par mail les résultats du jeu mais pour résumer Sophie Juncker, Séb et Jérémy n’ont pas été très performants et la pauvre Angélique avait David et Marc dans son team…dur.
Mallaury en a marre de tous ces vieux (“mais c’est qui cette Evelyne Leclerc ??”), Marc et Annick W se sont bien défendus mais l’équipe composée de Manon, Carine et Julien W était largement au dessus ! (c’est bon d’écrire l’article !).


Mais tout ça n’était que l’amuse bouche, car enfin le départ approchait en ce dimanche matin.
Sur un air de ERA, tous les participants avaient les poils qui se hérissaient et le coup de pistolet libérait ces quelques 15000 coureurs avec à leur tête 2 kenyans et Marc Taraud qui avait pris place dans le sas élite.
Des vagues de coureurs partaient toutes les 7 minutes et commençaient l’ascension vers le point d’orgue du déplacement : le viaduc de Millau.
L’autoroute était fermée pour l’occasion (ouf) et ni le vent de face ni le dénivelé n’auraient pu faire abandonner qui que ce soit.
Dans l’ordre d’arrivée sur nos deux clubs :
Marc Taraud, Jérémy Payot (non, l’élève n’a pas dépassé le maître), Séb Huault, Christian Orlandi, Christophe Orlandi, Sophie Juncker, Stéphane Paul, Nathalie Ivaldi, David Laroche, Angélique Duchemin, Bertaina Yves, Florence Freid, Mallaury Lopez, Marc Waltzer (qui a presque évité les crampes), Marie-José Nari (qui elle n’a pas réussi à les éviter) et Marcel Guerra.


Nous avons alors regagné le camping pour manger et tout ranger, puis prendre un bon coup de stress quand la petit Mathilde Laroche a disparu (mais nous aurions du nous douter qu’elle serait allée vers la bouffe !)
Après un dernier regard au viaduc, géant posé entre ciel et terre, nous avons regagné Nice la belle qui sous des trombes d’eau voyait son équipe de foot lutter difficilement pour son maintien.

Weekend génial, course superbe, participants chaleureux, on se refera ça ! Pourquoi pas pour le marathon de Paris en 2013 ??

J.W

Merci à David Laroche, Angélique Duchemin, Bettina et Mathilde, Marc Taraud, Sébastien Huault, Jérémy Payot, Marie-José Nari, Marcel Guerra, Marc Waltzer, Annick Waltzer, Carine Waltzer, Michel Lopez, Myriam Lopez, Mallaury, Manon, Stéphane Paul, Nathalie Ivaldi, Christian et Christophe Orlandi, Yves et Marie-Rose Bertaina, Florence Freid et notre chauffeur, Bruno.

Les vidéos de la course :
ICI  –  ICI  –

Les résultats :

Marc Taraud: 40ème  1H32’35”

 Jérémy Payot: 65ème 1H35’54”

 Séb Huault: 188 ème 1H41’26”

 Christian Orlandi: 423 ème 1H48’01”

Sophie Juncker: 1749 ème 2H05’59”

Christophe Orlandi:1861 ème 2H03’40”

Bertaina Yves: 2289 ème 2H06’45”

David Laroche: 3154 ème 2H12’40”

Angélique Duchemin:3258 ème 2H12’51”

Stéphane Paul: 3259 ème 2H12’51”

Nathalie Ivaldi: 3261ème 2H12’52”

Florence Freid: 6211 ème 2H29’56”

Mallaury Lopez: 6304 ème 2H30’28”

Marcel Guerra: 8361 ème 2H44’45”

Marie-José Nari : 8461ème 2H45’45”

Marc Waltzer: 8646 ème 2H47’45”

Position

Nom

Prénom

Temps

Place catégorie

Place (M/F)

club

40

TARAUD

Marc

1h 32? 35??

21 SEM

 

Courir à Peillon

65

PAYOT

Jérémy

1h 34? 54??

63 SEM

 

Courir à Peillon

188

HUAULT

Sébastien

1h 41? 26??

75 SEM

 

Courir à Peillon

423

ORLANDI

Christian

1h 48? 01??

61 V2M

1751

Foulée Contoise

1749

JUNCKER

Sophie

2h 02? 59??

27 SEF

99

Courir à Peillon

1861

ORLANDI

Christophe

2h 03? 44??

507 SEF

1753

Foulée Contoise

2289

BERTAINA

Yves

2h 06? 45??

89 V3M

2139

Foulée Contoise

3154

LAROCHE

David

2h 12? 10??

822 SEM

2869

Courir à Peillon

3258

DUCHEMIN

Angélique

2h 12? 51??

86 SEF

304

Courir à Peillon

3261

IVALDI

Nathalie

2h 12? 51??

138 V1F

305

Foulée Contoise

3259

PAUL

Stéphane

2h 12? 51??

1171 V1M

2955

Foulée Contoise

6211

FREID

Florence

2h 29? 50??

514 V1

1161

Foulée Contoise

6304

LOPEZ

Mallaury

2h 30? 28??

 

 

Foulée Contoise

8341

GUERRA

Marcel

2h 44?45??

508 V3M

6292

Courir à Peillon

8461

NARI

Marie-José

2h 45? 45??

601 V2F

2109

Courir à Peillon

8646

WALTZER

Marc

2h 47? 45??

1802 V2M

6452

Courir à Peillon


COMPETITIONS 2012 – – Trail de l’Escarène

TRAIL DE L’ESCARÈNE




En ce 13 mai avait lieu le trail de l’Escarène avec ses trois distances 32km, 17,5km et 6 km.

Les premières chaleurs sont terribles, personne n’aurait pu dire le contraire aujourd’hui mais de nombreux coureurs de la région avaient fait le déplacement pour cette deuxième manche du challenge du pays des Paillons.
Courir à Peillon avait, comme chaque année, envoyé de nombreux coureurs dans ce court déplacement pendant qu’une autre délégation était à Millau.

Sur le le 32 km, notre leadeur du trail Stéphane Giordanengo, était indécis sur sa participation jusqu?à la veille du départ. Il hésitait notamment entre les 2 principales distances.
Après s’être décidé pour le 32 km, il est parti en tête en compagnie de Besnard.
Malheureusement, Stéphane fut victime de crampes puis de malaises à quelques km de l’arrivée alors qu’il était idéalement placé.
Il termina alors la course en roue libre pour terminer 9ème.
C’est une journée à oublier pour lui mais Stéphane saura en retirer quelques enseignements.

Sur le 16 km notre Roro Lodetti préféré aura connu une grosse déception. En effet à cause de son manque d’entrainement et de la difficulté du parcours, il a rapidement abandonné et n’aura pas défendu ses chances sur cette course qu’il attend depuis des mois.

Nous avons aussi été surpris de voir monsieur Demarty dit Dbd au départ. Venu aiguiser ses baskets de trail pleine de moisissure il finit à une belle 13ème place en s’étant permis de répondre au téléphone pendant la course !

Juste devant lui, le varois Greg Athénosy est en pleine confiance. Après qu’il a fini le mont Vinaigre avec notre leader historique Marc Taraud dans le viseur (en en ayant gardé sous le pied), il profite de la forme de sa vie pour terminer à une belle 12ème place.

Robert Sai finit 6ème en ayant fait une très belle course, il faut toujours compter sur lui ! Décidément ce parcours lui réussit bien !

Enfin XX finit 2ème derrière l’intouchable Camus (team Garmin), il était surtout content de rentrer à la maison sans passer par le camion de pompiers.

Chez les féminines Il n’y en avait qu’une mais c’était l’excellent Audrey Heilman qui finit 2ème et conforte son avance sur le challenge trail découverte. Quelle traileuse !

Sur le tout petit circuit, Hans Spies a fait son retour, et il était surtout super content de n’avoir rien ressenti. La distance a du lui paraître bien courte mais c’était un bon galop pour la reprise.

Les résultats (complets sur le site de runningmag) :

32 km :

Stéphane Giordanengo : 9ème en 4 h 02 min 36.

19 km :

Robert Sai : 6ème en 1 h 39 min 55.
Greg Athénosy : 12ème en 1 h 54 min 42.
Demarty David : 13ème en 1 h 54 min 57.
Audrey Heilman : 28ème en 2 h 09 min.

6 km :

Hans Spies : 5ème en 32 min 32.

   

COMPETITIONS 2012 – – Course du muguet

Course du muguet à Cantaron
 
 

 
Première manche du challenge du pays des Paillons, la course du muguet à Cantaron accueillait une centaine de participants en ce mardi 1er mai 2012.
 
