Tous les articles par Julien Waltzer

COMPETITIONS 2012 – – Course du calendrier – Foulée vénissiane

COURSE DU CALENDRIER


Le compte rendu de Stéphane Giordanengo sur le site de The North Face :
” Ce matin avait lieu la course du calendrier, un 10 km tracé autour du Stade Charles Ehrmann de Nice, sur un parcours sinueux, truffé de relances, et composé de multiples boucles. Un vrai casse-tête pour les organisateurs ! D?autant qu?au bout de 5 km, il fallait repartir pour le même parcours, mais en sens inverse. En mode miroir en quelque sorte. Mode dans lequel les premiers croisaient alors les derniers.

Toujours dans l?idée de travailler ma vitesse durant ma pause hivernale de trail, je me suis aligné sur cette épreuve, comme ce sera le cas au cross des Iles dans 2 semaines, à la Cursa di Natale de Monaco le 16 décembre, et la Prom classic le 6 janvier. Avec peut etre une incartade le 8 décembre, un trail nocturne de 8 km, organisé au profit du téléthon sur mes terrains d?entrainement, à Blausasc, par Sylvain Camus.

En l?absence des cadors de la discipline, j?ai remporté la course ! Mais après une belle bagarre avec Christophe Maximilien de Courir en Pays de Grasse. J?ai d?abord mené jusqu?au 3ème kilomètre. Puis il a pris les devant, et j?ai dû batailler ferme pour ne pas me faire distancer. Juste avant le demi-tour, au 5ème kilomètre, je suis repassé en tête et me suis légèrement détaché. Mais il est revenu sur moi au 7ème kilomètre et a repris les choses en main au 8ème. Le final s?effectuait dans le stade Charles Ehrmann. A l?entrée, on était foulée dans foulée. Mon rival du jour a alors produit un effort, je crois qu?il devait penser qu?il ne restait qu?un tour de piste. A mon chrono, on était à 30mn30, je ne me suis donc pas enflammé. Effectivement, il restait 3 tours. Christophe a alors un peu ralenti et j?ai bouclé les deux derniers tours légèrement détaché.

C?est la première fois que je remporte un 10 km. Bon les meilleurs n?étaient pas là et le chrono est moyen : 35mn06 (à peu prés comme à Grasse, sachant que le parcours est moins roulant, plus typé cross) mais ça fait toujours plaisir ! “
Les résultats :

Stéphane Giordanengo : Vainqueur en 35 min 06.
Jean-Marc Taraud : 24ème en 43 min 25 / 1er V3 / record Peillon.
Francis Bonnet : 31ème en 45 min 00 / 3ème V3.



10 KM DE VENISSIEUX

” Pour cette année 2012 je n’avais toujours pas battu mon record sur 10km. Rien de mieux par conséquent que de revenir sur les lieux de ma meilleure performance de l’an passé pour tenter ce challenge. Je me suis donc rendu à Vénissieux avec mon ami Christophe avec cet état d’esprit : “c’est maintenant ou jamais”. Chose amusante, je passe au 5ème kilomètre en 18’24, soit le même chrono qu’en 2011. Tandis que l’an passé j’ai été capable d’accélérer le rythme sur la seconde partie, cette année, je me suis un peu écroulé puisque je fais 18’32 sur le 2ème 5km contre 18’10 en 2011. Seul mon dernier kilomètre en 3’25” a été satisfaisant. “
Franck Saffioti : 36 min 57 et 165ème/818 (quel niveau !)



La semaine précédente au 5km de Meyzieu, j’ai fait 18’28” (record personnel) mais comme on peut le voir, j’ai fait mieux sur cette distance à travers la course de Vénissieux.

– Stéphane Giordanengo

Le portrait du mois

Pour une bonne interview il faut un mec qui répond bien aux questions et un qui les pose bien aussi. Je crois que cette fois on a tout ce qu’il faut !

Merci à Stéph (notre coureur du mois) et à J.C Hubert (notre intervieweur de l’année.


Interview du Giordanengo

 

1) Bonjour Stephane Giordanengo

Bonjour Jissé Hubert

 

2) Je te rappelle le principe de l?interview tu réponds avec tes capacités mentales si t?en as, et tu n?as pas le droit au joker.

Tu vas commencer par te présenter s?il te plait, dis nous qui tu es, d?où tu viens, ce que tu veux faire dans la vie?

Stéphane Giordanengo, né le 26 juillet 1978 à Nice. Enfant j?ai fais 4 ans de tennis et 1 an de foot, mais dans ces deux sports j?étais extrêmement mauvais (enfin plus qu?en course quoi). En 1995 je me suis mis au VTT (cross country), j?ai participé à des compétitions de cette discipline jusqu?en 2008.

En 2001 j?ai réussi un concours, et j?ai été affecté à Paris (où j?ai vécu jusqu?en 2006). Dans un premier temps je n?avais pas de vélo, j?ai d?abord arrêté tout sport pendant quelques mois, puis je me suis mis à courir (ce que j?avais déjà un peu fait à partir de 1998, à l?époque j?étais entrainé par JB Wiroth et il incluait parfois des séances de course en complément du vélo, et également en 2000 à Lyon lors de mon service national effectué dans la Police). J?ai ensuite monté un vélo à Paris, mais j?ai continué à courir, et j?ai participé à ma première course vers 2003 ou 2004 (à Neuilly, un 10 km couru en 36mn15 à peu prés). Au fil du temps les courses pédestres ont été plus nombreuses que celles de VTT, et depuis 2008-2009 je ne fais quasiment plus que ça, principalement du trail, sport dont l?effort et les terrains se rapprochent de ceux de mon sport d?origine.

Côté professionnel, je travaille depuis fin aout au service des sports du Conseil général des Alpes-Maritimes.

Donc on va dire que maintenant je fais ce que je voulais faire dans la vie !

Je suis également correspondant course à pied pour Nice Matin, et pour la version PACA du magazine Running Mag. J?organise aussi une manifestation sportive, Speed Limaces et le Trail des Limaces, dont ce sera le 25 mai prochain la 3ème édition.

Sinon j?adore le cinéma, les one man show, voyager?

 

3) Ca va nous raconte pas ta vie non plus.

On sait que tu es le meilleur coureur du club, tu ne t?en caches pas, quel est ton secret ?

On est plusieurs coureurs pas trop mauvais dans le club. Cette saison, 6 membres ont gagné des courses au scratch : Cedrick, qui lui est un ton au dessus de nous, je le côtoie depuis mes premières courses de VTT au milieu des années 90, il a toujours eu une caisse d?enfer ! Emti, Laurent. Julien et Magali au relais du Pan Bagnat l?an dernier. Et moi-même. Cette année je pense qu?on sera loin d?être ridicule dans les classements par équipe sur les cross !

Sinon pour les secrets, il y en a plusieurs : les bracelets magiques, les manchons de compression, les mulebars, la maitrise du haki, du shakra et du nen? Et un petit peu aussi l?entrainement quand même !

 

4) Quels sont tes terrains de prédilections, ceux ou tu excelles comme un tableur ? et si oui pourquoi ?

Avant j?aimais bien les courses de côte sur route, car elles sont peu traumatisantes, et j?étais un pas trop mauvais grimpeur. Mais les années passant et le poids augmentant, ce n?est plus trop vrai maintenant ! Mon terrain de prédilection, et surtout celui que je préfère, c?est la nature. En course on va dire que ma distance idéale, ce sont les trails entre 25 et 30 km, avec des descentes très techniques, c?est souvent là que j?arrive à compenser le retard pris dans les montées.

 

5) Dans le club y a une personne qui t?impressionne particulièrement, c?est Marc Taraud dit Emti, c?est un peu je t?aime moi non plus avec lui non ? Explique-nous votre relation si ambiguë.

Disons que comme j?ai toujours refusé ses avances, il oscille sans arrêt entre les périodes amoureuses et celles durant lesquelles il est plus tendu (au sens figuré j?entends?).

Non pas que ce ne soit pas réciproque, mais il a une petite amie, des enfants?

 

6) On rappelle que tu es responsable des sports au niveau national pour le conseil général, le sport ça a toujours fait parti de ta vie ?

Déjà, je ne suis pas « responsable », je suis juste un des membres du service des sports. Et le Conseil général a des compétences au niveau départemental et non régional. Faudra réviser tes cours sur la décentralisation.

Depuis 1995 oui le sport a toujours fait partie de ma vie (à part la période de coupure en 2001 citée précédemment). Il y a plein d?autres choses qui m?intéressent, mais pour arriver à bien s?entrainer il faut gérer son temps, et donc adapter les autres activités en fonction du sport. Je sais longtemps à l?avance ce que je vais faire de mes week end par exemple, en fonction des courses auxquelles je vais participer.

Et c?est sur que maintenant que je bosse dedans, le sport occupe une place encore plus grande. Mais ce n?est pas pour autant que le reste est moins important à mes yeux. D?ailleurs je n?apprécie pas forcément les soirées où il n?y a que des sportifs, car les conversations ne tournent généralement qu?autour de ça, et ça devient vite lassant !

 

7) Maintenant j?aimerai que tu répondes très vite très simplement, comme t?as l?habitude, qu?est ce qui te plait dans la course à pied par rapport a ton sport d?origine : le vélocipède ?

Il y a déjà un coté pratique. Courir c?est beaucoup plus simple que rouler. Une paire de chaussure de running suffit. On peut courir sans problème sous la pluie, de nuit, en été comme en hiver? En vélo, l?hiver c?est un calvaire, les extrémités ne chauffent jamais. Et sous la pluie ou de nuit c?est très dangereux. Bien souvent en plus, quand on descend au garage, il y a un souci technique imprévu : pneu crevé, chaine cassée, plaquettes de freins usées? D?un point de vue logistique, on se sent bien plus libre dans la course donc !

Ensuite niveau entrainement, c?est beaucoup plus light aussi. Pour être compétitif au niveau départemental, en vélo il fallait que je roule énormément, quelque chose comme 5 ou 6 sorties de 2h30-3h par semaine.

Alors qu?en courant par exemple 5 fois 1h par semaine on peut déjà être bien sur les courses.

Au début j?avais une petite frustration de ne pas être sur mon vélo dans les descentes. Maintenant je prends autant de plaisir en vélo qu?à pieds dans les descentes sur sentiers.

 

8) Sortons un peu du sport maintenant. Qu?est ce que tu penses de ce qui passe en ce moment autour de la culture du pois chiche en Mongolie exterieure ?

La Mongolie exterieure, longtemps sous influence soviétique a vu s’étendre et s’industrialiser depuis peu une culture ancestrale, celle des pois chiches nains. Cette culture, en introduisant dans ce pays les techniques publicitaires modernes, a réussi à augmenter la consommation intérieure de ce légume sec, développant ainsi ses débouchés.
Cependant les problèmes techniques posés par la massification de cette culture, notamment la question de l’irrigation, sont nombreux et s’ajoutent encore à ceux, gastriques, de ses habitants. Les mongols émettent de plus en plus de flatulences, mais ce phénomène qui pourrait prêter à sourire a des conséquences dramatiques.
Depuis 1991, on a relevé 25 689 chutes de chevaux directement imputables à la consommation de ces pois chiches. En effet les chevaux de ce peuple en grande partie nomade ont tendance à réagir par des ruades aux flatulences malodorantes de leur cavaliers.
Le pois chiche nain est désormais devenu l’objet d’un débat national et un référendum est bientôt prévu pour décider de la poursuite, ou non, de cette expérience agricole. Il est prévu dans deux mois, et le score s’avère d’ores et déjà aussi serré que les fesses d’un mongol qui se contiendrait pour ne pas gâcher une première nuit d’amour.
Affaire à suivre (à l’odeur) donc…

 

9) Merci wikipédia.

Tu as l?air bien, épanoui, ça va ?

En général je suis toujours heureux et épanoui. Ça va donc 😉

 

10) Tu veux boire un truc ? J?ai de la bière. Ou du coca si tu veux mais il est pas frais.

Emti a souvent essayé de me faire boire de la bière (je te laisse deviner dans quel but il voulait me saouler ? autrement que par ses paroles j?entends), mais je n?aime pas ça.

Et boire du coca chaud y?a rien de pire. Enfin si, y?aurait boire du coca dans le même verre que Marc? Mais personne de censé ne ferait ça non ?

 

11) Tu rédiges aussi des articles de course à pied pour des revues dont il vaut mieux taire le nom. Tes articles abondent de façon pléthorique de fadaises, voire même de billevesées, qui sont au mieux des sophismes, au pire des paralogismes. Est ce fait à dessein ?En ce cas vivement l?allégorie de l?amphigouri ?

Quand je cite le club dans ces articles, bien évidemment ! Pour les sponsors, tout ça, tu vois?

12) C?etait pas ma question mais passons.

On sait que tu voyages beaucoup, quelle est ta prochaine destination ?

Je n?en ai pour le moment aucune idée. J?aimerais visiter Yellowstone. Aller en Australie et en Nouvelle Zélande. Mais aussi en Suède, au Vietnam, peut être au Laos… Retourner aux USA de façon générale, au Japon pour approfondir. Ou pourquoi pas organiser un voyage en fonction d?une course, comme l?Olympus marathon en Grèce, le Pikes Peak marathon dans le Colorado, l?ascension du mont Kinabalu en Malaisie?

 

13) On sait que tu es cinéphile, quel sera ta prochaine sortie ciné ?

Au moment de la publication ce ne sera peut être pas ma prochaine sortie ciné car je l?aurais surement déjà vu, mais Argo de Ben Affleck dont les 2 premiers films étaient déjà des bombes. Sinon dans les sorties qui approchent : End of Watch, L?odyssée de Pi, The Impossible? Un peu plus loin, en janvier, le plus attendu de tous, Django unchained !

Et si il est sage, j?emmènerais Jissé voir Bilbo le Hobbit, même si ça ne m?attire pas plus que ça. Et si il est vraiment très très sage, à la sortie je lui achèterais un flamby qu?il pourra manger démoulé dans une assiette, comme il aime.