Chantal Meillerand :
“Mon 1er trail ! CANTARON Cette année, j?ai envie de participer au Challenge des Pays du Paillon, malgré la proximité avec le 10 km de Nice, et bien que je ne sois pas fan, j?ai décidé d?enchainer deux épreuves. Jusqu’à hier soir, je croyais que le trail du muguet démarrait à 16 h, j’avais réglé mon horloge biologique en mode ” grass’ mat’ ” , un mail au Groupe de Courir à Peillon m’a fait déchanter. Merci Stéphane J?avais cherché l?info sur Internet ! De plus, je ne connaissais pas la distance exacte, pareil que pour l?heure, des versions fantaisistes ! Petits détails qui seront à signaler à l?organisation, je connais certains amateurs qui auraient aimé venir mais étaient restés sur 16 h. Donc, je me suis levée tôt ce matin, j?ai vu le soleil et malgré les trombes d?eaux nocturnes, je tenais a en être ; Pour une première, je n’ai pas pu apprécier : Pas préparée, j’ai trouvé la montée trop pentue, la descente trop raide ! Bref ! J?ai bien morflé ! La course commence par un petit tour de village pour enchainer direct sur une belle montée que j?entreprends en foulées courtes comme on m?a appris. Bien vite, on en viendra à la marche les mains sur les cuisses pour pousser. Beaucoup de portions très dénivelées que j?estime à 25% voire plus, impossible de courir sur un terrain très difficile, les appuis improbables?sans doute la spécificité du trail?Quelques faux plats pour récupérer mais beaucoup de boue sous les semelles, chaque chaussure pesait sans doute 1 kg.. Je n’ai pas pu apprécier les paysages superbes, à peine ai-je fait un 360°une fois pour apprécier la neige et la mer et tout le moyen pays en un seul coup d??il… Vers Chateauneuf, début de la descente, franchissement de rivière, terrain hyper glissant, étroit, pas de plaisir, je décide d?assurer et prend une vitesse de croisière. Je n?étais sans doute pas la seule car j?ai été très peu doublée et j?ai même doublé quelques concurrents bien entamés ou blessés. Contente d?arriver en 1 h 51? et +. Maintenant, je ne vais pas faire la bégueule, j?ai quand même fait 2ème V2F et j?ai eu une très belle gourde?pour un autre trail ?? Aujourd?hui, je me dis que je n?accrocherai pas mais qui sait ? J?aurai une 2ème expérience pour voir avec de l?entrainement sur un trail plus facile si c?est plus sympa. Ma conclusion concernant le trail du muguet de Cantaron : beau mais difficile ; Concernant les trails en général : encore plus que pour la course sur route, il faut un bon entrainement et très spécifique.”

Laurent Bermon :
“Le challenge des paillons me tient à c?ur, d’ailleurs tous les challenges en fait, j’adore marquer des points, me voilà fin prêt pour la 1ère étape avec une petite incertitude au départ :  je n’avais plus fait de course depuis un mois !
Parti dans le groupe de tête (ça n’allait pas vite mais vu le mur qui nous attendait derrière tant mieux), je me retrouve au bout d’un kilomètre derrière Besnard, avec plein d?énergie, mais cette fois je n’ai pas commis la même erreur qu’à la ronde des collines ou j’ai voulu aller plus vite que mon ombre.
Je suis resté bien caché derrière un de mes modèle et Dieu sait que je me suis régalé à suivre ce monsieur du trail. Quelle gestion de course, j’ai plus appris en 5 km de trail qu’en 1 an de course.
Arrivé sur la partie “plate” j’ai profité du coup de ma vitesse pour combler le petit écart et aprés j’ai pris le risque de foncer vers ma premiére victoire à 2 kil de l’arrivée (en fait il m’a dit tu veux passer ? j’ai répondu je vais essayé)
J’ai tellement foncé que je me suis peté un bras à 100 m de la ligne en ayant 1’30” d’avance : pas malin !
Mais bon on va dire que je suis jeune et fougueux.”


Les résultats de nos membres :


 
Laurent Bermon     1er en 1H09’55”
 
Robert Sai               4ème en 1H14’50”
 
Stéphane Cittadini   23ème 1H30’22”
 
Mario Bulgheroni      28ème 1H33’20”
 
Chantal Meillerand   55ème 1H50’58”

COMPETITIONS 2012 – – Week end 27/28/29 avril

TRAIL DES BALCONS D’AZUR

 

Le trail des Balcons d?Azur, plus gros trail des Alpes-Maritimes, s?est étalé cette année sur 3 jours. En ouverture de celui-ci, un trail nocturne le vendredi soir a en effet été ajouté. Au final, ce sont 8 épreuves qui étaient organisées durant le week end : le TBA by night, le Ptit TBA, l?Azuréenne, le premier Handi Trail, le KD TBA, la Rando TBA, le 33 km et le 52 km.

Peillon n?était pas représenté sur toutes les courses, mais tout de même sur chacune des journées.

Le vendredi, sur le TBA by night, course nocturne de 20 km disputée à la frontale, Marc, le « leader historique du club » comme devait par la suite le qualifier l?article de Nice Matin, s?est brillamment imposé, quelques mois seulement après sa première victoire acquise en collaboration avec Julien et Magali. Après un départ tranquille, il a accéléré pour revenir aux avants postes vers le 5ème kilomètre. A ce moment là, alors qu?il était 2ème à quelques encablures du 1er, ce dernier a fait une erreur de parcours.

 Emti Dumpty, plus vigilant car pas en surrégime à ce moment-là, a lui prit la bonne direction. Il a ensuite accentué son avance, pour s?imposer détaché,avec une confortable avance.

Le samedi, 3 Peillonais étaient présent sur le Ptit TBA (18 km). Christos, sur une distance qui ne l?avantage pas forcément, lui qui est habitué à de bien plus longues épreuves, se classe 26ème et 13ème senior, dans le temps de 2h02mn56. Audrey termine 39ème du scratch, 5ème féminine et 4ème senior, en 2h07 tout rond.

 Avec le non cumul des mandats podiumaux, elle monte donc sur la plus haute marche du podium senior. Elle semble bien partie pour une fois de plus bien figurer au classement final du challenge découverte. Enfin, Yann son époux arrive 10 mn après elle, et se classe 64ème scratch et 15ème V1.

Le dimanche, Stéphane a fait ses premiers pas sur 52 km. Il était un peu inquiet quant à la gestion de son départ (partir pas trop vite, mais pas trop doucement non plus?), mais à l?arrivé de l?épreuve la conclusion suivante s?est imposée à lui : le corps se cale naturellement sur l?allure en fonction de la durée de course programmée par le cerveau ! Après un départ tranquille, mais pas trop (oui, comme la politique de Jack Beauregard !), il était pointé en 8ème position au 1er ravito. Puis 7ème en bas de la descente des écureuils après avoir rattrapé Renaud Cadière, et de nouveau 8ème au pic de l?ours après avoir été repris par ce dernier. Vers le 25ème kilomètre, une large vue arrière était possible. Personne en point de mire à cet instant, n?était-il pas parti trop vite ? Au 27ème kilomètre, premier arrêt à un ravito pour 

 reprendre 1,5 L d?eau. Puis après une longue ascension, enchainait une longue descente. Alors qu?il mettait à profit celle-ci pour revenir sur 2 concurrents (Cadière et un autre), il devait s?arrêter pour soulager un besoin naturel, puis les recollait à nouveau peu après. Il arrivait sur la plage du trayas en 6ème position. Là, un aller-retour permettait de mesurer les écarts avec l?arrière.

A partir de cet instant, la course commençait vraiment, et l?allure devenait plus soutenue. Nouvel arrêt au 40ème kilomètre pour reprendre de

 l?eau, puis ascension des petites et grandes grues. Dans la descente suivante

, les jambes commençaient à devenir plus lourdes. Mais grâce à la pluie et au

 ciel couvert durant toute la première partie de l?épreuve, toujours pas de crampes en vue. Au 47ème kilomètre, il gagnait à nouveau une place en

 reprenant René Rovera, et finissait à fonds pour franchir la ligne d?arrivée en 5ème position, en 5h09mn17.

Sur l?ensemble du week end, près de 1 000 trailes étaient inscrits à l?une des courses, et 940 effectivement présent au départ.

Marc Taraud : “Le mois d?avril, c?est en générale le retour des beaux jours et c?est aussi le véritable début de la saison de trail. Pour ma part après un arrêt de la compétition depuis le marathon Nice-Cannes, j?avais décidé de reprendre la saison avec une course atypique, le trail des balcons d?Azur by night. A ma grande surprise, pensant être le seul membre du club à prendre le départ, je retrouve Christos Toyas, le globe trotter du club, en pleine reprise depuis sa blessure contracté sur l?épreuve de la Saint?Lyon. Après sa participation à la course Cahin Caha de la semaine dernière, il a décidé de participer à 2 épreuves du TBA, le vendredi soir 20 km et 900 m de dev+ et le samedi après midi, 18 km et 900 m de dev+.

Le départ initialement programmé à 20h15 a été décalé volontairement par l?organisation à 20h45 afin de nous faire partir dans l?obscurité totale.

Le départ est donc donné immédiatement après le passage de chaque participant dans un sas pour le contrôle de sa lampe frontale.

Le début de la course est relativement lent, le temps d?habituer notre vision et d?adapter notre foulée à l?obscurité. Lors d?un trail de jour, le regard se porte au loin afin d?anticiper les difficultés du terrain, de nuit le champ de vision est restreint au bout de ses pieds, c?est pour cela que certains coureurs finissent par se tromper de chemin en ratant les balises disposées en hauteur. Ce fût le cas pour Christos qui a rajouté quelques kilomètres à sa première course du weekend.

A la fin de la route et avant de d?attaquer les chemins monotraces, j?ai décidé d?accélérer pour revenir sur le groupe de tête emporté par Christophe Laigneil, spécialiste de la piste et nouveau venu sur le trail. A la fin de la première montée et au début d?une portion plus rapide, celui-ci décida de forcer le pas, en mettant à profit ses capacités de pistards. L?avantage de la course nocturne, c?est de pouvoir garder un contact visuel grâce au faisceau lumineux et d?estimer la distance qui nous sépare de chaque concurrent.

Après quelques kilomètres en seconde position à essayer de créer un écart avec mes poursuivants et à revenir sur cette petite lumière qui me précède, je me rends compte que celle-ci n?est plus visible, dans le doute je me dis qu?il est vraiment très fort et a pris vraiment beaucoup d?avance. Je continue mon effort dans chaque montée en espérant réduire l?écart rapidement.

Ma tache fut vaine, en effet Christophe, c?était trompé de chemin vers le 5èmekm.

Celui-ci a tout de même effectué une superbe remontée jusqu?à la deuxième place reprenant dans le dernier km Frédéric Dollet.

Au final j?apprends que je suis en tête de la course au environ du 17ème km, ainsi j?ai pu gérer la fin du parcours sans prendre de risque afin d?éviter la chute tant redoutée sur ces épreuves nocturnes.

Dernière minute j?apprends la 4ème place et 3ème sénior de Greg Athenosy sur le trail des Lucioles(Var) ainsi que les résultats du P?tit TBA ci dessous.”

 

RESULTATS TBA BY NIGHT

RESULTATS P’tit TBA

Les photos de Julien W


Les résultats de nos coureurs :

10 km :

Pascal Garnevault : 13ème en 35 min 53.
Arnaud Folco : 34ème en 38 min 19.
Séb Huault : 36ème en 38 min 29.
Francis Bonnet : 117ème en 42 min 17.
Chantal Meillerand : 321ème en 47 min 30.
Elliot Bour : 372ème en 48 min 44.
Marie José Nari :
Marcel Guerra : 1365ème en 1 h 02 min 28.
Marc Waltzer : 1634ème en 1 h 06 min 49
Annick Waltzer : 1635ème en 1 h 06 min 49.

Semi-marathon :

Jérémy Payot : 49ème en 1 h 20 min 39.
Jean-Robert Frey : 1382ème en 1 h 51 min 33.

– Chantal Meillerand

Le portrait du mois

 

3/ CHANTAL MEILLERAND “le charme et l’abnégation”

 

Chantal a été élue athlète du mois d?avril 2012 à l’unanimité du bureau. Nous avons voulu au travers de ce vote mettre en avant non-seulement les performances de Chantal (qualification au championnat de France Vétéran du 10 km), mais également les valeurs sportives qu’elle véhicule. Elle montre en toute simplicité, qu’on peut être compétitive en commençant le sport après 40 ans tout en gardant à l’esprit que cela reste un loisir.

Ce questionnaire a été envoyé par e-mail à Chantal qui s’est prêtée gentiment au jeu.

Bonjour Chantal, quelles sont tes impressions après cette reconnaissance mondiale d’Athlète du Mois d’Avril 2012 ? Pour information, Haile Gebresselassie et Paola Radcliff ne l’ont pas eu.

Il faut ajouter à « athlète du mois d?avril 2012 » la mention « du club formidable de Courir à Peillon ».

J’apprécie l’idée de mettre en avant les profils qui ont quelquefois du mal à exister en tant que sportif dans les clubs plus élitistes. Je suis honorée d’être la 1ère féminine et de succéder à Francis qui est un sportif hors pair.

Où as-tu fais tes premiers pas ? Je ne te demanderai pas ton âge, je préciserai simplement, si tu m’y autorise, que tu es une jeune V2.

Je n’ai pas de problème à dire que j’ai 53 ans passés

J’ai été très active enfant, nous allions tous à l’école à vélo et le soir, on « avalait » sans problème une côte de 12%.

Je suis de cette génération qui a passé son temps libre dehors avec les copains, j’étais un garçon manqué, toujours à courir avec mon frère. J’étais bonne en sport à l’école et participais au Cross du collège. Mais je vivais à la campagne, il n’y avait pas de club de sport, je n’ai donc jamais plus fait de sport après l’âge de 15 ans.

Quelle est ta situation familiale et professionnelle ?

Je suis divorcée et j’ai une fille de 28 ans qui est mariée, je suis mamie de Cassim, 20 mois qui aura un frère ou une sœur en octobre.

Je vis en couple depuis 5 ans et je suis responsable administrative dans une petite entreprise d’assainissement à Drap.

Peux-tu nous relater ton parcours sportif ? Clubs, palmarès, records?

J’ai commencé le sport à 40 ans, ma fille avait 15 ans et j’avais des amis qui faisaient du triathlon au Stade Laurentin Triathlon, donc je m’y suis mise également.

Je suis ensuite venue au Cavigal Triathlon plus proche de chez moi et également au Cavigal Athlé pour bénéficier de l’entrainement en course à pied.

Le triathlon est un sport qui demande beaucoup de disponibilité, en 2007, je me suis concentrée uniquement sur la course à pied. J’ai découvert la piste.

J’ai ensuite suivi Eugène Sassone au GSEM mais je ne me suis pas retrouvée dans ce club orienté loisir.

Mes meilleurs temps :

2’56” sur 800 m

21’57” sur 3 000m Marche

46’16” cette année sur 10 km

1h 43” sur semi

Et 4 h 21 sur marathon

Comment as-tu découvert Courir à Peillon ?

J?’ai besoin d’un groupe conviviale et proche géographiquement pour m’entrainer,

En tournant seule sur le stade Vauban, j’ai croisé des membres du club très sympathiques, j’ai tout de suite eu envie de les rejoindre et j’ai été bien accueillie.

Quel est ton meilleur souvenir de course à pied, mise à part la rencontre de ton entraîneur ?

J’ai deux bons souvenirs : mon 1er marathon à Monaco en 2005, je me suis entrainée seule (sauf le dernier mois ou je venais de signer au Cavigal).

C’était un challenge pour moi, à l’époque, je n’avais pas confiance en moi, je vivais seule, j’étais au chômage et ça m’a fait un bien fou même si le résultat était modeste.

L’autre beau souvenir, c’est le podium V2 au 10 km de Cannes en 2008 où je fais 2ème derrière Jackie Garlet (Temps puce 45’39).

A l’inverse, quel est ton pire souvenir de course à pied (je t’interdis de faire référence à ton entraîneur) ?

Le 1er marathon Nice-Cannes : je me suis blessé début août et n’ai pas pu démarrer les entrainements avec le groupe. Mon entraîneur n’a pas su m’écouter et me proposer un plan allégé pour commencer deux semaines plus tard.

J’ai vite ressentie la fatigue et la blessure. J’ai voulu continuer l’entraînement et courir malgré tout.

J’ai fait 35 km en souffrant.

Je regrette encore ne pas avoir voulu profiter de l’expérience de Philippe mais j’avais pour principe de respecter mon entraineur officiel qui pourtant, n’était pas à l’écoute, lui.

As-tu une course préférée ?

Une course à Nice que j’aimais bien et qui n’existe plus, elle s’appelait « La Vénus », était réservée aux femmes et faisait 4.8 km sur la Prom.

Quand je serais à la retraite, si j’ai un peu de temps, je relancerais l’idée !

Quelle est la course que tu rêverais de courir ?

Le déplacement de 2013 du club ! ! C’est où ? ?  

Tu es la première athlète de Courir à Peillon à participer à un championnat de France de 10 km, comment as-tu vécu cette participation ?

Les minimas pour les Championnats de France sont très-très accessible pour les Femmes de 39 ans et plus, j’avais donc déjà participé auparavant.

Cette année, c’était particulier parce que la première fois avec le Club de Courir à Peillon ET dans ma ville natale.

Sur le moment, je regrettais de ne pas avoir battu mon record mais avec un parcours en faux plats et avec beaucoup de virages, je vois que je me suis rapprochée des filles qui sont loin devant habituellement (en 46’42”).

J’espère que tu ne m’en veux pas David, j’aurais aimé te faire ce plaisir, mais je m’y remets ! !

Tu adores pratiquer le cross l’hiver. Mise à part son importance dans la préparation d’un 10 km, qu’apprécies-tu dans cette discipline ?

Ça me rappelle l’époque du collège ( ! ) Non ! Sérieusement : j’aime beaucoup la campagne, les terrains accidentés, même pour m’entraîner.

Le cross, ça donne « de la caisse », ça redistribue les places (c’est sans doute pour ça que beaucoup hésitent à participer)

J’aime aussi l’ambiance « Kermesse » et aussi, on retrouve à cette occasion des amis du Var qui ne viennent pas pour les autres compétitions.

Pour conclure, un petit mot?

Je suis heureuse dans ce club car je me sens acceptée en tant qu’athlète, sans considération de genre ou de performance.

Je voudrais profiter de la tribune interplanétaire qui m’est offerte pour dire que le sport n’est pas réservé aux grands, jeunes, forts.

On peut s’y mettre à tout âge, même à 40 ou 50 ans ou plus,

pour faire des exploits

ou pour rester en forme

pour rencontrer des gens tout niveau social

ou pour se remettre sur les rails après un petit souci ou un gros pépin

Le sport me permet de ne pas penser au fait que j’ai fait plus de la moitié du parcours qui m’est imparti sur cette terre. Le sport me permet de me sentir bien, c’est tout ! 

Merci Chantal d’avoir pris le temps de répondre à mon questionnaire.

Je souhaiterais en profiter pour déclarer publiquement ma reconnaissance d’entraîneur aux féminines de « Courir à Peillon ». En effet, cela fait un an que je me suis découvert un intérêt pour l’art de l’entraînement. Même si vous n’avez pas toute le temps de vous entraîner comme Chantal (4 entraînements régulier par semaine) ou de suivre mes plans, vous m’avez accepté comme entraîneur et vous répondez toujours avec joie (c’est l’impression que j’ai) à mes e-mail et mes appels. Avec vous, j’ai découvert les joies et les peines de l’entraîneur. Je vis les courses avec vous sans les courir.

La course à pied est un plaisir, il faut que ça le reste. J’espère que l’année prochaine vous serez plus nombreuses !