 

14) Si un génie t?accordait 3 v?ux tu choisirais quoi ?

– Avoir un compte en banque illimité pour faire tout ce dont j?ai envie sans avoir à travailler, et donc beaucoup plus de temps disponible (je m?occuperais quand même en organisant des courses, qui du coup seraient financées par moi-même, et n?auraient pas de limites en dotation, remise des prix, etc etc?).

– Pouvoir me téléporter (j?ai pas trop de patience dans les bouchons, et rien ne m?énerve plus que tourner en ville sans trouver de place pour me garer !).

– Ne jamais perdre un proche.

 

15) On va finir par une dernière question sur le club, qui admires tu le plus à courir à Peillon et pourquoi ?

Je ne peux pas en citer un seul, il y en a tant que j?admire (ça fait réponse de politicien non ? Mais il faut ménager les susceptibilités !).

Cédrick pour ses incroyables facultés de grimpeur, que ce soit en vélo ou à pied.

Sébastien pour sa détermination. Florent pour sa culture cinématographique de 1902 à nos jours ! Franck et Julien pour leur cool-attitud permanente (ça impressionne quand on n?a pas de patience !). Hans pour les distances de malade qu?il est capable d?avaler même avec peu d?entrainement (et dans son cas, quand il dit qu?il ne s?est pas entrainé depuis 3 semaines ? vous avez remarqué, les coureurs c?est toujours depuis 3 semaines qu?ils ne se sont pas entrainé ? lui je pense qu?il ne ment pas).

Fabrice m?impressionne avec ses « pouvoirs ». J?ai vu ses vidéos de karaté, ça en jette grave !

Emti, qui arrive à ingurgiter 3 pizzas et 4 bouteilles de rosé dans la même soirée (talonné de près par David). Rodolphe, qui vit très bien le fait d?avoir le même prénom qu?un petit renne au nez rouge.

Laurent, qui coupe les arbres avec la tranche de la main comme personne?

? Non mais bien sur je plaisante. Je n?admire personne à Peillon, l?année prochaine j?irais à l?ASPTT !

 

Quel comique ce Stephane !

Donc merci et à bientôt sur un podium (ou chez Ruquier dans « on ne demande qu?a en rire ») !

COMPETITIONS 2012 – – Pan bagnat – Larvotto – Paroisses

Le relais du Pan’Bagnat


La météo annonçait un week-end pluvieux dans les alpes-maritimes. Et ce dimanche matin, les coureurs de Peillon se sont levés avec la conviction qu’ils courraient sous la pluie…
Mais apparemment Râ, le dieu du soleil, était dans le camp du Relais du Pan’Bagnat, course par équipe originale organisée dans le Parc Estienne d’Orves à Nice !
En effet, à quelques minutes du grand départ, une auréole lumineuse laissait transparaître les chauds rayons du soleil !
Le Relais du Pan’Bagnat : voilà une course qui connaît la gloire dès sa deuxième édition. Soixante équipes, soit le maximum, étaient inscrites ! Chaque équipe est composée de 3 coureurs dont au moins une féminine. Le parcours mesure environ 4,5 km et débute par une petite boucle dans le parc, avant de le quitter par le haut et d’emprunter la corniche de Magnan. Après une montée sur route d’environ 1,5 km, les coureurs redescendent vers le parc pour rejoindre le “village” comme aimait à nommer ainsi les installations d?arrivée le speaker.
Voici le règlement de la course : la 1ère boucle est effectuée par la (ou une) féminine de chaque équipe. A son arrivée, elle tape la main d’un de ses coéquipiers qui part pour une deuxième boucle ; idem pour le troisième. Le troisième n’a pas droit au repos, puisque à son arrivée, l’équipe entière part pour une ultime boucle qui doit obligatoirement être parcourue “en équipe”.
A ce jeu d’équipe, des peillonnais se sont montrés très bons !
4 équipes sont concernées :
– Equipe 1 : Michèle Simoncelli, Laurent Bermon et Fabien Lodz
– Equipe 2 : Angélique Duchemin, Julien Waltzer et Arno Champalle
– Equipe 3 : Seb Huault et 2 amis
– Equipe 4 : Audrey Heilmann, son mari Yann et une amie

L’équipe 1 gagne le relais en 1 h 18 min 53 !!! Et heureusement pour Michèle à qui les 2 garçons avaient mis une pression sensible ! Il faut bien dire que 2 des 4 boucles sont effectuées à l’allure de la féminine ! Bravo donc à Michèle et à toute l’équipe pour cette victoire.

L’équipe 2 termine à la place du con… 4ème en 1 h 21 min 25 ! Pourtant, après s’être fait doubler par les 4ème à mi-parcours dans la dernière boucle, ils n’ont rien lâché et échouent à quelques mètres de leurs concurrents. Mention spéciale à Angélique pour sa combativité !

L’équipe 3 termine 33ème en 1 h 41 min 44….

Et enfin l’équipe 4 termine 22ème en 1 h 34 min 53….

Les résultats par équipe.

Laurent Bermon : 16 min 34.
Fabien Lods : 18 min 11
Michèle Simoncelli : 21 min 51.
Arno Champalle : 18 min 27.
Julien Waltzer : 17 min 31
Angélique Duchemin : 22 min 39.
Sébastien Huault : 18 min 39
Audrey Heilman : 25 min 38.
Yann Heilman : 21 min 05.

Bravo à l’organisation car tous les concurrents ont passé une belle matinée, et vivement l’année prochaine avec plus de peillonnais, on l’espère !!!

Arno Champalle

CROSS DU LARVOTTO


Robert Sai et Antoine Vissuzaine se sont rendus à Monaco pour le cross du Larvotto.

Robert Sai : 17e – 25’33”
Antoine : 35e – 28’22”
75 coureurs classés


LA COURSE DES PAROISSES


Résumé à venir avec en guest stars Marc Taraud, Jérémy Payot, Rodolphe Lodetti et Jean-Marc Taraud.

Les résultats :

Marc Taraud : 8ème en 42 min 48.
Jérémy Payot : 9ème en 43 min 10.
Rodolphe Lodetti : 13ème en 44 min 14.
Jean-Marc Taraud : 63ème en 51 min 13 (3ème V3).

Chevrollier Sébastien


Sébastien est le plus fantastique des partenaires d’entrainement. Capable de courir longtemps et vite il est la locomotive parfaite et ni le vent, ni la pluie ne l’effraient.
Avec le marathon d’Amsterdam il a retrouvé le goût de la compétition et un très bon niveau. La saison 2018/2019 sera peut-être celle du renouveau !

SES RECORDS

10 km : 37 min 11 à Menton en 2013.
Semi : 1 h 20 min 14 au semi de Nice en 2013.
Marathon : 2 h 54 min 26 au Nice-Cannes en 2013.

COMPETITIONS 2012 – – Marathon Nice-Cannes

MARATHON DES ALPES MARITIMES


Qui mieux que les coureurs peuvent raconter leurs impressions ?
4 peillonais étaient sur le macadam d’un des plus beaux marathons du monde et nous livrent leurs sensations.