David Laroche

Merci à :

     –Angélique Chiaraviglio

     –Sophie Juncker

     –Annick Waltzer

     –Marion Waltzer

     –Audrey Heilmann

     –Magali Letertre

     –Angélique Duchemin (ma préférée)

Chantal Meillerand

COMPETITIONS 2012 – – Weekend du 15 avril

10 km de St Laurent (10-04-2012)


Pascal GARNEVEAULT a fait 36’O4 pour une place de 11ème. Il est 4éme V1.
Francis BONNET 41’52 pour une place de  61éme. Il est 2éme V3. Jean-Robert Frey fait 46’1O pour une place de 116éme. Il est 1O éme V3. 
Marie-josé NARI fait un temps de 53’47 (nouveau record personnel), elle est 7éme V2 pour une place de 173éme.
Puis Marcel GUERRA 56’23, 191éme et fait 21éme V3. 
Nous étions 2O9 Arrivants.

Marathon de Milan


“J’ai très bien préparé ce marathon, et j’avais pour objectif de tenir les 15 km/h sur cette distance mythique.
Le début de course s’est déroulé comme dans un rêve. Après l’hymne italien chanté par des milliers de poitrines et qui filait même la chair de poule au bon français que je suis, le départ a été donné.
Mon objectif était de tenir 160 pulsations pendant toute la course. Jusqu’à l’implosion de ma montre Polar (pour ne pas la citer), tout se passait parfaitement.
J’étais dans un bon groupe d’italiens sympas, tout le monde prenait des relais, et jusqu’au semi les sensations étaient là.
Je me payais même le luxe d’accompagner un italien qui se décidait à accélérer et me faisait courir à plus de 15 km/h.
Cependant et comme très souvent, la barre des 30 km s’est faite sentir. Alors que j’avais craqué assez tôt à Barcelone, j’ai réussi cette fois à tenir jusqu’au 37ème km.
Les 5 derniers km se sont avérés très difficiles, mais j’ai lutté et ne me suis fait que très peu doubler.
Au final je bats mon record et j’ai pris beaucoup de plaisir sur ce marathon très roulant et que je conseille fortement.” David Demarty.

David Demarty : 2 h 51 min 45, 236ème.

Pett. 236 – COURIR À PEILLON DE NISSA
Tempo: 02:51:45 RealTime: 02:51:38

5K 00:19:53
10K 00:39:45
Mezza Maratona 01:24:32
30K 02:00:34 00:36:02
35K 02:20:49 00:20:15
Arrivo 02:51:45 00:30:56

Marathon du lac d’Annecy


Commentaires de Francky :

Temps exécrable tout le week-end sur Annecy, j’ai logé pendant deux jours dans le nouveau fourgon de mon père, un confort assez modique mais fun tout de même.
J’avais de bonnes jambes mais dès le 3/4ème kilomètre, des douleurs sur l’extérieur des deux cuisses, donc pas de blessure vu que la douleur était “symétrique”. Ca a bien tenu, je passe le 10km en 41’30, le semi en 1h28 et le 30km en 2h07/8 (record perso sur la distance) sur des bases d’un peu plus de 3h. Mais le fameux “mur” a fait son oeuvre, à partir du 32ème km les douleurs aux mollets datant de l’urbain trail ont refait surface ainsi que celles aux cuisses qui elles dataient du début de course. J’ai fait les 10 derniers kilomètres à moins de 8km/h de moyenne, j’ai marché au moins pendant 4kms cumulés en alternance avec la course à 10/12km/h.
Y’a pas de mystère sur marathon faut faire du spécifique et du long… ou être un coureur talentueux pour tenir le rythme après le 32ème km.
Dommage car il faisait 6/8 degrés sur l’ensemble de la course avec une bonne bruine ce qui me convenait parfaitement.
Au delà du manque d’entrainement sur la distance, je sens que je ne suis pas fait pour ça !

Franck Saffioti : 948ème en 3 h 34 min 10.


Trail de Moulinet

Le trail de Moulinet, 4ème du nom, était cette année la deuxième étape nature comptant pour le challenge convivialitat du club. Pour l?occasion, 5 traileurs étaient présents, accompagnés de Sophie qui avait troqué ses running contre une casquette de bénévole-marcheuese, et de Jissé en mode photographe tout terrain.

Plus que pour le challenge, c?est pour la beauté du parcours et la qualité de l?organisation que tous ont participé à cette épreuve. Le tracé, qui reprends en grande partie celui de feu la course de VTT du village (hélas arrêtée en 1996), enchaine les montées à forte verticalité et emmène les participants jusqu?à Peira Cava, pour se finir par une superbe descente de 5 km (également empruntée jadis par une course de VTT, le raid Turini-Sospel-Menton lors de sa première édition, avant qu?il ne se mette à passer par la célèbre descente des feuilles ? descente prise en sens inverse par le trail?).

L?accueil réservé aux concurrents par les bénévoles est aux petits soins sur cette course. Ils sont tous souriants et chaleureux. Le balisage est de plus exemplaire, et le repas d?après course parfait en tout points.

En ce qui concerne la compétition, disputée par près de 150 personnes, Mario s?est classé 65ème en 3h02mn26. De retour de 3 semaines en Chine, malgré son manque d?entrainement il est donc dans la première moitié du classement.

Jean-Michel, futur nouveau licencié recruté par Mario et Le Coach, prends la 31ème place en 2h40mn46. Victime de crampes en fin de parcours il est néanmoins parvenu à les « gérer » pour finir dans le premier cinquième des arrivés.

Charly, qui prépare actuellement le 100 km du Cromagnon, arrive en 26ème position en 2h37mn39. Belle place donc sur une course qui privilégie la vitesse à l?endurance, l?intéressé devrait nous gratifier d?un jolie classement en juin prochain?

Frédéric, le mystérieux nouveau licencié du club, termine 23ème en 2h34mn18. Marc doit prendre contact avec lui pour que nous fassions sa connaissance, par exemple à l?occasion d?une sortie nature.

Enfin, Stéphane, vainqueur de la course l?an dernier, et détenteur du record du parcours, fini 2ème en 2h06mn32 derrière le redoutable Olivier Darney. Après une course effectuée de concert avec Guillaume Besnard, il a prit un léger avantage sur ce dernier dans la descente finale. Il est à noter que les 3 premiers ont à nouveau battu le record de l?épreuve, rassurant pour Stéphane qui pensait avoir fait une mauvaise ascension.

Comme le dit le slogan de l?épreuve, l?avis est partagé par tous : « le trail de Moulinet, quand vous l?aurez fait vous y reviendrez ».

COMPETITIONS 2012 – – Ronde Collines Niçoises – Lyon Urban Trail

Ronde des Collines Niçoises


Les photos magnifiques de Franck Payot



Les photos de l’arrivée des Peillonais par Carine Waltzer


Chaque année le Spiridon organise la ronde des collines niçoises, une course superbe d’environ 18 km qui serpente à travers les collines surplombant St Isidore. Au programme du plat (très peu), des descentes ( très longues) et des montées (aïe aïe aïe) notamment à l’intérieur des vignes des différents châteaux.

Cette année le parcours était un peu plus long, je dirai que par rapport aux résultats des années précédentes, la différence est d’environ une minute.

Courir à Peillon présentait un team réduit mais de qualité.
Avec son tee-shirt qui lui permettrait de se mêler sans problème aux nuits tropézienne, Jean-Claude Bougon continue sa préparation pour son raid qui reliera le nord de la France à Sète. Il fait une belle course et ne se laisse pas impressionner par tous les jeunots du Spiridon.

Julien Waltzer était parti sur les traces de sa superbe course de l’an passé. 15ème aux environs du 11ème km, la longue descente qui rejoint le ravitaillement d’une célèbre marque de bonbons n’a laissé aucune chance à ses abdos convalescents et c’est la mort dans l’âme qu’il a laissé presque 10 coureurs le dépasser… Il s’est arraché pour terminer devant Batman qui avait heureusement laissé la Batmobile au parking.

Rodolphe Lodetti a suivi le même chemin (de croix ?)que Julien.
Un début de course fracassant et une fin de course harassante. Rodolphe avait des sensations incroyables aux entrainements ces deux dernières semaines mais il semble qu’il lui manque encore quelques km pour tenir pendant toute une course aussi exigeante.

Les deux amis se sont faits doubler par la nouvelle fusée Peillonaise. Celui qui n’est jamais aussi à l’aise que lorsque les distances s’allongent est revenu progressivement dans la course. Après un bon départ il pensait cependant que ni Julien ni Roro ne seraient rattrapables. Mais Sébastien Huault n’a connu aucune défaillance et c’est tel un bolide qu’il a déposé Julien dans la descente et Rodolphe sur le plat du final.

Enfin et comme souvent depuis que Marc Taraud n’est plus trop présent sur les courses et qu’Arnaud Folco se remet doucement de sa blessure, Laurent Bermon a porté haut les couleurs de Courir à Peillon. Parti comme le célèbre DbD (au taquet), il était 3ème après la première difficulté du jour. Cependant la longueur de la course a eu raison de ses ambitions de podium scratch, mais il termine à une magnifique 6ème place, qui le met sur la 2ème marche du podium Sénior.

Pour terminer je me permets de féliciter les organisateurs de cette superbe et exigeante épreuve ou convivialité, esprit sportif, bonne bouffe et bonne humeur ne sont pas de mots galvaudés. Bravo le Spiridon et à l’année prochaine.