Christine Patat :
“Un petit compte rendu de ces fameux 42 ,195 km.
La première chose est que je me suis reposée pendant toute la semaine précédente sauf 2 sortie de 40min très très doucement. Le repos est primordial.

La grande question était comment allions nous gérer la pluie et le vent ??? Beaucoup de psychotage pendant cette semaine .. suite au récit de notre cher ami Sébastien j’ai eu peur !
Résultat nous sommes descendu de Saint Roch avec Seb et Julien à 7h45 dimanche sous un temps idéal, pas de vent, pas de pluie, pas de soleil. Déjà très bon pour le départ.
20 min d’échauffement et mise en place dans le sas des 3h15. Top départ un peu loin, on a mis 45 secondes pour passer la ligne.
Le ballon jaune des 3h15 est parti un peu vite on le surveillait de loin, allure à 4,30km de moyenne pour ralentir vers les 5ème kilo et retrouver une allure correcte..
On est passé devant très rapidement au bout de 8 km, plus jamais revu, YES
Course très agréable, à deux c’est très sympa, jusqu’au 30ème kilo, c’était plutôt facile allure entre 4,27 et 4,35. J’ai surtout bien géré l’hydratation et les gels.
Et on a rigolé et mis l’ambiance qui soit dite en passant n’était pas terrible du point de vue des spectateurs …sauf mon mari, mes filles, et les enfants de Seb à Cagnes sur Mer bien présents et TRES bruyants..que je remercie.
On passe le semi dans les temps et très bien .
A partir du 30ème kilo cela devient beaucoup plus dur avec un plat vallonné et une belle côte qui casse bien les jambes “on s’y attendait”. On a tout de même gardé l’allure, Seb à commencé à avoir des crampes (mais cela il vous racontera) et moi les genoux.. et les jambes très lourdes.. normal.
On est restés sur notre allure, les 3 derniers kilo on été durs mais très chouette, toujours en dépassant des concurrents les spectateurs étaient enfin présent et pour moi cette arrivée je l’ai adorée. Un grand moment de bonheur partagé, rien que pour cela ça vaut le coup ! Merci “

Sébastien Chevrolier :
“Un petit mot pour vous confirmer , car je pense que vous le savez déjà,mais courir un marathon, c’est le kiff total !!! même si par moment , ça fait mal !!
Christine a déjà très bien résumé la course et donc pour ma part,j’ai eu en effet un début de crampe à partir du 30ème Km
mais je n’ai rien voulu lâcher, je repensais à Julien que l’on avais retrouvé malheureusement en difficulté quelques kms plus tôt .
Je ne pouvais et ne devais pas en rester là et puis il est vrai que le faire à 2 , c’est super sympa et “réconfortant”.
on a vraiment fait pour moi une belle course ou l’on a su être régulier sur l’ensemble (malgré les difficultés sur le fin)
Que du bonheur de passer la ligne d’arrivée !!!
je tiens a remercier Christine car moi qui suis novice dans le domaine de la CAP , c’est elle qui ma permis découvrir quelques courses dans ce domaine et donc de passer par des moments inoubliables
comme courir son 1er Marathon !!! Merci.

Une dernière chose, hier je me disais : aller c’est fait , maintenant repos et aujourd’hui , la course me manque déjà….”

Sophie Juncker :

Julien Lodetti :
Salut a tous.
“Petit résumé du marathon.
3h44 au lieu 3 h 10 prévu. Tout s’est bien déroulé jusqu’au 26ème km (44 min au 10km et 1h 33 au semi) et la montée de La Garoupe où ma tendinite au genou est revenue … début du calvaire ou je n’ai fait qu’alterner entre la marche et la course.
Un véritable calvaire durant les 16 km restant. Impossible d’accélérer même en marchant je souffrais de l inflammation puis des crampes par la suite.

Bisou a tous je ne serai pas la les 3 prochaines semaines vous vous en doutez, repos mérité malgré une énorme déception…”

Les résultats :

450 03:13:18.534 PATAT CHRISTINE
451 03:13:18.632 CHEVROLLIER SEBASTIEN
946 03:26:55.557 JUNCKER SOPHIE
1976 03:44:26.030 LODETTI JULIEN


COMPETITIONS 2012 – – Marathon d’Amsterdam

Le marathon d’Amsterdam par Séb Huault

Ce dimanche 21 octobre a été un moment historique pour le club de courir à Peillon.

Pendant qu?une très grande délégation été présente à la dernière édition du 10km de Grasse, deux membres du club était présent à la 37eme édition du très grand marathon d?Amsterdam : Stephane Cittadini et Huault Sébastien.

37000 personnes étaient annoncées sur les trois épreuves du jours (marathon, semi et 8km) C?est avec une très forte émotion que nous nous sommes retrouvés pour le départ dans le stade Olympique d?Amsterdam . Sur la ligne de départ, je revois les photos historiques trouvées à la bibliothèque de ces athlètes sortant du stade lors des jeux olympique. En effet en 1928 Amsterdam a été le support du marathon olympique gagné par un français s?appelantBoughèra Mohamed El Ouafi (il franchi la ligne 2h32?57?).

Au niveau du parcours, il est très roulant. Il n?est pas exceptionnel au niveau paysage car une très grande partie se passe en banlieue. Les seuls passages intéressants sont le départ et le passage dans les campagnes au bord de l?Amstel où l?on peut voir deux moulins typiques. Ce parcours est fait pour péter un chrono. Au niveau de l?ambiance j?ai cru me retrouver à Sedan Charleville avec les spectateurs t?encourageant et criant ton nom. Il y avait de la musique sur une grande partie du parcours.

Je pense que Amsterdam est une colonie Nicoise, en effet sur le parcours j?ai d?abord croisé les frères Orlandi des foulées Contoises et une grosse délégation niçoise.

Je pense que j?ai dû entendre au moins 6 fois « allez Peillon ! ».

C?est avec des conditions dantesques que le départ a été donné, en effet le froid, le vent, les nuages gris et la bruine ont été nos compagnons sur ces 42km195. Pour ma part le départ a été assez compliqué car il m?a fallu presque une minute avant de passer la ligne de départ, de plus le premier kilomètre été très étroit et présentait des virages en angle droit.

Après 2 kilomètres j?avais déjà presque 2 minutes de retard sur mon objectif. Il a fallu cravacher dur et laisser beaucoup d?énergie jusqu?au semi pour rattraper le temps perdu. De plus le vent de face et la température n’ont pas aidé à se ménager.

Au semi-marathon, la fatigue à commencé à se faire sentir mais c?est au 30eme kilomètre que le cauchemar a commencé : à partir de ce moment, c?est le mental et l?obstination qui prennent le relais.

Impossible de ralentir la cadence, il faut terminer en moins de trois heures !!! Comme dans chaque course, mon père m?a accompagné et m?a donné son énergie pour finir. Au 38em kilomètre j?étais dans un état second, les jambes et les poumons brûlés et l?environnement n?existait plus.

Je pense que je n?avais jamais connu autant de souffrance sur une course. Au niveau de la barrière indiquant les 500 derniers mètres, j?étais toujours dans mon allure. A ce moment-là un autre coureur français (niçois en plus) me passe devant en criant  «  putain on va l?avoir ce moins de trois heure ». A ce moment-là, il y a une seule chose à faire : réunir ses dernières forces jusqu?à se faire péter le c?ur pour terminer. La ligne franchie, que d?émotions quand on voie 2h59 sur sa montre, on repense à tous les entrainements et à tous les sacrifices accomplis. En tout cas, un marathon restera toujours un marathon. C?est une course magique qui procurera toujours autant d?émotions, que ce soit le premier, le cinquième ou le vingtième, que tu fasses 2h30 ou 6h. Je veux dire un grand Bravo à Stéphane qui s?est battu comme un lion, car vu les conditions ce n?était vraiment pas facile. Il finit sur un super temps de 3h14 (tout le monde connait la difficulté d?un marathon).

Au niveau visite de la ville, c?était vraiment exceptionnel. Nous avons passé 4 jours dans la ville avec ma copine. Au niveau culture et sorties c?est tout simplement « AMAZING ». Nous avons pu visiter le musée Van Gogh (quelle émotion là encore), le musée Hermitageavec ces ?uvres de peintres impressionnistes, le Rijksmuseum, l?Hôtel de ville, la place du Dam, le marché aux fleurs, le Begijnhof, les canaux en bateau, le quartier rougeet les coffe shop?..

Un seul mot de conclusion : Amis Peillonais, aller à Amsterdam c?est que du bonheur !!!!

COMPETITIONS 2012 – – Grand Prix du Cavigal

GRAND PRIX DU CAVIGAL

Les photos de Franck Payot.

Les photos de JC Hubert.

Certains dimanches, alors que rien n’est vraiment organisé, on se retrouve sur une course entourés de partenaires verts et blancs.
En effet nous étions 7 ce matin (sur une centaine de partants) à être présents au Mont Boron pour prendre part au 10 km du Cavi !
Le froid (glacial en cette fin de mois), la pluie, les pistes détrempées n’ont pas eu raison de notre motivation.

Et la course alors ?
Cette course de 10 km “à peu près” est composée de 3 boucles qui serpentent dans le parc du Mont Boron. Escaliers, chemins, passage proche du fort, routes, pierres, racines,slalom entre les vélos…nous en avons eu pour notre argent.

Et bizarrement les qualités de beaucoup de peillonais se révèlent lors de courses de ce type.

Les trois premiers peillonais ont d’ailleurs toujours été au coude à coude.
Au final Robert Sai
finit premier club, après un départ canon et une course bien menée, dans la même seconde que son devancier (Hugues Plessis le formidable descendeur) et que son poursuivant, notre capitaine de route Rodolphe Lodetti (que l’on n’avait pas vu sur une compétition depuis belle lurette) : superbe retour Roro.
A quelques secondes suit
Jérémy Payot, plus à l’aise que le dimanche précédent et à quelques encablures de son idole.
Julien Waltzer n’a pas réussi à se joindre à leur lutte mais les a toujours eu en point de mire, à l’exception de la 3ème boucle et sa montée dévastatrice.
Pour ces 4 la il faut souligner qu’ils sont tous dans les 10 premiers.

Un autre peillonais, Antoine Vissuzaine, tenait à mettre les choses au point avec … son fils !
Il faut bien reconnaitre que la mise au point est faite et bien faite car il termine dans un temps superbe.

Francis Bonnet dans un temps légèrement moins bon que l’an passé n’a pas réussi à contenir le sprint en côte de Jean-Marc Taraud. Les deux compères finissent sur les deux premières marches du podium V3.

La course tactique de Jean-Marc a eu raison de Francis. En cyclisme je crois qu’on appelle ça “sucer la roue”. Bravo à tous les deux en tout cas, vous faites le spectacle dans votre catégorie !

Enfin, le meilleur pour la fin, Michèle Simoncelli grimpe aussi sur le podium de sa catégorie en arborant fièrement les couleurs de Courir à Peillon.

Je n’oublie pas de remercier nos fidèles supporters : les Waltzer, JC Hubert, Franck Payot (qui a pris j’en suis sur de superbes photos), sans oublier le plus fidèle supporter de Michèle qui aura même joué au lièvre lors de la dernière grimpette.

Les résultats :

Robert Sai : 5ème en 40 min 54 / 3ème sénior.
Rodolphe Lodetti : 6ème en 40min 56.
Jérémy Payot : 7ème en 41 min 14.
Julien Waltzer : 10ème en 42 min 30.
Antoine Vissuzaine : 27ème en 46 min 44.

Jean-Marc Taraud : 47ème en 49 min 19/ 1 er V3.
Francis Bonnet :  48ème en 49 min 22 / 2ème V3.
Michèle Simoncelli : ème en 53 min 11 / 1ère V1.


TRAIL DES BAOUS

Les résultats :

Genti Giacomo : 11ème en 1 h 20 min 34 / 1er V2

Spies Hans : 191ème en 1 h 59 min 42.

COMPETITIONS 2012 – – 10 km de Grasse

10 km de GRASSE

Photos par Carine / Photos à l’arrivée par Kelly

Pour cette der des dix, Courir en Pays de Grasse avait mis les petits plats dans les grands.
Des bénévoles partout, des courses et des challenges pour tous et toutes, le soleil, des lots nombreux et originaux (tee shirt manche longue, parfum, manchons) tout était réuni pour fêter dignement cette course qui aura marqué son époque.

Avant de parler des peillonais, parlons de la tête de course.
Un burundais l’emporte au sprint devant un rwandais en environ 30 minutes, loin du record d’environ 28 minutes.
Mike Njuguna complète le podium devant le plus azuréen des anglais, Ricardo Hobby.
William Struyven finit 6ème en David Gauthier 8ème.

Et nos peillonais ?

En discutant avec chacun un sentiment prédomine : bof, bof, bof…

Tous nos coureurs avaient dans un coin de la tête d’améliorer leurs records personnels et finalement nous en sommes finalement très loin !
Stéphane Giordanengo prend la 2ème place sur le tableau des performances et Laurent Bermon égalise son record et c’est tout !

Stéph n’avait d’ailleurs plus couru de 10 km depuis 2009. Pour un retour c’est quand même un beau retour car il signe un joli 35 min 00.
Il est suivi à quelques encablures par Laurent Bermon qui a fait un retour fracassant sur les 5 derniers kms (43ème de l’aller et 28ème temps du retour). Lolo en fait décidément sa spécialité !

Derrière nos deux leaders du jour, suivaient une bande de 4 coureurs : Jérémy Payot, Julien Waltzer, Robert Sai et Arno Champalle. Cet ordre était d’ailleurs celui relevé au 5ème km.
Tous les 4 espéraient au minimum améliorer leurs perfs sur 10 et envisageaient même de gros chronos.
Malheureusement la vérité de la compétition n’est pas celle de l’entrainement.

Robert termine devant ses trois compères. Une montée prudente lui a permis d’accélérer sur la fin de course même s’il se pensait décroché.
De toute façon il l’avait dit lui même avant le départ, “Grasse je n’y suis jamais bon” !