Les résultats complets

Les résultats de nos coureurs :

BERMON Laurent : 6ème en 1 h 11 min 11.
HUAULT Sébastien : 17ème en 1 h 18 min 11.
LODETTI Rodolphe : 19ème en 1 h 18 min 40.
WALTZER Julien : 23ème en 1 h 19 min 57.
BOUGON Jean-Claude : 118ème en 1 h 35 min 33.

Lyon Urban Trail



Grand et beau week-end à Lyon pour 5 de nos membres. Si Angélique Chiaraviglio et Eddy Chirio n’ont passé qu’une petite journée dans la capitale des Gones (car ils travaillent, eux), Jérémy Payot et Stéphane Giordanengo ont pu profiter davantage des décors lyonnais mais aussi de sa gastronomie. Franck Saffioti servait quant à lui d’hôte pour Jeremy qu’il attendait de pied forme, heureux de ces retrouvailles sportives.


Après un vendredi de visite et de repérage, une bonne pizza et un poker que Stéphane n’a cette fois pas gagné, le samedi, Jérémy nous a fait des pieds et des mains pour festoyer dans un des célèbres bouchons de la ville et, comme il ne fallait pas trop faire d’effort la veille de l’épreuve, les deux plus jeunes de la bande ont fini par un bain de soleil à la Tête d’or. Stéphane lui se trouvait du côté de la Part-Dieu où se déroulait un casting de top models. Petit message pour Sophie : il avait la langue bien pendante! 


Venons en au fait : dimanche matin, Stéphane et Eddy sont sur la ligne de départ, fin prêts, ou presque… car Stéphane cherche à tout prix à se faire remarquer et interviewer par le journaliste qui rodait autour de la ligne de départ. Petite précision, il n’aurait pas cité le nom de Courir à Peillon lors de son entretien !
7h30, le départ du 38km est donné, évidemment Stéph se sent pousser des ailes dans le tunnel de la Croix-Rousse, s’envole et attaque la première descente de l’épreuve en tête ! Eddy a lui compris qu’il ne valait mieux pas s’enflammer inutilement en partant à une allure plus soft. 
7h37, Stéphane explose déjà lorsqu’arrive la première salve de marches un peu difficile. Peu à peu, il perd du terrain pour se retrouver au bout de quelques kilomètres, talonné par la vainqueur féminine, Céline Lafaye, qu’il s’était juré de battre “facilement” la veille… Au bout de 10km, Eddy poursuivait l’épreuve à un rythme parfaitement régulier reprenant même du terrain sur son coéquipier avant que Stéphane ne décide de se reprendre. Arrivé au premier tiers de la course, il a alors commencé une remontée intéressante retrouvant un second souffle. Eddy lui passait sans encombre les difficultés situées sur la colline de Fourvière. Seule la piste de la Sarra a un peu forcé nos compères à marcher un peu… Revenus sur la Presqu’île, les dernières côtes de la journée ont vu nos deux étalons peillonnais coincer très légèrement, Stéphane s’est fait reprendre par Jeremy, lors de l’arrivée commune des épreuves tandis qu’Eddy finit assez sereinement même si les crampes n’étaient pas très loin. Bravo dans tous les cas à nos deux courageux du jour qui ont couru “la vraie distance” et finissent dans la première partie du classement. 


Sur la distance intermédiaire du 23km, la belle Angélique et les deux jeunots Jeremy et Franck ont réussi un petit exploit avant le départ. Après avoir demandé un accès privilégié au SAS élite pour se présenter au dernier moment sous l’arche de départ, ces derniers ne se sont retrouvés qu’à 3 dans le SAS devant 1500 personnes comprimées derrière… Ils n’étaient accompagnés que d’un seul et vrai favori du team Running Conseil.
8h45, le départ, Angélique un peu gênée se décale sur le côté, Jeremy lui nous fait une Stéphane et accroche le groupe de tête, Franck essaie de suivre péniblement mais ne tient pas. Angélique est facile et passe en haut du tunnel précédemment cité dans le top 50. Le “drame” arrive quelques instants plus tard… alors qu’il semblait particulièrement véloce, on s’aperçoit que Jerem’ ne parvient pas à descendre les escaliers de la meilleure des façons, une marche après l’autre ou presque, c’est dommage quand on sait qu’une grande part du trail est justement composée de marches ! Si Angélique commence à perdre quelques places sur les premières relances, elle est en forme et attaque Fourvière avec de bonnes sensations. Mais comme pour Jerem’ et Franck, la montée des arènes gallo-romaines est très pénible puisqu’il faut doubler les concurrents du 12km. Juste avant d’attaquer la deuxième partie de course, Jerem recolle Franck facilement sur les berges de la Saône, sur les portions plates, mais instantanément dès que la route s’élève, l’aigle de la Trinité a de nouveau les jambes lourdes et lâche du terrain. 
Une fois la basilique de Fourvière dépassée, restaient deux/trois ascensions qu’Angélique, Jerem et Franck ont parfaitement géré en remontant de nombreux coureurs et finissant ainsi bien placés. Jérémy retrouva même ses jambes de feu sur les derniers hectomètres du trail. En outre, Angélique loupe de peu le podium à cause d’une remise de prix plutôt originale ne récompensant que les 5 premières féminines et les vainqueurs de catégorie.


L’arrivée à l’hôtel de ville, ouvert pour l’occasion, était assez réussie, tout comme le ravito d’après-course. Le parcours était magnifique par endroits un peu plus neutre à d’autres. Deux bémols : la présence des voitures dans certaines zones et un kilomètre en moins pour les coureurs du 23km… du 22km pardon. L’organisation peut néanmoins savourer sa réussite avec près de 5000 participants, “le plus beau trail urbain d’Europe” a réussi sa mission.
Le petit groupe peillonnais a fini au resto (spécial saumon, trouvé par Stéph’) et autour d’une glace chez le célèbre R. Nardonne.



Résultats du 38km : 

Stéphane Giordanengo : 15ème en 3h 06min 02
Eddy Chirio : 33ème en 3h 21min 49

629 arrivants.


Résultats du 23km :

Franck Saffioti : 14ème en 1h51min 04
Jeremy Payot : 38ème en 1h 55min 28
Angélique Chiaraviglio : 398ème en 2h 23min 09

1498 arrivants. 






COMPETITIONS 2012 – – Les foulées des Baous – Les boucles du Rotary

Les foulées des Baous

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Chaque année l’association “ensemble avec Benoit” organise les foulées des Baous.
Ont lieu des courses enfants, un 4,5 km et un 10 km.

Sur la petite distance, l’excellent Rémi Fantino l’emporte à la lutte avec deux jeunes coureurs.

Sur la grande distance, Peillon ne présentait malheureusement que 4 coureurs.

Honneur au plus ancien, le célébrissime Jean-Claude Bougon qui prépare un grand raid pour dans quelques mois.
Après avoir serré un nombre incalculable de mains avant la course il termine sa course entouré de Spiridoniens avec le beau maillot de Peillon sur les épaules.

L’autre “serreur” de mains du jour est notre ami à tous Séb Huault.
Après un bon début de course pendant lequel il a montré ses progrès en descente il a un peu coincé dans le passage forestier et dans les grandes montées qui le composent.
Cependant il n’a comme à son habitude pas lâché, et termine très près de…

Julien Waltzer qui a effectué une course différente de celle de Séb.  Parti plus doucement et avec de très mauvaises sensations, les montées lui ont fait du bien et l’ont relancé. Il s’est battu au courage mais termine moins bien qu’en 2011 et en 2010. Le parcours a cependant un peu évolué cette année mais je ne sais pas s’il était plus long.

Last but not least (seule expression anglaise que je connaisse) l’incroyable Jérémy Payot (accompagné de sa tribu) termine à une incroyable 6ème place. Un peu coincé dès le départ, il a vite remonté de nombreux concurrents. Il a ensuite utilisé toutes les grimpettes pour doubler à chaque fois 2 ou 3 coureurs.
La préparation hivernale du coach Cordier a porté ses fruits, c’est le moins que l’on puisse dire.

Je terminerai juste en félicitant l’organisation encore une fois impeccable, tous les bénévoles présents ainsi que l’association “ensemble avec Benoit”.

Les résultats

Jérémy PAYOT : 6ème en 38 min 47.
Julien WALTZER : 19ème en 41 min 02.
Sébastien Huault : 23ème en 41 min 22.
Jean-Claude BOUGON : 140ème en 51 min 09.

J.W

Les boucles du Rotary

La course des boucles du Rotary compte pour le challenge route du cdchs 06, le reste des troupes peillonaises y était donc présent.

Honneur à la dame avec Marie-José Nari qui connaissait le parcours comme sa poche et a failli créer la surprise.
Elle ne se fait doubler que lors du 2éme tour par Philippe.
Elle finit avec un beau sourire à la Première place du classement V2.

Marcel Guerra finit 129éme dans le dur, mais reste un modèle pour son courage et son abnégation. Courage Marcel, Marie-José n’est pas loin devant !

Philippe Cordier, renouait avec la compétition.
Il finit très satisfait de sa prestation malgré son entrainement allégé depuis un certain temps.

Jean-Robert Frey finit 5éme V3.
Il respire comme à chaque fois la joie de vivre et de courir.
C’est toujours un bonheur de le croiser avant le départ.

Francis Bonnet, avec son statut de coureur du mois, finit 2éme V3, il est toujours dans une excellent forme.

Et pour finir, Laurent Bermon, termine le moins âgé de la bande et 3ème sénior.
“Quand on voit les adversaires qu’il a laissé derrière lui, ça laisse rêveur. Notre statisticien de génie, un certain Franck S, soutient que sa course d’hier le laisserait aux environs de 34 min 30 sur 10 km.
On attend maintenant sa première victoire scratch !”