Suit à quelques secondes Arno Champalle : son record date maintenant de quelques années et il comptait sur ce dimanche matin pour l’améliorer. Malheureusement la barre des 38 lui a résisté et il repart déçu par son chrono mais satisfait par son mental qui lui a permis de ne pas lâcher.

Pour Jérémy et Julien, même combat : une montée très moyenne en à peine plus de 15 km/h et un “craquage” au bout de 7 km. Il est vrai que le chrono escompté n’était déjà plus qu’un doux souvenir.
Pour Jérémy : “encore une ou deux courses comme ça et je me recycle dans la photo ou dans la pétanque” !
Julien quant à lui visait les 36 min 30 : “avec mon 39 min 15, en fait j’accroche le record que j’avais en 2008…”

Julien Lodetti fut, au final l’un des rares non déçus de la journée.
En plein préparation marathon il s’est décidé à venir faire sa sortie longue sur les routes grassoises. Parti d’un sas défavorable, il a réussi à faire une course solide pour descendre sous les 40 minutes !

Ces 40 minutes que Fabrice Gianquintieri rêve d’accrocher. Pendant la séance de calcul d’avant course (“il vaut mieux passer en 20 min 09 ou en 20 min 21 si je veux faire 39 min 53 ?”) il était au top ! Malheureusement comme beaucoup d’entre nous le résultat était moins bon : 21 min 28 + 20 min 19 > 40 min !

Cédric Galliano n’espérait pas battre son record car son manque d’entrainement risquait d’être rédhibitoire. Il voulait partir avec le ballon des 45 minutes puis l’accrocher le plus possible. Il a tenu 5 bornes puis a fini par sombrer, dommage mais ce n’est que partie remise.

David Laroche a lui plutôt tenu la distance. Reconnaissable à son mythique short blanc (n’achetons pas celui la pour le club svp !) il a fini en 47 min 30 pas si loin de son record finalement !

Enfin deux membres finissent juste au dessus des 50 minutes.
Chantal Meillerand en manque d’entrainement et en petite forme ne finit quand même pas loin des 50 minutes. Mais la saison est longue et nul doute que son record sur 10 va encore tomber cette saison ! (petit coup de pression pour Chantal et son coach!).

Philippe Cordier est lui aussi en manque de repères car il a été beaucoup gêné par les blessures. Il espérait passer sous les 50 minutes mais il a craqué, lui aussi au fil des km.

Merci aussi à nos supporters habituels qui s’étaient déplacés !

Les résultats :

Stéphane Giordanengo : 30ème en 35’03” / 35’00” record perso club
Laurent Bermon : 32ème en 35’10” / 35’07” record club
Robert Sai : 112ème en 38’33” / 38’20”
Arno Champalle : 118ème en 38’41” / 38’29”
Jérémy Payot : 122ème en 38’45” /38’37”
Julien Waltzer : 138ème en 39’14” / 39’02
Julien Lodetti : 176ème en 40’10” / 39’43”
Fabrice Gianquintieri : 253ème en 41’47” / 41’35”
Cédric Galliano : 473ème en 45’39” / 45’26”
David Laroche : 603ème en 47’43” / 47’30”
Chantal Meillerand : 893ème en 51’56” / 51’29”
Philippe Cordier : 1074ème en 54’25” / 53’58”

– Barème

LE BAREME

 

Ø Présence à l?entrainement du mercredi à la Lauvette : 10 points.

Ø        Présence lors d’une course :10 points.


Ø Présence lors de l?assemblée générale : 40 points.


Ø Présence lors des repas ou apéritifs organisés par le club : 20 points.


Ø Présence en tant que bénévole ou coureur lors de la Monta-Cala : 40 points.


Ø Présence lors de déplacements organisés par le club : 40 points.


Ø Présence dans les courses du challenge des Paillons (hors course club) : 20 points.

 

– Règlement

LE REGLEMENT

 

Ø Tous les adhérents à Courir à Peillon font partie du challenge.


Ø Le challenge se déroulera du mercredi 31 Août 2016 au 16 Juillet 2017


Ø Chaque événement de la vie du club rapportera des points aux membres présents selon un barème établi par le bureau.


Ø Les vainqueurs seront récompensés par de beaux lots lors de l?assemblée générale suivant l?arrêt du challenge (tapenade, huile d’olive…)


Ø Lors des courses, la performance n?influe en rien sur l?attribution des points.


Ø Les courses club ainsi que les courses club trail sont inscrites sur un calendrier visible sur le site https://courirapeillon.fr/v3/

 

Ø Les rendez-vous pour les entrainements club du dimanche matin sont fixés par le yahoo groupe ou par le forum du club http://peillon.1fr1.net

 

Ø Le bureau se réserve le droit d?attribuer des points bonus pour des actions qui ne font pas partie du barème.


Ø Un classement sera régulièrement mis à jour sur le site internet du club.

 

COMPETITIONS 2012 – – Courir pour une fleur

Courir pour une fleur

Peu de peillonais (certains préparent Grasse, d’autres vont à Amsterdan) mais de la qualité et un premier podium pour Christine chez Courir à Peillon.

Semi :
Christine Patat : 150ème en 1 h 35 min 19, 1ère V1 (record club).
Sophie Juncker : 365ème en 1 h 45 min 15.

10 km :
Jean-Claude Bougon : 206ème en 49 min 24 (record club).

Les impressions de Christine :

“C’était effectivement un semi.
Je finis en 1h35, 6ème féminine.
Un très beau tracé, différent de l’année dernière, qui longe la mer et se promène dans Juan les Pins, beaucoup d’inscrits et une ambiance très sympathique.
Un nombre impressionnant de côtes.. très dur pour les jambes ! un avant goût du marathon Nice-Cannes bien que le profil ne soit pas du tout le même…très belle course à refaire.”

Christine

Le Grand Prix de Gairaut


3 membres présents à Gairaut :
Antoine Vissuzaine : 27ème en 56 min 15.
Bonnet Francis : 33ème en 57 min 41 (3ème V3).
Taraud Jean-Marc : 40ème en 59 min 09.

Les résultats complets sur jsdcourse.

COMPETITIONS 2012 – – Cap d’Ail – Odysséa – Peille – Beaulieu

Tour pédestre du Cap d’Ail

Francis Bonnet : 45ème en 1 h 05 min33, 3ème V3.
Jean-Claude Bougon : 59ème en 1 h 08 min 38.

10 km Odysséa

Angélique Duchemin : 125ème en 48 min 40.
David Laroche : 140ème en 49 min 22.

Laissa Courre à Peille

Peu de membres présents sur ce trail très sélectif mais de superbes résultats.
Marc Taraud et Rodolphe Lodetti gagnent la course en duo et Antoine Vissuzaine clôt son challenge du pays des paillons avec cette dernière course.
Bravo à vous trois.

Je vous mets en lien l’article sur le blog d’Antoine qui explique parfaitement ce qu’est ce trail.

http://antoinevissuzaine.unblog.fr/2012/10/01/trail-laissa-coure/

Les boucles berluganes

Aprés les gros orages de la nuit, le soleil était au rendez pour les traditionnelles “boucles berluganes”.
 
Cette année sous les conseils de coach Cordier et en vue de la préparation de Grasse, la troupe peillonaise s’est mis sur le 7,3 km (80 partants).
Une belle réussite au vue des résultats !

Philippe Cordier finit 42éme en 37’10”, surtout heureux de finir la course mais déçu de ne pas rentrer dans le top 40 !

Fabrice Gianquintieri, le local de l’épreuve, (même son beau père, déguisé en gendarme, était là pour l’encourager) finit 22éme en 30’02”.
Il améliore son temps de plus de 1’30”, encourageant pour le néo membre du bureau qui au passage n’a toujours pas payé à boire (avec Jérémy) pour son élection.

Arno Champalle était là lui aussi, encore fatigué ou étonné de son test de mercredi.
Arno finit à une place du top 10 en 28’04.
Bravo, le sérieux paye mon petit.

Robert Sai finit lui à une place du podium sénior en 8éme position en 27’27”.
Robert peine un peu mais je vais lui dire ma devise : le travail paye toujours un jour ou l’autre.
Quand on connait son sérieux, je ne me fais pas de souci pour lui.

Enfin Laurent Bermon (moi même) gagne la course “enfant” ,dixit les faux traileurs roro et marc, en 25’56”.
La victoire est toujours belle.
 
Esteban Bermon se classe 2éme de sa course (04,03,02) rageant pour lui car il avait fini 2ème aussi l’année dernière, mais il s’est vite remis de ses émotions car il pu prendre une photo avec Alexandre Vinokourov, le cycliste kazakh, qui est l’une de ses idoles.
 
Du bon travail pour Courir à Peillon, dixit le coach.
 
A noter les forfaits de dernière minute de Julien Waltzer et de Jérémy Payot (présent tout de même) qui ont pris de sages décisions je pense.

L.B

Photos de Anne-Marie Kerhornou

– Greg et Franck

Les varois, Greg Athénosy et Franck Saffioti


Pourquoi ce choix de Greg Athénosy et Franck Saffioti pour cette reprise de la saison ? La raison est très simple : en plus d’être de talentueux coureurs, présents depuis la création du club, nous tenions à récompenser leur fidélité envers Courir à Peillon.
Pour nos deux amis l’amitié et la convivialité sont deux mots à ne pas galvauder et nous les en remercions chaleureusement !


Pour commencer nous vous présentons Greg Athénosy,ancien coureur cycliste de très bon niveau et malgré sa préparation pour Nice-Cannes il a trouvé le temps de répondre à nos questions.


Nom : Athenosy
Prénom : Gregory
Date de naissance : 31/08/1977

Situation de famille : marié et 1 enfant (Lucas)

Tu habites où : à Fréjus dans le Var

Profession : patissier

Depuis quand es-tu coureur à pied : depuis la création de Courir à Peillon.

Comment as-tu connu le club : étant le cousin de Marc Taraud, il m’a embarqué dans l’aventure.

Ton plat préféré : paëlla, pâtes, en fait je crois que j’aime tout.

T?entraînes tu souvent et comment : je m’entraine 5 fois par semaine (surtout en ce moment) et j’essaie de suivre les plans d’entrainements du coach, Philippe Cordier.

Es-tu plutôt route ou trail ? je dirais plutôt trail car les 10km route ça fait trop mal je préfère les parcours longs et vallonnés.

Tes meilleurs chronos :

* 10kms : 39’15
* Semi : 1’37

* Marathon : on verra (le coach m’a prédit 3h10 résultat le 4 novembre….)

Ton meilleur souvenir : quand je me suis perdu au trail de canjuers 17km au lieu de 10km (drôle de meilleur souvenir ! il est fou ce Greg !)

Ton pire souvenir : je rentrais de 3 semaines à New York (donc no sport, alimentation hamburger coca frites ce qui a donné 5 kg de plus sur la balance).
J’arrive et Marc m’embarque faire la course Isola-Isola2000, 16 km de cotes interminables. Bilan :  plus jamais !!!!

Coureur préférés : Jean Marc Taraud c’est mon mentor il a toujours de bon conseil et Marc.

Tes baskets : Nike pegassus

Tes partenaires préfères et pourquoi ? Et bien, habitant à Fréjus et seul varois du club je m’entraine seul.

Tes ambitions pour 2012-2013 ? finir mon 1er marathon dans les temps, et continuer a améliorer mon temps sur 10 km mais avant tout se faire plaisir en courant.

……………………………………………….

Franck Saffioti est connu par tous les coureurs du département et même des départements limitrophes.
Il vit aujourd’hui à Lyon pour ses études mais il continue à courir et surtout porte encore les couleurs de Courir à Peillon. Dès qu’il en a l’occasion il vient participer à une compétition dans le 06, et a écrit des articles sur le site que les internautes s’arrachent !

Nom : Saffioti
Prénom : Franck
Date de naissance : le 2 janvier 1989 à Cannes

Depuis quand es-tu coureur à pied : Depuis novembre 2007. Ma première compétition : le Cross des Iles (NL) en 2007 remporté par Dany Cabus.

Comment as-tu connu le club : A la course de la Turbie en 2008 par l’intermédiaire de Jérémy Payot puis à Gairaut grâce à Julien Waltzer, mais je n’ai adhéré au club qu’un an plus tard.

Ton plat préféré : Je n’ai pas vraiment de plat favori, par exemple : je préfère un plat de choux de Bruxelles ou d’endives bien préparé (c’est dire…) qu’un soi-disant bon plat, en conserve.
Cela dit, je n’ai encore pas eu la chance de goûter un vrai repas gastronomique de Dooble D, je suis donc toujours dans l’ignorance !

T?entraînes tu souvent et comment :
Entre 1 et 6 fois par semaine selon l’emploi du temps ! Plus globalement ça tourne autour de 4 entraînements dont :

– un footing de 40-50min (entre 11 et 14km/h selon la forme).
– une séance de 50 minutes de VMA “courte” ou de VMA “moyenne” (type 30*30/30 ou 2*10*1min ou 12*400m ou 2*4*800m voire 5*1000m).
– une séance de 50 minutes d’allure spécifique avec généralement 2*3000m ou 2*4000m ou 3*10min à la vitesse de la course que je prépare.
– une sortie un peu plus longue (1h15 env.) où je n’hésite pas à faire un peu de “fartlek” (avec des accélérations sur 5/6min…), souvent dans les côtes. Ou alors, et c’est souvent le cas : une course.

Avec ce modèle type à 4 entraînements -maintenu sur plusieurs semaines- (environ 3h30 et 45km par semaine), je suis entre 37′ et 38′ sur 10km. Si je rajoute des séances, je peux être meilleur, si j’en enlève en revanche, je deviens tout de suite beaucoup moins performant !

Es-tu plutôt route ou trail ? Pour déplaire à Stéphane, je dirai plutôt la route (c’est plus mon terrain d’entraînement en ce moment) mais je reste ouvert à tout !
Néanmoins, mes sorties préférées se déroulent en “nature” dans le massif de l’Estérel.