L.B

Les résultats

Laurent Bermon : 8ème en 32 min 53.
Francis Bonnet : 55ème en 41 min 17.
Frey Jean-Robert : 70ème en 43 min 35.
Cordier Philippe : 111ème en 51 min 36.
Nari Marie-José : 113ème en 52 min 26.
Guerra Marcel : 129ème en 55 min 20.

COMPETITIONS 2012 – – Course des escaliers de Beausoleil – Bigreen

Course des escaliers de Beausoleil
 
 
Pour les fêtes de la St Joseph, la municipalité de Beausoleil organise chaque année une épreuve originale qui malheureusement n’attire pas tous les participants qu’elle mérite.
De beaux lots, une organisation sans faille tout était réuni.
Le matin les coureurs avaient à gravir 480 marches lors d’un contre la montre.
L’après-midi, ils se retrouvaient autour du stade Vanco pour un cross de 8 km.
Cette course était la seconde du challenge Convivialitat de Courir à Peillon ce qui fait que de nombreux membres avaient fait le déplacement pour l’une ou l’autre épreuve.
Le matin, Stéphane Giordanengo a terminé sur le podium suivi de très près par Marc Taraud, de retour en bonne forme.
Suivaient Julien Waltzer, Elliot Bour, Marc Waltzer et Annick Waltzer.
L’après midi, Stéphane était encore là même s’il avait prévu de faire la Bigreen le lendemain. Grand bien lui a pris car il a gagné ce cross d’une belle manière et avec assez d’avance pour gagner aussi le combiné des 2 épreuves.
Julien Waltzer termine 9ème et en profite pour grimper sur la première place du podium sénior grâce au non cumul des récompenses.
Elliot Bour gagne sa première course en espoirs et Marie-José Nari monte elle aussi sur le podium dans sa catégorie.
Suivent Marcel Guerra à portée de fusil de Marie-José puis Annick et Marc Waltzer qui ont fait la course ensemble.
À noter la présence de Philippe Cordier et Jérémy Payot qui sont venus nous encourager.
Bravo aussi à Christophe Vigouroux qui a passé la journée avec nous et a beaucoup apprécié la compétition.
Félicitations à tous les membres et tous les bénévoles qui ont encadré cette belle journée.

 

 
 
BIGREEN RUN AND BIKE 2012


Jissé me demandait il n?y a pas très longtemps pourquoi j?avais quasi-totalement arrêté les compétitions de VTT. Je lui ai répondu un truc du genre « la course à pied demande moins d?entrainement, il n?y a dorénavant presque plus que des enduro free-ride et plus trop de cross country ma discipline de prédilection? ».
A l?arrivée du run & bike de la Bigreen (ou « Green bin » comme dit Marc), ma réponse est beaucoup plus précise : en trail on a juste à courir et on ne doit se soucier de rien d?autre !!
Car pour une course de VTT, la logistique est beaucoup plus contraignante, et la liste des problèmes possibles pendant la course beaucoup plus longue?
Le cas de cette épreuve est particulier, et la logistique encore plus lourde qu?à l?accoutumée, car après avoir mis plus d?une heure à tout préparer la vaille (lavage et séchage du vélo, chargement dans la berlingo-mobile, préparation des affaires de VTT et Trail?), l?avant course est un parcours du combattant.
Réveil à 5h du matin pour un départ à 5h45 de la Pointe de Contes pour St Cézaire où se trouve l?aire de transition Trail-VTT. Enfin où se trouve? où est censée être cette aire. Arrivé sur place, après plusieurs tours du village, elle est introuvable. Et son adresse précise n?était pas indiquée sur le site de la manifestation. 45mn plus tard, on finit par trouver un participant qui a un flyer sur lequel est écrit le nom du lieu. Il est 7h30, toujours personne de l?organisation. Heureusement, Sophie est venu nous aider, et peut garder surveiller les vélos qu?on a déchargé.
On monte alors tous dans la 4×4-mobile de Emti, direction St Vallier où se trouve le départ. Juste le temps d?écouter une bribe du briefing, de s?échauffer 5 mn, et il faut se placer sur la ligne de départ.
Ca part d?abord tranquillement. On arrive au bout de 500m sur la route Napoléon, où personne n?est placé pour arrêter les voitures. On arrive néanmoins à passer devant le bus qui arrive à vive allure, et par miracle ne nous roule pas dessus. Puis M. Taraud se met à imposer son rythme. Amusante remarque que celle qui sera la sienne à l?arrivée : « c?est parti vite ». Ben non, si c?est toi qui est devant et donne le tempo, « c?est » pas parti vite, c?est toi qui est parti vite !!
On se retrouve rapidement tous les 2 aux avant-postes. Puis je me détache légèrement dans une première partie descendante. Le parcours est assez joli visuellement, mais très (trop) roulant pour un trail. Hormis une partie technique, manifestement tracée à la main dans des pierriers et ronce, il ne s?agit que de larges pistes. Pas grave, des courses enchainant course nature et VTT il n?y en a plus beaucoup, ça fait déjà très bien l?affaire.
A l?aire de transition, après 13,5 km (contre 16 annoncés), les VTT ont été mis dans un carré de 5m sur 5 formé par des barrières. Sophie m?indique où se trouve le mien, le temps de mettre les chaussures de VTT, troquer la ceinture porte-bidon contre le camelback, mettre le casque, les gants et les lunettes, et sortir le vélo qui se trouve sous 2 autres, et c?est reparti. Les jambes chauffent d?entrées. Heureusement, il n?y a qu?une route plate, une petite ascension, et ça descend. D?abord sur une route très raide, qu?un 4×4 est en train de remonter, heureusement en klaxonnant tout le long. Puis ça prend une piste. Première erreur de parcours pour ma part, je vais sur la droite en suivant 4 concurrents de la rando, ça finit en cul de sac. Je fais demi-tour, mais ils repartent devant moi, je force pour les dépasser avant le sentier technique étroit qui suit. Là ils se mettent à me coller, pour faire la course avec moi, alors qu?ils sont en randonnée eux?
Cette descente est superbe, cassante et pleine de lacets étroits. Elle termine par 2 passages dans un ruisseau, puis ça redevient une route communale. On arrive alors sur la nationale, aucun bénévole pour arrêter les voitures? Ca remonte sur le Tignet. La transition a été faite depuis un moment maintenant, les jambes tournent beaucoup mieux. Arrivé à la caserne de pompier se fait la bifurcation entre la piste verte de la rando ou la rouge de la rando et du run & bike. Les bénévoles présents à cet endroit me disent quelle direction prendre? quand je l?ai trouvé de moi-même ! A partir de cet endroit je connais une grande partie de ce qui suit, on l?emprunte durant le duathlon du Tignet.
Au bout d?une route devenue piste, une grande barrière de 2 m de haut me fait face? Je me demande si je me suis trompé de parcours. Je vais pour faire demi-tour, puis voit une flèche au loin. Impossible de passer par-dessus, je suis coincé. Je me sens comme dans un épisode de Walking Dead, quand un des héros est acculé et qu?une horde de zombies filent droit sur lui? Je fini heureusement par trouver un passage sur le coté. Comme dans un film américain quoi ! Mais il me faut balancer mon vélo par-dessus un mur de 1,50m dans des ronces. Puis je saute, et prends au passage une ronce dans la malléole. 300m plus loin, encore une barrière de la même hauteur ! Je la franchi difficilement à nouveau. Puis ça bifurque vers un sentier, je dois avoir rattrapé tous les randonneurs à ce moment là et suis donc le premier à arriver au milieu d?une meute de mouton ! Ils s?écartent, mais leur gardien, un gros chien assez impressionnant vient vers moi. J?ai le temps de passer, ouf ! On est maintenant sur une descente empruntée jadis par le cross country VTT de Peymeinade (course qui m?avait valu à l?époque un bris de chaine en plein effort en danseuse, une belle gamelle, et deux cicatrises sur les avant bras). Très belle et assez technique partie. A peine la descente commencée, j?entends un cri. Il me semble reconnaitre la voix de Yann. Soit il gueule parce qu?il est arrivé sur la barrière, soit il essaye de faire fuir le toutou des moutons. Il me revient rapidement dessus et me double comme un avion de chasse. Juste après, mon camelback s?accroche dans une branche, ce qui arrache la lanière haute de celui-ci. Je finirais la course avec une seule attache sur le devant. Pas le fait le plus embêtant du jour. Car dans la foulée, ma roue avant commencer à chasser? J?ai crevé !
Je répare aussi vite que je le peux (mais je ne suis pas une foudre de guerre en mécanique?). Des randonneurs me doublent, ainsi que 3 participants du run & bike. Puis arrive Emti, qui est à ce moment là 5ème. Je repars peu après, et revient sur lui au niveau du ravitaillement suivant où il s?est arrêté. On attaque ensemble un sentier technique le long de la Siagne. On redouble deux des run & bike, puis après une longue hésitation sur la direction qui nous oblige à passer dans des barbelés, commence l?ascension vers Tanneron. Je me détache un peu et reprends l?autre run & bike. Un randonneur doublé le long de la Siagne me redouble. Il s?arrête en haut pour attendre ses amis. Arrivé à Tanneron, nouvelle hésitation, une flèche étant placé derrière une branche de mimosa, et des barrières avec rubalise se trouvant sur la route de droite (la bonne technique quand on balise une course étant de regarder au loin où on va placer une flèche, choisir un endroit visible, s?y rendre et mettre la flèche, et non pas d?aller à l?endroit et se dire « de là d?où j?étais ils la verront, je vais la mettre là », sans avoir vérifier sa visibilité du dit endroit?).
Je commence à prendre à droite, et voit finalement la flèche qui indique la gauche. Après une descente sur route, nouvelle ascension. Après un superbe passage entre mimosa, chevaux et poney (j?ai dans un premier temps cru que Marc m?avait rattrapé, c’etait bien lui, trop fort pour moi aujourd’hui) jolie montée technique sous les mimosas. Elle a vraisemblablement été débroussaillée récemment. Alors que je suis en train de passer en force, une branche se coince dans ma roue, et fait levier pour casser la patte arrière de mon dérailleur? Comme dira Marc en me passant, je suis un chat noir aujourd?hui ! Je commence alors à pousser le vélo en trottinant. On est au 33ème km sur 48?

Juste avant le sommet, on est regroupé à 5 ou 6. Il y a une nouvelle barrière fermée. Mais de 1m de haut cette fois. Un stressé pense qu?on n?est pas dans la bonne direction, mais ayant fait la rando il y a 2 ou 3 ans je sais que oui. On passe la barrière, puis ça commence à descendre, je me retrouve alors tout seul. Je dois monter en poussant sur une route en faux plat pendant 3-4 km, puis la route devient plate et enfin légèrement descendante. Je ne peux que me laisser aller dans la pente. Arrive le final en apothéose, la Grand?Descente vers
Mandelieu. Je ne peux hélas pas en profiter, craignant que le dérailleur ne se bloque dans ma roue, casse tout et en plus me fasse tomber. Mais cette partie est splendide, elle enchaine sans cesse virages relevés et sauts. Et elle est accessible, contrairement à la DH de Blausasc par exemple qui est plutôt réservé à une élite.
Arrivé à Mandelieu, il me reste encore 3 ou 4 km de marche pour rallier l?arrivée. Il ne reste quasiment que du bitume, je me mets alors à marcher.
Au final, Marc en grande forme malgré son manque d?entrainement (soi disant) termine 2ème derrière l’intouchable Yann Beunard. Ses nombreux entrainements enchainant course et vélo ont payé. Regis K (même principe que pour Benoit Z) fait 3 après une belle remonté tout au long du parcours vélo, sa spécialité.
Le polyvalent Jojo se classe 6ème.

Pour l’une de ses premières courses sous ses nouvelles couleurs Peillonaise, Guillaume Capan, habituellement spécialiste des enduro VTT, prends la 14ème place.

Niveau organisation, ça craignait assez. Peut être pas pour les randonneurs qui prenaient leur temps, mais énormément pour les run & bike qui eux étaient en condition de course.
Pour 25 ? (ou 30 la dernière semaine) :
– un balisage la plupart du temps inexistant. Ou alors incohérent, par exemple pas de flèches ni rubalise à un gros croisement, mais des flèches inutiles dans des lignes droites où aucun doute n’était possible, ou par endroit 2 flèches l?une sur l?autre?!
– des nationales coupées (parfois en arrivant à 50 km/h) sans que le moindre bénévole n’y soit posté.
– 3 barrières, dont 2 de plus de 2 m de haut, non ouverte, je crois que c’est en balançant mon vélo par dessus la première que j’ai du crever. Bon a la limite le franchissement de barrière ça peut être un concept, admettons, Ourasi le fait, pourquoi pas nous. Mais dans ce cas là il serait bien de mettre une flèche ou une rubalise juste derrière pour qu’on en soit sur, ça prends au dépourvu quand on n?est pas préparé et que le doute plane…
– pas de ravito à l’arrivée (mais bon point, un repas, paella-fromage-beignet au chocolat)
– remise des prix minimaliste (1 t shirt pour le premier scratch, un manchon pour le 2eme, un bracelet magique pour le 3eme)
– arrivée tardive des bénévole à transition trail/vtt, si Sophie n?avait pas été là pour garder les vélos on aurait raté le départ. En plus cette aire n’était pas matérialisée par un balisage, et son adresse n?était pas mentionnée sur le site de la course.

Autant pour une coursette de village sans moyen tout ceci pourrait passer, autant pour une boite pro dont c’est le métier d’organiser ce genre d’évènements, c?est inadmissible.
 
Les bons points :

– Beau temps, pas trop froid, pas trop chaud, super conditions.
– Le parcours, même si dans l’ensemble il n’a rien de spectaculaire, la descente après St Cezaire et la finale valent vraiment le déplacement.
– Le repas d’après course.
 

Stéphane Giordanengo

RESULTATS ICI

COMPETITIONS 2012 – – Trail de Breil

15 MEMBRES DU CLUB AU TRAIL DE BREIL

 

Photos de Franck Payot.


Même si certains favoris annoncés n?avaient finalement pas fait le déplacement (Anthony C, Germain G, Renaud C?), le trail de Breil, petite course de village, avait cette année des allures de championnat régional tant le niveau était dense et relevé. Les meilleurs équipes du département et d?Italie avaient fait le déplacement : Garmin, Coaching Attitud? et Courir à Peillon !

Pour ce premier trail comptant pour le challenge « convivialitat » du club, et également premier objectif commun de la saison, 15 membres (sur environ 250 participants) avaient en effet effectué le déplacement dans la vallée de la Roya.

Le parcours, inchangé depuis la création de la course, partait du chapiteau de Breil, commençait par 1 km de route goudronnée à la pente assez prononcée, enchainait avec un sentier qui offrait par moment d?affolants pourcentages, et reliait la cime du Bosc, le point culminant. Après le 5ème kilomètre, une descente de crête très technique amenait les coureurs sur la piste reliant le col de Brouis à Piene Haute. Le point noir du parcours? Car hormis une ou deux coupes ici et là, c?est sur une piste en faux plat descendants qu?il fallait descendre sur environ 6-7 km, avec des pointes de vitesses inhabituelle pour une épreuve de ce type. Une autre piste enchainait (un peu avant Piene), puis le parcours redevenait magnifique sur un agréable sentier. Vers le 14ème kilomètre, une ultime ascension (assez raide) attendait les traileurs, puis le final, malgré quelques relances, étaient ensuite quasiment descendant jusqu?à l?arrivée.

En ce qui concerne les résultats, honneur aux dames, avec la superbe 3ème place scratch d?Angélique. En 2h23mn52, elle se classe également 75ème du général hommes/femmes.

Sophie, peu à l?aise dans la montée du départ, a retrouvé de bonnes jambes à partir de la piste. Elle termine 3ème senior dame (6ème scratch dame), et réalise un temps de 2h27mn52.

Hélène l?emporte dans la catégorie vétéran 1 en 2h33. La forme revient pour elle, et elle devrait bientôt de nouveau rivaliser avec les meilleures du scratch, comme ça a été le cas toute l?année 2011.

Côté masculin, Stéphane, qui était très motivé pour cette compétition, prend la 5ème place, à seulement 2mn30 du duo de Men In Black vainqueur ex-aequo. Il améliore au passage son temps 2010 de 3mn46.

Laurent, en 1h52mn17, arrive en 15ème position (11ème senior), malgré un gros souci technique. Son embout de camelback lui a en effet joué un mauvais tour, l?empêchant de boire sur la quasi-totalité du tracé !

Eddy et Hans, toujours en constante progression, se sont livrés à une belle bagarre intra-club. Cette dernière a finalement tourné à l?avantage du premier cité, qui se place 19ème (15ème senior) en 1h54mn34. Son compère est juste derrière, 21ème (17ème senior) en 1h55mn05. Seules 30 petites secondes les séparent donc. Et Hans gagne quasiment une demi heure par rapport à 2011 !

Jérémy Payot, le couteau suisse de la course à pied qui améliore constamment ses résultats quelque soit la nature du terrain (route, trail, piste?), réalise un chrono de 2h01mn58 (29ème scratch ? 21ème senior).

Charly, un des plus expérimentés de la bande, boucle l?épreuve en 2h10mn12 à la 38ème place (6ème V1).

Il est suivi à 25 secondes par Sébastien (39ème ? 27ème senior), qui

s?essayait là à un de ses premiers trails. Essai transformé, tant d?un point de vue performance que plaisir prit durant la course.

Frédéric entre dans le top ten vétéran 1 (10ème) et accroche la 57ème place du scratch, en 2h17mn03.

 

Jean-Marc, plus coutumier des épreuves sur route, était ravi de sa course et se hisse brillamment sur la 3ème marche du podium vétéran 3 en 2h24mn18. Quel dommage que ses gènes aient décidé de sauter une

génération? !

Alex, autre V3 du club (6ème), arrive en 89ème position en 2h26mn04.

Après l?effort, le réconfort, une halte chez Mariza à Fanghetto et ça repart !

David L, pour son baptême (qui était également une mission top secrète d?investigation, dans le but de mettre à profit ses nouveaux pouvoirs pour peaufiner des plans d?entrainement adaptés au trail), réalise un chrono de 2h33mn51 (juste derrière Hélène donc, ce qui pour un néophyte n?est pas rien) et prend la 115ème place (56ème senior).

Enfin, avec un temps de 2h58mn33, Jean-Claude arrive 171ème et  11èmevétéran 3.

Les résultats Courir à Peillon :

GIORDANENGO Stéphane : 5ème.

BERMON Laurent : 15ème.

CHIRIO Eddy : 19ème.

SPIES Hans : 21ème.

PAYOT Jérémy : 29ème.

DUVERT Charly : 38ème.

HUAULT Sébastien : 39ème.

POURCHIER Frédéric : 57ème.

CHIARAVIGLIO Angélique : 75ème.