Tes meilleurs résultats : Presqu’île de St Mandrier en 2010 / 10km de Vénissieux en 2011 / L’Urban Trail de Lyon en 2012 / Semi de Marseille 2013

Ton meilleur souvenir : Je triche un peu, j’en donne deux. L’Escapade Vallaurienne en 2010 où nous avons couru sous la neige (avec vue sur mer) et comme personne n’a pris de photos de l’événement, cela restera uniquement gravé dans la mémoire des coureurs. Sinon, les 58km du Trail des Mélèzes que j’ai disputés sans avoir dormi la veille, un grand moment !

Ton pire souvenir : Là clairement : le Trail de Tourette-Levens où j’ai cru mourir (ou presque). Après avoir pris un gros coup de chaud, je n’ai cessé de boire à tous les ravitos, ingurgitant au bas mot 3 litres de coca, sirop etc… en un peu plus d’une heure. Au bout d’un moment, j’ai été pris de convulsions terribles et ai commencé à régurgiter le trop-plein… Ce n’est pas tout, arrivé au troisième sommet, j’ai pris un “coup de soleil” aux yeux à cause de la roche blanche, je n’y voyais presque plus et cet aveuglement a duré toute une semaine.

Coureurs préférés : Tous les coureurs du club sans exception dont certains qui, j’ose le dire, sont devenus des amis. Au niveau régional, j’aime bien les coureurs du Stade Laurentin et chez les meilleurs mondiaux, Mahiedine Mekhissi ces temps-ci, ne me demandez pas pourquoi 🙂

Tes baskets : Les Asics DS Trainer soi-disant pour coureurs légers, elles n’ont fait que s’alourdir au fil des modèles successifs…

Tes partenaires d’entraînement préférés et pourquoi ? En ce moment, mon iPod… Sinon sur Lyon, je me suis trouvé un petit groupe d’entraînement sympa.

Une anecdote ? L’envie ne manque pas de parler de la récente corrida de Valbonne avec l’épisode de “la baignoire” mais pour ne pas nuire à la réputation d’un dénommé Christophe B (nouveau membre de l’ASPTT…), je ne dirai rien. En revanche, veuillez noter de ne jamais manger les pâtes au cumin de ce même Christophe avant une course comme la Prom’classic ! 😉

Tes ambitions pour 2012-2013 ? Pas d’objectifs particuliers, cette année sera une année de transition où il s’agira de se faire plaisir et de ne pas régresser.

Le petit mot de la fin : “Loin des yeux, loin du coeur”, cette expression ne se vérifie pas puisque je continue de suivre l’actualité trépidante de mon club préféré, Courir à Peillon !

Francky, on t’adore !!!

COMPETITIONS 2012 – – Ascension du col de Braus

ASCENSION DU COL DE BRAUS




Depuis maintenant 3 ans, Courir à Peillon et la municipalité de Touët de l’Escarène collaborent pour mettre en place la difficile mais renommée “Ascension du Col de Braus”.
9 km de montée pure avec un dénivelé de 563 m, rien que ça !

Avec plus de 100 coureurs au départ, il ne faisait aucun doute que cette édition serait d’un niveau très relevé et l’organisation espérait que le record détenu par Renaud Cadière depuis 2011 tomberait.

Avec la densité de très bons coureurs, Cadière a du s’employer pour vaincre ses deux rivaux du jour.
Il ne gagne qu’avec une courte avance de quelques secondes sur Julien Hubert qui avait lui quelques secondes sur Frederic Gayol.
Il va sans dire que le record est bien battu et qu’il appartient toujours à Cadière.

Chez les féminines aussi la course fut belle et disputée. Anne-Laure Urvoy-Langlois a le mieux tiré son épingle du jeu et l’emporte de belle manière.
Elle devance Fanny Mazzella et Leila Chaieb.

Et chez Courir à Peillon ?

Commençons par les féminines ! Sophie Juncker termine juste au pied du podium scratch mais monte sur la première marche du podium senior. Celle qui a un bel objectif avec le marathon Nice-Cannes commence bien sa saison !
Michèle Simonccelli, néo peillonaise n’a pu suivre Sophie, mais elle réalise une très belle course. Bravo et bienvenue. (à noter la présence de Stéphane Simoncelli qui après avoir repris le fractionné le mercredi a gravi les pentes du Braus).

Chez les hommes la première place club est revenue, sans surprise à Laurent Bermon. Dans une petite forme il a vite compris qu’il ne grimperait sur le podium scratch aujourd’hui. Il a donc lutté afin d’assurer une belle place pour faire grimper l’équipe le plus haut possible. Il améliore quand même son chrono de l’an passé.

Derrière lui, et c’est plus surprenant, Julien Waltzer a réalisé une excellent course. Malgré la fatigue psychologique liée à l’organisation et aux inscriptions il a réalisé une de ses plus belles prestations.

Il a d’ailleurs doublé Robert Sai, le nouveau papa d’une jolie Elena, qui a fait moins bien que l’an passé mais avec son niveau de base il finit quand même à une belle 15ème place.

Arno Champalle, en grande forme lors des derniers entrainements, avait oublié que les excès la veille au soir ne faisaient pas forcément bon ménage avec la performance ! Dans la douleur il fait une course très honorable et sera ça ne fait aucun doute, TRÈS en forme pour sa prochaine compétition.

Derrière les séniors une autre catégorie était à la lutte.
Nos V3 sont très réputés dans le département et ils ont livré une bataille magnifique sur les pentes abruptes du Braus.

En premier, et il en profite pour monter sur la 3ème marche du podium V3 derrière les incroyables Jean-Max Rolland et Martial Derbanne, l’inusable Francis Bonnet. Il finit sa course juste devant Antoine Vissuzaine, V1 et futur membre !

Il termine dans l’ordre devant Jean-Marc Taraud (entre deux voyages à l’Île d’Yeu), devant Jean-Claude Bougon (qui doit avoir le record de km parcourus pendant la saison) et Jean-Robert Frey ! A noter que les prénoms composés devaient être très à la mode entre 1942 et 1952 !

En plus de Laurent Bermon, Sophie Juncker et Francis Bonnet, Courir à Peillon est monté sur la deuxième marche du podium du classement club, juste derrière l’ASPTT Nice.

Résultats :

BERMON Laurent : 9ème en 41 min 56 (3ème sénior)
WALTZER Julien : 11ème en 43 min 10.
SAI Robert : 15ème en 43 min 54.
CHAMPALLE Arno : 21ème en 45 min 41.
BONNET Francis : 40ème en 50 min 20 (3ème V3).
TARAUD Jean-Marc : 44ème en 50 min 58.
BOUGON Jean-Claude : 47ème en 52 min 10.
JUNCKER Sophie : 52ème en 53 min 31 (1ère sénior).
SIMONCELLI Michele : 64ème en 56 min 44.
FREY Jean-Robert : 72ème en 58 min 43.

Bravo à tous les coureurs et merci à tous les bénévoles, sans vous cette journée n’aurait pas pu avoir lieu !

J.W