TARAUD Jean-Marc : 80ème.

ROBINI Alex : 89ème.

JUNCKER Sophie : 100ème.

DUVERT Hélène : 114ème.

LAROCHE David : 115ème.

BOUGON Jean-Claude : 171ème.

édition 2012 – – Réglement

REGLEMENT DE LA MONTA CALA 2012

Article 1 ? Les épreuves :

L?Association Courir à Peillon de Nissa organise le 03 juin 2012 la MONTA CALA. Cette épreuve est ouverte aux coureurs sur une distance de 9 km environ en terrain varié sur routes et chemins communaux sur la commune de Peillon, pour un dénivelé positif d?environ 120m.

Cette épreuve est à parcourir individuellement ou bien en relais couple Homme et Femme. Départ commun course individuelle et relais.

RELAIS :

-1er Boucle de 4,5km départ des Femmes.

-2éme boucle de 4,5km départ des Hommes.

Le départ et l?arrivée se feront à Ste Thècle de Peillon lieu dit « Le Moulin », devant la salle de la Sousta. Le nombre des participants est limité à 250.
Les Départs seront échelonnés de la façon suivante :

Monta Cala (9 km) : Départ 10h30.Individuelle et couple

Courses enfants Bébé à benjamin: Départ 09h30.

 

-Accès :

1.En voiture : Par l?A8, sortie Nice Est, puis direction Sospel,Contes (N204), sortie Peille, Peillon (06440).continuer sur la CD21, en direction de Peillon.

2.En train : Depuis la gare SNCF de Nice, prendre la ligne 05 direction Breil-sur-Roya et descendre en gare de Peillon Sainte Thècle. 300m du Départ de la course. Horaire sur www.ter-sncf.com/paca

3.En car : Depuis la gare routière de Nice promenade du Paillon (Tél. 04 93 85 61 81) prendre la ligne 360 (réseau TAM) horaire sur www.cg06.fr

 

 

Article 2 – Conditions d’inscription :

Etre majeur.
Etre titulaire d’une licence FFA, FFTRI, FSGT Athlétisme FFCT Athlétisme et UFOLEP Athlétisme en cours de validité. Pour les non licenciés : posséder un certificat médical de non contre indication à la course sur terrain accidenté. Les originaux de ces documents sont obligatoires lors du retrait des dossards et l?organisation gardera les certificats médicaux en sa possession et ce pendant un an. (Conformément à la loi 99-223 du 23/3/99 : la participation aux compétitions sportives organisées ou agréées par les fédérations sportives est subordonnée à la présentation d?une licence sportive portant attestation de la délivrance d?un certificat médical mentionnant l?absence de contre-indication à la pratique de la course à pied en compétition, ou, pour les non licenciés auxquels ces compétitions sont ouvertes, à la présentation de ce seul certificat ou de sa copie certifiée conforme, qui doit dater de moins d?un an).

Renseignements : par téléphone au 06 23 10 10 67 / 06 70 48 15 79 ou par mail courirapeillon@yahoo.fr

Attention aucune inscription ne sera effectuée par téléphone.

 

En ligne sur sans majoration de prix. S’inscrire en ligne est la méthode la plus simple et la plus rapide pour effectuer son inscription. En quelques minutes vous avez la certitude d’être inscrit en recevant une confirmation d’inscription.

Attention : Malgré votre confirmation d’inscription, votre participation à l?épreuve est subordonnée à LA PRESENTATION de votre certificat médical (ou photocopie lisible) ou de votre copie de licence recto/verso de l’année 2011/2012 lors du retrait de votre dossard.
Le montant de l’inscription est fixé à :

Inscription à Monta Cala individuelle et relais : 9 euros. Règlement à l’ordre de COURIR A PEILLON.

-Inscription aux courses enfants gratuites.

 

-Repas organisé par l?association Fêtes et traditions Peillonnaises:

Tarif unique  8 euros.

Réservation obligatoire au 06 37 80 04 74


Article 3 – Retrait des dossards :


Les inscriptions et le retrait des dossards se ferontle dimanche 3 juin 2011 de 08h30 à 10h15 dans la salle polyvalente de la sousta. Les dossards seront à retirer sur présentation du certificat médical de non contre indication à la pratique de la course à pied (l?organisation conservera le certificat médical) ou de la licence sportive. Aucun dossard ne sera expédié par la poste.
Le dossard devra être porté devant et être entièrement lisible lors de la course. Dans le cas contraire il est susceptible de disqualification.

Article 4 – Engagement :

Tout engagement est ferme et définitif et ne peut faire l?objet de remboursement pour quelque motif que ce soit.
Sur simple demande écrite (mail ou courrier) effectué 7 jours avant l’épreuve, nous reportons gratuitement votre inscription pour l?édition suivante.

Article 5 – Assurance :

Responsabilité civile : conformément à la loi, les organisateurs ont souscrit une assurance couvrant les conséquences de leur responsabilité civile, celles de leurs préposés et de tous les participants de la Monta Cala de Peillon auprès de la compagnie AIAC courtage GMF.

Les concurrents participent sous leur propre responsabilité en cas d’accident ou de défaillance consécutive à leur état de santé. Cependant il incombe aux participants non licenciés de souscrire une police d?assurance individuelle accident.

Article 6 – Ravitaillement :

3 ravitaillements sur le circuit et 1 à l?arrivée.

-Km 3 : point de ravitaillement en eau et sucre
-Km 4,5 : point de ravitaillement en eau, boissons sucrées, sucres, chocolat, fruits?

-Km 7,5 : point de ravitaillement en eau et sucre.

 

Les ravitaillements extérieurs à l’organisation sont autorisés. Respectez l’environnement en pensant à jeter vos emballages de barres dans les poubelles mis à disposition sur les ravitaillements, ou en les gardant sur vous jusqu?à l?arrivée.



Article 7 ? Logistique :

Commissaires de course, Quads et voitures ouvreuses, voiture balai, secours UDPS06.

-Marquage au sol (peinture biodégradable) et rubalise sur le parcours+ indication kilométrique.

Article 8 – Classement et dotation :

La remise des prix se fera à partir de 12h00 sur l?aire de départ/arrivée.
Récompense pour : Les 3 premiers au scratch.
Les 3 premiers de chaque catégorie, non cumulable avec le scratch. (CAH,JH, EH, SH, V1H, V2H, V3H, V4H ;CAF, JF, EF, SF, V1F, V2F, V3F, V4F)

Article 9 – Contrôle :

Plusieurs points de contrôle seront établis par l’organisation afin d’assurer la régularité et la sécurité de l’épreuve.

Tout concurrent n?ayant pas été pointé à l?intégralité des points de contrôle sera disqualifié.

Article 10 – Commissaires :

Les contrôles sont effectués par des commissaires de course qui sont sous l?autorité du directeur de course dont le pouvoir de décision est sans appel.

Article 11 – Assistance médicale et sécurité :

Une équipe médicale composée de secouristes sera présente pendant toute la durée de l’épreuve. Elle est habilitée à mettre hors course un concurrent jugé inapte ou mettant en danger sa sécurité ou celle d’autrui. Les concurrents autorisent le service médical à prendre les mesures nécessaires en cas d’accident. En cas d’abandon, le concurrent doit prévenir le poste de contrôle ou de ravitaillement le plus proche et rendre son dossard. Il sera mis hors – course et autorisé à quitter le parcours par ses propres moyens et sous sa propre responsabilité. Toutefois, l’organisation pourra l’assister et le reconduire sur la zone d’arrivée.
La sécurité routière sur les routes empruntées est assurée par des signaleurs mis à disposition par l?organisation.

Article 12 – Médias :

La couverture médiatique est assurée par la presse locale, et la presse spécialisée. Les concurrents autorisent l’organisation à utiliser leur image pour tout support concernant l’événement à des fins promotionnelles (photos, vidéos…).

Article 13 – Dossier inscription :

Le dossier d’inscription en ligne est à remplir avant le vendredi 01 juin 2012.

Les inscriptions par courrier doivent parvenir à l?organisation avant le vendredi 01 juin 2012.

Au-delà de cette date, les inscriptions seront enregistrées sur place le jour des épreuves suivant les dossards disponibles.

Article 14 – Pénalités :

Le non-respect de ce qui suit entraînera la disqualification du concurrent :
Non port du dossard.
Aide extérieure autre que ravitaillement.
Non respect du parcours et des postes de contrôle.
Non respect de l’environnement (jet de bouteille, de papier…)
Mise en danger de sa propre sécurité, de celle d’autrui ou non assistance à un concurrent.
Avis du service médical.
Le présent règlement est valable dans sa totalité pour les coureurs. Les organisateurs attirent l’attention des concurrents sur le respect de l’environnement, des bénévoles, des promeneurs et des riverains.

Article 15 – Interdiction :

Les bicyclettes, engins à roulettes et / ou motorisés, autres que ceux de l?organisation, sont formellement interdits sur le parcours.

Article 16 – Chronométrage :

Le chronométrage sera effectué par un chronomètre et un logiciel de chronométrage LOGICA agréé par la FFA.

Article 17 – Annulation :

L’organisation se réserve le droit d?annuler ou de reporter la manifestation en cas de force majeure (intempéries). En cas d’annulation ou de report, les inscriptions seront automatiquement transférées pour la date de report ou pour l’édition suivante.

Article 18 – Acceptation du règlement :

Tout concurrent reconnaît avoir pris connaissance du présent règlement et en accepter toutes les clauses. Il s?engage sur l?honneur à ne pas anticiper le départ et à parcourir la distance complète avant de franchir la ligne d?arrivée.